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A mon ami Talibé !
05/07/2007 16:18
"Sois attentif envers Allâh(swt) ! tu le trouveras devant toi.
Rappelles- toi de Dieu(swt) dans l'aisance, Il se rappellera de toi dans l'adversité.
Sache que ce que tu n'as pas gagné ne t'était pas destiné et que ce qui tu as obtenu ne pouvait t'échapper .
Sache aussi que la victoire accompagne l'endurance, que le soulagement arrive après l'affliction, comme la facilité après la difficulté ."
wa salam
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Cheikha Marième Ibrahima Niasse
03/07/2007 20:47
Cheikha Marième Ibrahima Niasse, Présidente et Fondatrice de Dar Al Quran Al Karim en compagnie de son père Cheikh Al Islam El Hadji Ibrahima Niass(raa).
Le savantissime poète au style délicieux, Mawnâk äl-Tungudî(raa), a dit, en éloge à Cheikh Ibrahîm Niass (radiyalâhu ane-hou) :
"qutbu äl-tijâniyyati äl-chahîru wa tâjuhâ wa aïmâmuhâ wa jadûduhâ tîjânuhâ dhû äl-rutbati äl-culyâ äl-latî tanhattu can- hâ äl-cârifuna wa law samâ cirfânuhâ wa bihi äl-charîcatu qad tamakkana sîtuha wa bihi äl-haqîqatu samâ bunyânuhâ kiltâhumâ lawlâhu aäqfara rasmuhâ bayna äl-warà wa tadakdakat aärkânuhâ "
( Célèbre pôle et couronne de la Tijâniyya ; Son guide et ses parents furent ses couronnes Doué de la station suprême inaccessible Aux gnostiques, même à la gnose très élevée Par lui, la renommée de la charîca s'est fortifiée ! Par lui, les fondements de la haqîqa se sont dressés ! N'eût été lui, les traces de toutes les deux stations d'Ibrahim ,à la Mecque, seraient perdues, Et leurs piliers anéanties parmi la créature.
Ensuite, il se dressa pour le service des créatures, jour et nuit, matin et soir, au moyen des sciences infuses et les connaissances divines). JAZAKALLÄHOU BAR-HAMOU !
DIEUREU DJEUFE BAYE !
DIARAMA BAYE !
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Fin des travaux de la réunion générale des disciples de la Tariqâtou Tijaniyya
03/07/2007 20:27
Fin des travaux de la réunion générale des disciples de la Tariqâtou Tijaniyya : Message de remerciements à SM le Roi |
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Message de remerciements à SM le Roi, Amir Al Mouminine, des Chorfas, petits-fils de Sidi Ahmed Tijani
Une vue des participants à cette grande et noble rencontre !
Les Chorfas, petits-fils de Cheikh Sidi Ahmed Tijani (raa) ont adressé un message de remerciements à S.E.M le Roi Mohammed VI, "Amir Al Mouminine", à l'occasion de la Réunion Générale de la Tariqatou Tijaniyya (édition 1428 de l'Hégire), tenue à Fès : du 27 au 30 juin 2007.
Dans ce message, les Chorfas, petits-fils de Cheikh Sidi Ahmed Tijanir(raa) expriment leurs remerciements à SEM le Roi pour la Haute sollicitude à travers laquelle "Vous avez bien voulu mettre en valeur le soufisme authentique, tel qu'il a été véhiculé par la Charia de Votre grand aïeul le Prophète Sidna Mohammed( Prière et Salut soient sur Lui)", et de rétablir la Tariqâtou Tijaniyya dans son essence qui lui a permis de jouir de toute cette sollicitude dont elle a toujours été entourée par les sultans alaouites.
"Nous, ajoute le message, rendons grâce à Allâh(swt) pour avoir permis à la faveur de cette rencontre de réaffirmer les liens solides qui nous unissent, en particulier, et les différents Tijanis de par le monde, en général, à Votre Majesté, en Votre qualité d'"Amir Al Mouminine". "Lesquels liens existaient entre Cheikh Sidi Ahmed Tijani(raa) et Votre auguste aïeul, le Sultan Moulay Slimane( que Dieu les agréent)", poursuit le message.
