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Taîba Niassène
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Taîba Niassène

VIP-Blog de momowally
bayy-99@hotmail.com

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  • Créé le : 25/06/2007 20:12
    Modifié : 18/01/2014 10:26

    Garçon (38 ans)
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    Les actes méritoires de la prière

    16/10/2008 14:04

        Les actes méritoires de la prière


           Les actes méritoires de la prière : (Mandhûbât as-Salât = ãäÏæÈÇÊ ÇáÕáÇÉ)

    1. Tourner la tête à droite lors du Salâm final : quand on est seul ou imam, on salue à droite uniquement : on dit face à soi « as-salâmu ‘alay- », on tourne alors la tête à droite et on dit « kum ». De préférence, à voix basse.

    2. Dire « Amîn » (après la Fâtiha) à voix basse (et non à voix haute). Ce qui signifie : « O mon Dieu, accepte ce Du‘a ».

    3. Dire :«Rabbanâ wa laka l-hamd» = ÑóÈøóäÇ æ áÜóßó ÇáÍóãúÏõ. Ce qui signifie « O Seigneur, la louange (aussi) est à Toi ! »

    4. «al-Qunût» = ÇáÞÜõäæÊ :

    il s’agit d’un «Du‘a» que l’on dit dans la 2ème Rak‘a de la prière du «Subh», de préférence après la récitation du Coran et avant le Rukû‘. Mais si on a oubliée de le dire à ce moment-là, on peut le faire lorsque l’on se remet droit après le Rukû‘ ; dans ce dernier cas, il ne faut pas rester trop longtemps dans cette position sous peine d’annulation de la prière, juste le temps de réciter le Du‘a, puis on se prosterne. On peut demander ce que l’on veut ou dire un des Du‘â que le Prophète (ÕóáÜÜøóì Çááåõ ÚóáÜóíúåö æ ÓóáÜÜøóãó) avait l’habitude de prononcer en guise de Qunût, notamment celui-ci : «  Ô mon Dieu, nous Te demandons Ton aide et Ton pardon ; nous croyons en Toi ; nous plaçons notre confiance en Toi ; nous Te sommes humblement soumis ; nous rejetons (toute religion autre que l’islam) ; nous nous écartons de ceux qui ne croient pas en Toi. Ô mon Dieu, c’est Toi que nous adorons ; c’est pour Toi que nous prions et nous prosternons ; c’est vers Toi que nous dirigeons notre effort et notre empressement ; nous espérons Ta Miséricorde et craignons Ton rude châtiment ; certes Ton châtiment atteindra les mécréants ». On peut aussi la faire lors du «Witr» quand on est en difficulté, ou en groupe derrière l’imam si c’est un groupe de musulmans qui est en difficulté. On ne lève pas les mains pendant le «Du'a» du «Witr». En revanche, le Du'a régulièrement prononcé dans les Tarâwîh n'est pas recommandé sauf dans le cas où la Umma traverse une épreuve difficile.

    5. Prier avec un «Ridâ’ »(ÑÏÇÁ) =

    tout vêtement ample recouvrant les formes du corps ( Qamis, Gandura, Burnous, drap, cape, manteau, robe…)

    6. Faire le «Tasbîh» dans le «Rukû‘» et le «Sujûd »:

    - Dans le «Rukû‘», on dit: «Subhâna Rabbî al-‘Azhîm» = ÓõÈúÍÇäó ÑóÈøöí ÇáÚóÙöíã, ce qui signifie: « gloire et transcendance à Mon Seigneur le Magnifique».

    - Dans le «Sujûd», on dit : « Subhâna Rabbî al-A‘lâ» =ÓõÈúÍÇäó ÑóÈøöí ÇáÃÚúáì , ce qui signifie gloire et transcendance à Mon Seigneur le Très-Haut (pas dans le sens qu'il est dans un endroit élevé mais qu'Il est Tout-puissant).

