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Taîba Niassène
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Taîba Niassène

VIP-Blog de momowally
bayy-99@hotmail.com

  • 343 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 25/06/2007 20:12
    Modifié : 18/01/2014 10:26

    Garçon (38 ans)
    Origine : Abidjan
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    Un morceau d?or pur Par Amadou Hampaté-Bâ

    09/05/2013 22:14

    Un morceau d?or pur  Par Amadou Hampaté-Bâ


    Un morceau d’or pur
    Par Amadou Hampaté-Bâ
    *

    Nous sommes tous porteurs, au plus profond de nous-mêmes, de ce petit morceau d’or pur recouvert par de multiples voiles. Lorsque nous en prenons conscience, lorsque nous nous éveillons, le maître n’est pas loin...
    On ne connaissait de lui que son nom, Bahamma, et son surnom : Maabal. Il menait alors une vie dissolue, passait ses nuits dans les bouges à chanter et à boire, était presque toujours ivre et fréquentait les mauvais garçons. Les gens de Mopti l’appelaient « ce voyou de Maabal ».
    Tierno Bokar [1] ne quittait presque jamais son centre spirituel de Bandiagara. Cependant une ou deux fois par an, surtout avant les grandes fêtes, il se rendait à cheval dans la grande ville de Mopti pour s’y approvisionner… Ce soir-là, Maabal, qui revenait du fleuve aperçut au loin Tierno. Intrigué par cette présence inhabituelle, il le suivit jusque dans la cour de son logeur, l’aida à descendre de cheval, dessella l’animal et le prit pour aller le laver au bord du Niger. Après l’avoir bouchonné et pansé comme il convient, il le ramena dans la cour, lui donna à manger une botte d’herbe qu’il avait ramassé en route et vint s’installer spontanément non loin de Tierno. Celui-ci, qui était assis sur une natte en peau, lui offrit la place située à sa droite.
    Dès que les disciples de Tierno habitant Mopti accoururent pour le saluer, des exclamations fusèrent aussitôt : « Mais comment, Tierno ! Tu acceptes que ce Maabal, ce voyou qui passe toute la journée à boire et qui est le garçon le plus dévergondé de Mopti, s’asseye là, à ta droite ? Ah ! Si nous avions été là, jamais il ne serait rentré chez toi ! ». Tierno les regarda tous longuement. Maabal n’avait émis aucune réaction : il était là, impassible, comme s’il s’agissait de quelqu’un d’autre. « Mes chers amis, dit alors Tierno, permettez-moi de vous dire que vous faites erreur ! Cet homme qui est à mes côtés, je ne le vois pas comme vous. Pour moi, Maabal est un morceau d’or pur enveloppé dans un chiffon sale qui a été jeté sur un tas d’ordures. Ni ce qui enveloppe l’or, ni le lieu où il se trouve ne peuvent diminuer sa valeur, car ce sont des éléments extérieurs à lui-même ».
    La parole de Tierno n’était pas tombée dans l’oreille d’un sourd. Maabal en avait été profondément remué…
    Quelques jours plus tard, alors que Tierno était rentré chez lui à Bandiagara, Maabal sentit en lui un appel irrésistible et se mit en route pour rejoindre celui qui occupait toutes ses pensées. En quelques jours, il parcourut à pieds les cent kilomètres séparant Mopti de Bandiagara et se présenta chez Tierno peu après la prière de l’après-midi. Le maître était dans son vestibule, entouré de ses disciples, en train d’enseigner. Après l’échange des salutations d’usage, Tierno engagea la conversation :
    - Hé, Maabal ! Sois le bienvenu ! Et merci encore d’avoir si bien soigné mon cheval l’autre jour !
    - Tierno, répondit Maabal, je suis venu te voir avec une intention bien précise. Je ne voudrais plus vivre là où tu n’es pas. Je veux vivre à tes côtés, être avec toi constamment. Parce que seul l’homme dont l’œil a su discerner le morceau d’or pur sous un chiffon sale jeté sur un tas d’ordures aura la main capable de déchirer le chiffon et de faire apparaître l’or. C’est pour cela que je suis venu vers toi.
    - J’en suis heureux, mon fils, et j’accepte ta demande. Sois le bienvenu ! Nous vivrons donc ensemble… Toutefois, ce n’est pas moi qui ferais le travail : c’est à Dieu de déchirer le chiffon pour que l’or apparaisse. Je sais seulement qu’il y a de l’or, mais pour qu’il apparaisse, c’est une question de temps… As-tu un métier traditionnel ?
    - Oui, je suis tisserand, et même un bon tisserand…
    Tierno envoya alors quelqu’un chercher un métier à tisser. Il le fit installer dans la cour, contre le mur qui faisait face à sa propre case de prière de telle sorte que chaque fois que Maabal levait la tête, il voyait Tierno, et que chaque fois que Tierno levait la tête, il voyait Maabal.
    Trois mois passèrent. Maabal travaillait à son métier, priait, regardait Tierno et écoutait son enseignement. Et un matin, Maabal l’illettré, Maabal qui n’avait même jamais fréquenté l’école coranique, Maabal qui n’avait jamais rien lu, se mit à chanter et ne s’arrêta plus. Visité par une inspiration irrépressible, il improvisait en langue peul de longues odes mystiques dont la splendeur poétique et l’élévation de pensée stupéfièrent tous ceux qui les entendaient, à commencer par les marabouts de Bandiagara. Et ses poèmes, sitôt chantés, étaient repris et colportés à travers la ville…
    Une nouvelle ivresse s’était emparée de Maabal, celle de l’Amour de Dieu : « L’Amour de Dieu a pénétré en moi. Il est allé se loger jusqu’à l’intérieur de mes os et en a tari la moelle, si bien que je suis devenu aussi léger qu’une feuille que le vent balance entre terre et ciel… » De ce jour, Maabal n’a plus cessé de composer. Il était ainsi devenu l’un des plus grands poètes peuls de son temps…
    La transformation fulgurante de Maabal et les hautes connaissances spirituelles dont témoignaient ses poèmes emplissaient les marabouts d’étonnement : comment un homme qui n’avait jamais étudié pouvait-il connaître, ou pressentir, de telles réalités d’ordre supérieur ? En fait, Maabal faisait mieux que les pressentir : comme disent les soufis, il les    « goûtait ».
    En moins de trois années, Maabal avait été tellement consumé de l’intérieur que toute enveloppe matérielle était devenue pour lui transparente. Couché dans sa case, il pouvait voir l’état du ciel à travers la toiture. Il pouvait aussi voir les gens approcher de sa case comme si les murs n’existaient pas. Il était bien devenu « aussi léger qu’une feuille que le vent balance entre terre et ciel ».