Ils ont affirmé que la tenue de cette réunion, sous le Haut patronage de SM le Roi, et le choix porté par le Souverain sur la ville de Fès, berceau, source et centre de rayonnement de la Tariqâtou Tijaniyya, pour abriter cette réunion, "a comblé de joie et de bonheur les coeurs des Tijanis, qui ont élevé des prières pour le bien-être de Votre Majesté".
Cette rencontre, ajoute le message, a permis aux adeptes de la Tariqa Tijania de visiter le Mausolée du Cheikh Sidi Ahmed Tijani(raa) à la Zawiya mère, de renouer les retrouvailles avec les leurs et de renouveler les liens de fraternité en Dieu(swt), qui se manifestent en les préceptes de cette Tariqa bénie.
Les Chorfas, petits-fils de Cheikh Sidi Ahmed Tijani(raa) ont également imploré le Tout-Puissant d'accorder gloire et grandeur à SEM le Roi, de L'entourer de Ses bienfaits, de Le préserver et de Le combler en la personne de SAR le Prince héritier Moulay El Hassan, de SAR le Prince Moulay Rachid et de l'ensemble des membres de l'illustre famille royale.
Puisse Allâh(swt) oindre l'orient et l'occident,de l'océan de sa parole sacrée ,aux vagues purificatrices et salvatrices ,par le biais de la Faydhatoul Tijaniyya !
Allâhoumma Amîne ! Qu'Allâh(swt) nous donne guide sur le Droit chemin,nous facilite la grande ouverture et nous donne la chance de faire la Ziara du mausolée de notre Cheikh ,Cheikh Ahmadat'Tijânî chérif (radiyal'lâhu anhu ) !
Amîiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiinnnnnnnnnnnnnneeeeeeeeeeeee yâaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
raaaaaaaaaaaabbbbbbbbbbbbbbbb !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
wa salam
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Ziara des Talibés de la Tarîqâtou Tijaniya à Fès: Le Maroc facilite le pèlerinage.
03/07/2007 20:01
Pour permettre aux pèlerins Tijanes d’accomplir leur devoir de Ziara à la Zaouia de Cheikh Sidi Ahmed Tijani chérif (raa) dans les meilleures conditions, Royal Air Maroc et ses partenaires ont conçu “Ziara Tijaniya”, un voyage qui partira du Mali et du Sénégal à Fès en passant par la grande mosquée Hassan II de Casablanca et le mausolée de Sidi El Arbi Bensayeh à Rabat à partir de 380 000F CFA/TTC. Autrement dit, les pèlerins du Mali ou du Sénégal avec ce montant bénéficieront d’un voyage (avion, hôtel plus transfert) de 8 jours, 7 nuits à Casablanca, Rabat et Fès.
Ce packaga avion et prestation terrestre sera exclusivement réservé aux agences agréées par la Royal Air Maroc et l’agence Objectif Maroc qui doit recevoir au minimum 7 jours avant l’arrivée du client. Pour mieux faire connaître ce produit marocain “Ziara Tijaniya” la Royal Air Maroc a invité des agences de voyage du Mali, des personnalités et un représentant de l’office malien de tourisme et de l’hôtellerie.
A cette occasion la Royal Air Maroc, à travers ses partenaires, fait découvrir aux maliens Fès, une ville impériale riche de plus de 12 siècles d’histoire et d’autres villes historiques comme Meknès, Moulay Idriss. Pour cela, Objectif Maroc avait mis à la disposition des maliens un guide professionnel M. Chakib Kabbaj qui n’a ménagé aucun effort pour satisfaire les hôtes.
