Dans le désert de la Vie, je ne désespère pas.
L’’eau précieuse, que je cherche au fond de toi,
Existe, invisible à ma raison, perdue dans le frimas.
Mon cœur se libérera inéluctablement, avec émoi.
*
Toi, mon prince, toi, qui es mon plus beau poème,
Cette eau, je la trouverai enfouie dans les pensées que tu sèmes.
De même que cette fleur qui pousse dans les pierres arides
Mon amour, je te rejoindrai, près des courants limpides.
.* . * . * . * Shakti * . * . *
[1]
Toi, mon poème, Toi mon Pasteur