    Je suis submergé par une mer
    Et mon amour guette l’apparition de la lune,
    Puisse-t-il être exaucé et s’écrier : « Ô croissant,
    Enfin visible et chargé de toute beauté ! »
    A l’instant où Tu ordonnas un scintillement,
    La tente des ténèbres fut arrachée,
    La forteresse de la débauche s’écroula,
    Et un feu brillant jaillit, de tous côtés.

    Mes yeux ont clignoté
    Alors que j’étais enivré,
    Mon esprit s’est détourné
    De toutes les voies de ce monde.

    Dès lors l’Ennemi de Dieu s’est enfui,
    Me laissant en paix.
    Délesté de mes péchés, je suis dans la joie,
    Loué sois-Tu pour tous Tes Dons !

    Je suis en prosternation
    Pour rendre grâces à l’Aimant,
    Le Secourable, l’Unique.
    Quand voudra-t-Il me faire entièrement revenir à moi ?

    Un bienfait a été répandu,
    Les ténèbres ont été dissipées,
    Maabal a été « rapproché »,
    Avec tous les amis de Dieu.

    Ma poitrine est chargée
    Du poids de mon amour pour Ahmed.
    Un parfum soudain s’est exhalé,
    Que je ne puis comparer à rien d’autre.

    Ô Roi Très-Haut !
    Si prompt à la miséricorde,
    Le Savant et le Sage,
    Veillant à l’accomplissement de toute chose.

    Fais-moi sortir de cette forteresse de pierre !
    Fais-moi entrer dans la « Barque sacrée » !
    Dépouille-moi de la tunique « tâchée » !
    Purifie totalement mon être intérieur !