    7. Prier les bras le long du corps (as-Sadl= ÇáÓøóÏúá)

    C'est l'avis d'Ibn 'Âchir et des Fuqahâ' qui s' appuient sur la «Mudâwana»; mais il existe un 2ème avis dans l'école malikite, celui du groupe des Savants du Hadîth, tel que le cercle de la famille al-Ghimârî, les imams al-Bâjî, az-Zarqânî ou Ibn 'Abd al-Barr, etc. qui se fondent sur le hadith du Qabd dans le « Muwatta'», selon lequel on met la main droite sur la main gauche entre la poitrine et le nombril. Cette position s'appelle «al-Qabd» = ÇáÞÜóÈúÖõ. La position des Malikites qui soutiennent as-Sadl est basé sur «'amal ahl al-madîna »(Úóãóáõ Ãåúá ö ÇáãóÏöíäÜóÉö), l'acte suivi par les Savants de Médine à l'époque de l'imam Mâlik. Cette argumentation spécifique de l'école malikite fait passer en priorité l'acte des Savants de Médine avant un hadith authentique «Âhâd» (= rapporté par un ou deux Sahabî). Pour ces Malikites, le fait que les gens de Médine prient les bras le long du corps provient de l'observation de leur Chuyukh, à savoir les Tâbi'în et les Sahâba qui ont sûrement imité le Prophète (ÕóáÜÜøóì Çááåõ ÚóáÜóíúåö æ ÓóáÜÜøóãó) qui leur a dit: " Priez comme vous me voyez le faire! " (rapporté par l'imam Ahmed et al-Bukhârî). Donc le fait que les Malikites prient les bras le long du corps est basé sur un hadith rapportant un acte accompli (hadîth fi'lî) par le Prophète (ÕóáÜÜøóì Çááåõ ÚóáÜóíúåö æ ÓóáÜÜøóãó) et c'est l'avis majoritaire dans l'école malikite.8. Le fait de dire: «Allahu akbar» au début de la position

    Le fait de le dire est une sunna mais le fait de le dire juste au début de la position (c'est-à-dire quand on commence à la prendre) est un Mustahabb.

    Sauf le Takbîrat al-Ihrâm (qui est une obligation).

    Sauf après le premier Tachahhûd (si l'on doit se relever), où l'on attend d'être entièrement debout avant de prononcer le Takbîr.

    Derrière l'imam, on suit bien l'imam, dans la mesure où ce sont les gestes qui sont obligatoires et non les «Takbîr»; il ne faut pas s'incliner avant lui. Il est d'ailleurs conseiller à l'imam d'anticiper le geste avant le «Takbîr »de sorte que les fidèles qui prient derrière lui mais qui ne le voient pas, ne l'accomplissent pas avant lui, ce qui invaliderait leur prière.

    9. Replier les trois doigts contre la paume pour le «Tachahhud»

    Il s'agit du majeur, de l'annulaire et de l'auriculaire.

    Seuls le pouce et l'index sont dépliés 10. Bouger l'index contre le pouce

    11. Lors du Sujûd, le ventre de l'homme ne touche pas les cuisses, ni les mains les genoux.L'homme veille à laisser un espace entre son ventre et ses cuisses (permettant à un chat de passer, par exemple)

    La femme, quant à elle, se recroqueville.

    12. La position assise

    Celle-ci consiste à s'asseoir sur les genoux, avec le pied gauche sous les fesses ou non, et le pied droit relevé ou non. Les deux cas de figure sont Mustahhhab.

    13. Mettre les mains sur les genoux pendant le «Rukû‘»

    Les doigts légèrement écartés, les jambes fléchies et le dos bien droit.

    On regarde l'endroit où l'on va poser le front pendant le Sujûd.

    14. Réciter à voix basse dans certaines prières et rak'at pour le «Ma'mûm»

    Il s'agit des prières d'Azh-Zhuhr et al-'Asr dans les 4 rak'at

    De même dans la 3ème et/ou 4ème rak'at du Maghrib et d' al-'Ichâ'

    15. Les mains en direction de la Qibla lors du «Sujûd»

    Les mains près des oreilles, bien à plat et les doigts serrés.

    16. Faire le geste qui accompagne le «Takbîrat al-Ihrâm»

    On lève les mains à hauteur des oreilles (avis le plus retenu) ou de la poitrine, puis on les baisse.17. Réciter des sourates plus longues lors du Subh et du Zhuhr

    Une sourate de la dernière section du Coran (al-mufassal = ÇáãõÝÜóÕøóáõ).

    A savoir 30 à 40 versets environ, comme des «sourates ar-Rahmân», «al-Wâqi'a», «Ya Sîn…»

    On récite des sourates courtes lors d' «al-'Asr» et du «Maghrib» (celle du dernier «Hizb» du Coran)

    On récite des sourates moyennes (15 à 20 versets) lors d'«al-'Ichâ'».

    Au minimum, il faut réciter un verset qui fait sens.18. La sourate dans la 1ère Rak'at est plus longue que celle dans la 2ème

    De plus, la récitation doit respecter l'ordre de classement des sourates : par exemple, on récite la 113 puis la 114 et non l'inverse19. Dire le 1er Tachahhud rapidement (mais convenablement)

    De sorte qu'on ne reste pas longtemps dans la position assise médiane (Julûs al-Wasat = ÌõáÜõæÓõ ÇáæóÓóØö)

    20. Lors du Sujûd, les mains touchent le sol en 1er et le quittent en dernierCette façon de procéder est plus sûre en cas d'oubli ou d'erreur : en effet, si on est en train de se relever après un Sujûd alors qu'on devrait normalement s'asseoir, si nos mains n'ont pas quitté le sol, alors on prend la position assise requise, mais si elles ont déjà quitté le sol, lorsqu'on s'aperçoit de son erreur, alors on poursuit l'acte engagé en se relevant entièrement et l' on réparera l'erreur à la fin de la prière, in cha'Allah.