FES, ANCIENNE VILLE RELIGIEUSE ET CULTURELLE :
Classée comme patrimoine mondial, la ville de Fès , créée en 808 par Idriss II est divisée en quatre sous préfectures et compte environ un million cinq cent mille (1 500 000) habitants avec 13 000 maisons dont plus de 2 400 maisons bourgeoises. Ville religieuse, la ville de Fès compte plus de 350 mosquées et plusieurs médersas dont une qui date du 13ème siècle le plus ancien du royaume du Maroc. Aussi, c’est dans cette ville que repose l’un des plus grands saints l’ismane à savoir Cheikh Sidi Ahmed Tijane.

En plus, il existe dans la ville de Fès le plus grand ancien palais royal qui date du 13ème siècle et couvre une superficie de 85 hectares. Il faut par ailleurs rappeler que la ville de Fès a eu la première université (La Quarawiyine) et que la Médina c’est à dire l’ancienne ville de Fès, créée en 808 en plus du mausolée de Cheikh Sidi Ahmed Tijane, cette ville regorge des ressources artisanales.
FES, UNE VILLE ARTISANALE :
Dans la Médina de Fès on peut compter plusieurs corps de métiers comme la menuiserie, la tannerie, la maroquinerie. Cette Médina qui compte environ 250 000 habitants, était divisée en des quartiers comme celui des tisserands, celui des menuisiers.
D’AUTRES VILLES VISITEES :
En plus de la découverte de la ville de Fès, les Maliens ont aussi visité d’autres villes historiques. C’est ainsi que les invités de Royal Air Maroc se sont rendus à Meknes, une ville historique à environ 60 km de Fès. C’est dans cette ville qui compte 650 000 habitants que repose de Moulaye Ismaïl, sa première épouse et deux de ses fils.
Aussi, les hôtes de Royal Air Maroc ont visité la ville sainte Moulaye Idriss où repose Idriss premier. Cette ville qui compte environ 15 000 habitants aujourd’hui, était interdite aux non musulmans à l’époque du protectorat.
Et pour faciliter le séjour, il existe plusieurs hôtels qui travaillent en étroite collaboration avec le Centre Régional du Tourisme de Fès (CRT). Ainsi, le président du CRT, M. Faceh Driss a souligné l’importance du package proposé par la Royal Air Maroc et l’agence Objectif Maroc avec un tarif exceptionnel.
Il a par ailleurs précisé que la Royal Air Maroc et l’agence Objectif Maroc envisagent d’organiser une semaine culturelle de Fès à Bamako.
Source : LeMali.fr (Nouvel Horizon du 19 juin 2007
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Le mystère de Fès !
03/07/2007 19:47
L'ancienne capitale mérinide séduit autant par son goût du secret que par le raffinement de son architecture et de ses beaux-arts.
Dans la Talaa Kebira, l'une des deux rues les plus importantes de Fès el-Bali, la vieille médina de Fès, les commentaires ce jour-là vont bon train. « Mohammed VI, le nouveau roi du Maroc, se marie. » C'est bien. « Et pas avec une princesse, avec une fille de Fès ! » C'est mieux.
Hochements de tête satisfaits au sommet des gandouras blanches. Aux yeux des Marocains,et particulièrement des habitants de Fès, avoir un ancêtre fasi vaut tous les pedigrees aristocratiques. L'ancienne capitale impériale a beau avoir été détrônée sur le plan politique et économique par les villes roturières du littoral, elle reste le symbole de l'identité du royaume chérifien.
Et qu'importe que, de Tanger à Marrakech, on se moque de l'accent "fasi", du snobisme et de l'arrogance de l'antique cité ! Qu'importe si la population de Fès a changé et si, dans la médina grouillante d'El-Bali, les villageois moins policés venus de la montagne ont remplacé les grandes familles bourgeoises, émigrées à Rabat et à Casablanca. Être de souche fasi, c'est avoir en soi les mânes d'El Andalous, des royaumes de Cordoue et de Grenade, le paradis perdu dont le raffinement irrigue comme à perpétuité la conscience marocaine.