    Tu as appelé et nous avons répondu.
    Je ne dis pas que ce fut par un son articulé,
    Mais par un effet de Ta Volonté,
    Ô Créateur de toutes les créatures ! [2]

    * Amadou Hampaté Bâ (1901-1991) est l’auteur de Amkoullel, l’enfant peul, 2 tomes, Actes Sud, 1991 et 1994.

    [1] : Tierno Bokar (1875-1939) fut un important maître éducateur au sein de la voie tidjaniya au Mali. .

    [2] : Traduction d’un extrait de Sorsorewel, poème de Maabal écrit en peul.





     

     

    sidi Tamacini(raa)

    26/01/2013 17:46

    sidi Tamacini(raa)


     

    Sidi Ali Tamasin (1766-1844), qu'Allah soit satisfait de lui, était le successeur désigné (khalifa ) de Shaykh Ahmad Tijani (RA), et il est devenu connu comme la plus haute autorité spirituelle du monde ( Qutb ) suite au décès de Cheikh Tijani . Il était originaire de l'est de l'oasis algérienne de Tamasin, où sa zawiya est toujours un centre de Tijani Ahmad Tijani notables.Shaykh lui investi de la Imama dans la zawiya grande à Fès en présence d'un grand nombre d'autres savants remarquables et des saints. Une fois interrogé par un autre disciple d'être donné son autorisation pour une prière certaine maîtrisé par Ali Tamasin, Cheikh Tijani a répondu: «Y at-il une autre comme Ali Tamasin?"

    Il a été reconnu pour la karamat (les miracles de saints) découlant de ses mains. Il était un guérisseur doué et je savais certains secrets de voyager sur de grandes distances avec une seule étape ou pour envoyer des objets à d'autres. Pour la démonstration ouverte de ces deux dernières capacités, il a été réprimandé par Cheikh Tijani, qui lui dit: «Si vous voulez me rendre visite pour l'amour d'Allah, tu devrais venir comme les gens du commun: avec des sandales, sur un cheval, se sentant la fatigue, la soif et l'agitation. "Cheikh Tijani même lui a dit d'arrêter d'envoyer les dates de sa ferme en les jetant en l'air à apparaître des centaines de miles sur les tapis de prière Cheikh Tijani en face de ses autres compagnons.

    Il a également été offert à des rencontres fréquentes avec les visionnaires du prophète Mahomet. Selon Ahmad Sukayrij: «Une fois, quand il a entendu des gens discuter de la vision du Prophète, il dit:« Il ya des gens présents avec vous en ce moment qui ne font rien, petit ou grand, sans obtenir la permission du Prophète par voie de face-à-face comme on le voit par les yeux. Et ce dans la mesure où ils ne se lèvent pas du lit, ils dorment moins que le Prophète sur leur ordonne de le faire. " Et les gens qui l'écoutaient compris qu'il faisait allusion à lui-même. "

    Il avait un amour immense pour Shaykh Ahmad Tijani qui a précédé ses propres ancêtres. Selon Sukayrij, "Il n'a pas remonter son ascendance à personne, sauf Shaykh Ahmad Tijani, mai qu'Allah soit satisfait de lui. Un jour, certains de ses propres fils lui a demandé le nom de son père, disait-il, «Isa». Ils ont dit: «Ô Sidi, le fils de qui? Il leur a dit: «Le fils d'un tel et un tel." Ils ont demandé: «Et il était le fils de qui? Sidi Ali dit alors: «Vous me demandez sur ma lignée? Ils ont dit: «Oui». Alors il dit: «Certes, je suis Ali, le fils d'Ahmad al-Tijani, mai qu'Allah soit satisfait de lui. Et il a été rapporté à moi qu'il a, qu'Allah soit satisfait de lui, était le fils de Cheikh Tijani par l'attribut de qutbaniyya (polehood) ... "