    Les actes blâmables de la prière : al-Makrûhât = ÇáãóßÜúÑæåÇÊ

    21. On ne dit pas la «basmalla» dans la Fâtiha

                                avis divergents:

    L'avis des Fuqahâ' est de ne pas la dire, c'est l'avis majoritaire

    L'avis du groupe des «Savants malikites du Hadîth» et des «Usuliyyûn» est de la dire car dans les autres écoles, elle est obligatoire, ce qui représente à leurs yeux un argument de poids.

    22. On ne dit pas «al-Isti'âdha» = ÇáÇÓÊÚÇÐÉ

    Il s'agit du Du'a appelant la protection divine contre Satan : "Je me réfugie auprès d'Allah contre Satan le lapidé" (a'ûdhu billahi mina ch-Chaytâni r-Rajîm = ÃÚæÐ ÈÇááå ãä ÇáÔíØÇä ÇáÑÌíã )

    Remarque : Si on récite le Coran en dehors de la prière, et que l'on commence au milieu d'une sourate, on prononce ou non la formule précédente en fonction du sens du verset par lequel on commence. Dire cette formule n'est donc pas systématique au début de la récitation coranique. Si le verset évoque le Paradis, on ne la dit pas, mais en revanche, on dit la Basmalla, de même s'il s'agit d'Allah ou du Prophète (ÕóáÜÜøóì Çááåõ ÚóáÜóíúåö æ ÓóáÜÜøóãó). Mais si le verset évoque l'Enfer, Satan ou les Mécréants, on dira la Isti'âdha mais pas la Basmalla.

    23. Ajouter un tissu à l'endroit sur le sol où l'on se prosterne

    au niveau des mains et du front, alors que tout est normal. En prière, il faut être comme tout le monde, qu'on soit riche ou pauvre.

    Sauf si l'on place le tissu sous ses pieds, ou qu'on est malade ou encore que l'endroit en question est sale ou sent mauvais, dans tous ces cas, ce n'est pas Makrûh.

    24. Faire le Sujûd avec un turban (ou similaire) peu épais

    Il vaut mieux en effet le relever ou l'enlever.

    A titre de rappel, prier avec un turban trop épais invalide la prière.25. Utiliser une manche pour poser le front lors du Sujûd

    26. Laisser quelque chose dans sa bouche

    27. Porter quelque chose dans la main ou dans la manche

    En revanche, dans la cas où un bébé pleure, on peut prier en le porter dans ses bras et l'on déposera au sol juste avant le Sujûd. 28. Lire le Coran dans les Rukû' et les Sujûd

    On fait plutôt des Tasbîh (des glorifications et des louanges)

    En revanche, les Du'a contenus dans le Coran ne sont pas Makrûh comme le rapporte al-Bukhârî dans un Hadîth.29. Penser aux choses de ce bas-monde

    au lieu de penser à Allah qui nous voit et faire un effort de concentration et d'humilité (al-Khuchû' = ÇáÎÜõÔÜæÚõ)30. Jouer avec sa barbe ou une bague (ou similaire)

    31. Bouger (tout en restant dans la qibla)

    Faire beaucoup de gestes durant la prière annule la prière (sauf si nécessaire).

    Chez les Hanéfites et les Chaféites, plus de 3 gestes annulent la prière.

    Si on est amené à se déplacer pour combler un rang, on fait 3 pas maximum (soit 3 rangs) devant soi. On peut aussi se déplacer en « L » de telle sorte que si l'on fait un pas à droite, il ne reste plus que deux pas pour avancer devant soi.

    32. Ajouter des Du'a pendant la récitation du Coran

    33. Croiser les doigts ou les faire craquer

    34. Prier les mains sur les hanches

    35. Fermer les yeux

    Mais si quelque chose nous perturbe, ce n'est pas Makrûh de les fermer.

    Si on a le Khuchû' quand on les ferme, alors ce n'est pas makrûh, au contraire.

    L'ordre de préférence est le suivant: on regarde devant soi, sinon on regarde le sol, sinon on ferme les yeux.

                              Remarque:

                               On peut répondre à trois catégories de personnes alors qu'on est en prière,

                                à la condition qu'ils sachent toutefois que l'on est en prière:

    Ses parents,Son Cheikh,Le Prophète (ÕóáÜÜøóì Çááåõ ÚóáÜóíúåö æ ÓóáÜÜøóãó)





     

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