C'est communier aussi avec le mystère d'une ville d'art où la beauté est partout, des toits verts de la mosquée Karaouiyne, imitée de Cordoue, aux superbes faïences polychromes qui encombrent les étals des souks. La capitale qu'Idriss, descendant de Mahomet(saw), décida de fonder au VIIIe siècle sur les bords de l'oued Fez, en plein coeur des terres fertiles du Zaïs, n'est plus seulement une ville, elle est un mythe, symbole de raffinement et de grandeur. Elle fascine !
Dans la ville nouvelle, loin de la foule nonchalante de Fès el-Bali, Jalil el-Hayar n'a pas voulu prendre le risque de restaurer. Il a préféré construire. Le Dar Ziryab est une villa moderne décorée de la cave au grenier comme un palais traditionnel, avec mosaïques, stalactites et plafonds peints. Passéisme ? Désir surtout de vivre au sein de la légende. Pour ressusciter dans un monde de brutes un peu de la douceur de vivre des anciens, quand l'islam était aussi synonyme d'art et que la musique andalouse adoucissait les moeurs...
Digne des « mille et une nuits »
Confort sommaire, maison superbe. « Un ancien palais ? » Sourire condescendant du guide. Encore un peu et il vous reprocherait de confondre une HLM avec la chapelle Sixtine. Quelques minutes plus tard, il ouvre la porte d'un ami. Le couloir fait un angle, un autre encore, et brusquement, c'est l'enchantement : autour d'un patio inondé de mosaïques, deux étages de galeries élèvent vers le ciel leurs colonnades. Les plafonds sont tous peints d'arabesques et de fleurs aux couleurs raffinées. L'ensemble est d'une délicatesse exquise. Un palais digne des « Mille et une nuits » ! « Vous êtes comme Abraham ! s'exclame Driss. Le jour où il vit la Lune, il crut qu'elle était Dieu(swt). Mais le lendemain il vit le Soleil et crut que c'était Dieu(swt). Le jour d'après, il se rendit compte qu'il s'était trompé : Dieu(swt) était bien autre chose. Vous vous extasiez sur de vulgaires maisons, en croyant qu'elles sont la demeure des princes. Un palais, à Fès, c'est tout autre chose ! »
C'est par exemple, à l'ouest de la ville, au fond d'un chemin en pente oublié des services municipaux, une immense villa où pointent les herbes folles. Construit au début du siècle dans le goût hispano victorien, le palais Mokri se survit à lui-même. Du temps de la splendeur de son commanditaire, un ancien ministre, il y avait un grand piano à queue dans le salon des invités qui domine le patio, se souvient le gardien. L'argenterie de Manchester, les meubles de prix encombraient les étages. Aujourd'hui, la peinture s'écaille, la mosaïque est ruinée par les boursouflures. La famille essaie de le vendre...
A quelques ruelles de là, le palais du Glaoui, le féodal qui provoqua l'exil de Mohammed V, fait encore plus triste figure, avec ses 13 000 mètres carrés de moins en moins habitables. « Vous voyez tous ces cyprès ? explique Abdou Boukhriss, le gardien, en montrant l'intrication des cours et des terrasses qui s'étendent à ses pieds. Ils cachent tous des palais. Il y en a près de quatre cents. Comment les conserver ? »
Fès va mal. La ville aux soixante fontaines manque d'eau. L'oued est devenu un égout que les autorités ont entrepris de couvrir pour le protéger des ordures. Les vieilles canalisations sont percées et sapent les fondations. Le rêve fasi pourtant persiste. L'architecte Chakir Sefrioui vient d'investir une fortune pour transformer une demeure des années 30 en une résidence dans le goût « début de siècle » local, avec soierie d'inspiration lyonnaise et meubles Louis-Philippe décorés d'arabesques. « J'ai voulu faire connaître l'art de vivre de la bourgeoisie fassie, explique-t-il, quitte à recréer moi-même des meubles. » Le résultat est d'un luxe inouï, au baroque très oriental.
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