    Il est largement rapporté que Ali Tamasin atteint la station de polehood après le décès de Cheikh Tijani. Il est ainsi devenu un propagateur principal de la Tariqa Tijaniyya et responsable de la formation spirituelle des initiés. Ahmad Sukayrij écrit: «Après le décès du Cheikh, qu'Allah soit satisfait de lui, les indications de la grande illumination est apparu sur Tamasin Ali, et il a entrepris laSidi Ali Tamasin était connu dès son jeune âge pour sa piété et l'érudition, et a d'abord été formé par son père, al-Hajj Isa, lui-même réputé pour sa virtuosité et l'apprentissage. Sidi Ali était aussi un entrepreneur à succès, et est devenu un fermier date de riches dans le désert de l'Algérie. Il a d'abord rencontré Cheikh Tijani en 1790 avant la création du Cheikh à Fès et quelques années après la fondation de la Tijaniyya. Cheikh Tijani a rapidement reconnu aptitude spirituelle Sidi Ali, et lui ordonna de fonder sa propre zaouïa Tijani dans Tamasin en 1803. Telle était sa confiance à Sidi Ali que Cheikh Tijani a confié ses propres fils aux soins de Sidi Ali sur son passage, lui demandant de les installer à Ain Madi en tout confort, en disant: "Seul le Sahara faire pour mes enfants." Chargé de la lourde tâche de succéder à la direction de la Tariqa, il a pris une approche pratique en s'appuyant sur l'érudition, le travail physique et la purification spirituelle. Il est rapporté comme disant, "je vous recommande le comité de rédaction, la houe et le chapelet jusqu'à ce que l'âme doit quitter le corps." En Tamasin, il a reçu la visite de Cheikh Ibrahim Riahi de Tunis et d'autres spécialistes de la Mauritanie et du Soudan. Il était également en correspondance fréquente avec Sidi Sa'ih al-Arabi Ibn, et personnellement chargé Sidi Ahmad Abdalawi. La zaouïa Tamasin est actuellement dirigé par Sidi Ali descendant, Sidi Muhammad al-'Id.

    Sources: Ahmad Sukayrij," Kashf al-Hijab" , Siège social de "La Zaouia Tijaniya" de Temacine: Modernité et Continuité" (2003); entretiens avec Cheikh Hassan Cissé. formation spirituelle ( tarbiya ) dans la Tariqa. Un flot extatique ( fayadan wijdani ) est apparu sur lui de telle sorte que son semblable n'a été trouvée parmi les cheikhs perfectionnés, et les gens venaient à lui de les horizons plus lointains à prendre (la Tariqa) ​​de lui et obtenir la bénédiction de lui. "

    was sallam





     

     

    Khalifat al-Akbar, Sidi Ali al-Barada Harazim Par Zakariya Wright Doué d'une gnose et la sainteté consommée, Sidi Ali Harazim était connu comme le plus grand hé

    26/01/2013 17:22

    Khalifat al-Akbar, Sidi Ali al-Barada Harazim Par Zakariya Wright  Doué d'une gnose et la sainteté consommée, Sidi Ali Harazim était connu comme le plus grand hé


     

    Sallam à tous les Talibés Baye !                                                                           Le Khalifat al-Akbar, Sidi Ali al-Barada Harazim(raa) était

    Doué d'une gnose et la sainteté consommée, Sidi Ali Harazim était connu comme le plus grand héritier (khalifa) de Shaykh Ahmad Tijani, et a félicité le cheikh par le Prophète Muhammad lui-même. Dans une vision de veille, le Prophète a dit le Cheikh: «Il est pour vous ce que Abu Bakr était pour moi." Dans une autre vision, le Prophète a dit: «Ô Ahmad, consultez votre plus grand serviteur ( khadimik al-akbar ) et votre bien-aimée , Harazim, car il est pour vous ce que Aaron était pour Moïse. "

    Sidi Ali a rencontré Cheikh Tijani en Wajda (ou Oujda, Maroc oriental) tandis que le second était en route pour Fès après le retour du Hajj. Tous deux avaient reçu la connaissance de Dieu qu'il devait être associé à l'autre, mais Sidi Ali n'a pas immédiatement reconnaître Cheikh Tijani jusqu'à ce que le Cheikh a dit, "Vous avez dit que votre maître sur le chemin sera un certain Shaykh Ahmad Tijani». fort étonné de la capacité de l'étranger de deviner le contenu de ses rêves précédents, Sidi Ali a répondu: «Oui, c'est ainsi." Cheikh Tijani dit alors: «Je suis celui." A ce moment Cheikh Tijani n'avait pas encore reçu sa propre Tariqa Muhammadiyyadu Prophète, de sorte Cheikh Tijani lui instruit dans la voie Khalwati.

    Sidi Ali a accompagné le Cheikh quand il s'installa à Fès (1798), et a été responsable pour composer le Jawahir al-Maani , qui reste la principale source de la vie Cheikh Tijani et les enseignements. De ce livre, le Prophète dit à Cheikh Tijani, "ce livre appartient à moi", et au sujet des paroles de Sidi Ali, plus généralement, le Cheikh disait: «Que mon khalifa dit, je dis aussi que. "Il est également signalé aurait dit de Sidi Ali, «Personne ne recevra rien de moi, sauf par voie de Sidi Harazim." Bien qu'il soit mort avant de Cheikh Tijani, Sidi Ali est toujours considéré comme le plus grand successeur spirituel parmi les compagnons du Cheikh, même si le plus grand successeur vivant au passage propre Cheikh Tijani était Sidi Ali Tamasini.

    Après avoir reçu la plus grande illumination ( fath al-akbar ), le Cheikh Sidi Ali Harazim envoyé pour accomplir son pèlerinage à La Mecque et à visiter le prophète Mahomet à Médine. De nombreux miracles (karamat) et de dévoilements spirituels sont rapportés dans ce voyage, que nous ne sommes pas enclins à mentionner ici. Mais il est clair son zèle sublime spirituelle (himma) a touché beaucoup de ceux qui l'ont rencontré dans ce voyage, parmi lesquels se trouvait Cheikh al-Islam Ibrahim Riahi, de l'Université Zitouna qui a accueilli Sidi Ali pendant plusieurs mois à Tunis. Cheikh Riyahi est sans doute inspirée de rencontrer Sidi Ali à visiter Cheikh Tijani lui-même plus tard, lors d'un voyage à Fès.

    Après avoir accompli le pèlerinage, Sidi Ali est allé visiter le tombeau du Prophète. Quand il est arrivé à Badr sur le chemin de Médine, il a été vaincue par l'amour pour le Prophète et tomba dans un profond état spirituel (hal) qu'il est venu pour être enterré parmi les martyrs de Badr. Au moment exact de sa sépulture, Cheikh Tijani a dit à ses compagnons à Fès: «S'ils n'ont pas l'enterrer, ils entendre parler de lui sciences, la gnose et de secrets comme ils n'ont jamais entendu parler avant et je n'ai jamais trouvé dans aucun livre." Sa tombe à Badr ne se distingue plus, comme beaucoup d'autres tombes détruites dans les deux derniers siècles. Mais Cheikh Hassan Cissé, lors de la visite Badr il ya quelques années, rapporte avoir été indiqué l'endroit exact dans une rencontre visionnaire avec Sidi Ali Harazem lui-même.

     





     

     

    Le mariage: Que disent les textes?

    13/01/2013 16:19

    Le mariage: Que disent les textes?


    Baye Niass(raa) conseille et recommande ce qui suit :

    Le mariage est sujet à controverse pour beaucoup de personnes, selon  son degré de compréhension, d'analyses et de raisonnement.

    Sinon,les textes recommandent qu'Il est obligatoire à  toute personne puissante  qui possède un fort penchant sexuel,  de se marier. Il est  préférable, pour  celui qui modéré sexuellement de se marier mais ce n’est pas une obligation. 

    Il est,par contre, interdit à celui qui est impuissant sexuel  et à un démuni financier  de contracter un mmariage .

     Le prophète (paix et salut sur lui) conseille et recommande à celui qui veut se marier  de  choisir une femme pieuse qui pratique la religion,  issue  de familles vertueuses.                                                                              Qu’il choisisse les vierges, car elles ont un amour plus sincère.                                                                              Les sages disent : "si tu épouses une divorcée ou une veuve qui n’a pas d’enfant, tu n’auras que la moitié de son cœur, l’autre moitié sera pour son premier mari".

    Et, si elle a un enfant qui n’est pas de toi, tu n’auras aucune partie de son cœur, car une moitié de son cœur sera avec son premier mari et l’autre moitié avec son enfant. Elle consommera tous tes biens et te contredira dans la plus part des cas.

    Le prophète (paix et salut et sur lui) a dit:" on m’a fait aimé dans votre monde les femmes, les parfums et ma consolation dans la prière ! "

    Les femmes, car le prophète(saw) trouve chez ses épouses une aide pour faire passer le message coranique.    Et, tout croyant marié trouve en sa femme une aide pour sa religion.

    Car sans la femme qui cuisine, pile, malaxe,  cuisine, lave,  nettoie la chambre,  garde les enfants,  l’homme  allait s’en occuper et cela l’empêcherait de s’acquitter convenablement de l’adoration.

    C’est pour cela que la femme est une aide pour tout musulman dans sa religion. C’est pour cela qu’il a été dit que la femme vertueuse n’est pas de ce monde mais c'est un appui pour son mari en vue de l’autre monde…*

    Qu'Allâh(swt) nous guide sur le droit chemin !*wa sallam





     

     

    Dieu,Finalité de nos Actes d'Adoration

    26/11/2012 23:58

    Dieu,Finalité de nos Actes d'Adoration


    Sallam,chers frères ! Notre Guide bien-aimé;Mawlana Cheikh Al islam El Hajj Ibrahima Niass de Kaolack nous enseigne sur la  finalité de nos actes d'adoration.Il dit et je cite : 
    «Je me réfugie auprès de Dieu, contre Ibliss le chassé !
    Au nom de Dieu, clément et miséricordieux
    C'est Dieu qui nous a crées, c'est lui qui nous a donné l'intelligence et la faculté de discernement en faisant de nous, les êtres les plus élevés de toute sa création.
    C'est lui qui nous pourvoie en richesses de toute sorte, il ne se devait pas de le faire, mais s'il  ne le fait pas, personne ne le fera, véritablement notre seul et unique allié dans le bonheur et l'adversité le plus profond c'est Dieu. Efforçons nous donc dans le culte que nous lui vouons de l'exécuter dans la seule finalité que c'est lui l'ordonnateur.
    Baye dit , je cite :
    «Dans n'importe quel endroit où tu puisses te trouver , il existe une corde qui te lie à ton Seigneur , tu exécutes les cinq prières quotidiennes, pourquoi fais-tu ces prières ? C'est la foi en Dieu qui te lie à Dieu, ton Seigneur t'a ordonné de prier, tu ne cherches pas à comprendre si la prière est bénéfique ou si elle ne l'est pas, tu ne te préoccupes pas du nombre des rakkas, tout cela n'est d'aucune importance pour toi, C'est Dieu qui te l'a ordonné, c'est ton Seigneur, fais-le ; Si tu prie alors à cause de cela, cette prière t'a lié à Dieu.
    Tu jeùnes , alors que le Jeùn n'est rien d'autre que s'abstenir de manger et de boire.Ne pas manger et boire est la conséquence de l'interdiction par Dieu. s' abstenir le motive , donc le Jeun deviens un acte qui te lie à ton Seigneur , si c'est le contraire ce n'est qu' être dans la faim et la soif et rien d'autre . Si tu donnes ton argent en guise de subsistance;c'est  parce que tu suis une recommandation de Dieu, cet acte aussi t'a lié à Dieu, si c'est pour que les gens disent que tu es généreux ou que tu le fais par pure ostentation, tu dépenses ton argent pour rien, en ce qui concerne le Pèlerinage aussi c'est pareil. Le fait de laisser les interdits aussi c'est la même chose, si tu le fais pour éviter que les gens disent du mal de toi, cette action ne te lie pas à Dieu, si tu le délaisses à cause de l'interdiction de Dieu de ne pas s'y adonner alors ceci te lie à ton Seigneur. Donc, forcément c'est la foi qui est l'origine (la source), tu sais  quoi que tu  faisses, c'est à cause de la foi.

    Il n'ya de force et de puissance qu'en Dieu

    Assalamou Aleykoume



    Taîba NiassèneCommentaire de momowally (13/01/2013 17:33) :

    Baye Niass conseille et recommande à tous les Talibés: « Il n'y a pas de plus miraculeux que de travailler pour moi ». « Baye said the biggest miracle ever is working for him !” Alors,travaillons pour Baye,il travaillera pour Nous !

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