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Taîba Niassène
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Taîba Niassène

VIP-Blog de momowally
bayy-99@hotmail.com

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  • Créé le : 25/06/2007 20:12
    Modifié : 18/01/2014 10:26

    Garçon (38 ans)
    Origine : Abidjan
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    ESSAI A LA TRADUCTION DES OUVRAGES DE CHEIKH AL ISLAM ELHADJI IBRAHIMA NIASS (r.a.)

    05/09/2007 21:19



    CHEIKH AL ISLAM EL HADJI IBRAHIMA NIASS

     

     

     

     

    ESSAI  A LA TRADUCTION DES OUVRAGES DE CHEIKH AL ISLAM ELHADJI IBRAHIMA NIASS (r.a.)

     

     

     

    DEDICACE

     

    Je dédie cette traduction à mon maître et bienfaiteur, le professeur Ibrahim Mahmoud DIOP, l’universel homme de savoir . Soutien généreux et vivificateur incontesté de l’image, ainsi que de la mission de Baye NIASS(raa), dont il a été le compagnon, dans les moments les plus chauds de la destinée de ce pôle incomparable.

     

    Aux premières lueurs de l’an Deux mille, sur recommandation de Cheikh Ahmad Tîdjâni Ibrahim NIASS, le fils du Dragon aux qualités infinies , à qui j’avais montré le début de mes travaux sur Baye, je remis, entre autres, le manuscrit de cette traduction à notre bien aimé et vaillant professeur, qui, bien des mois après, me dis, lors d’une visite que je lui fis, ces mots : « Je pense que les traductions ont le Feu Vert. » Fin de citation.

     

     

     

    Je contactai alors un haut responsable qui me promit d’éditer ce livre. Je revins en parler à mon maître choisi, le professeur Barham DIOP en l’occurrence, qui eut dans son salon une conversation avec l’homme dont il est question, afin de dissiper les doutes que ce dernier avait pu avoir quant à ma personnalité, de même qu’au bien fondé de mes dires.

     

    Le professeur me conseilla donc d’aller lui porter le manuscrit, ce que je fis. Malheureusement, depuis ce jour, le livre n’a pas été édité et, pourtant, il dormait tout au fond des tiroirs d’une imprimerie, pour la simple et bien fondée raison que les frais nécessaires à l’impression n’avaient pas été contractés. Je déplore et regrette que cette édition de la traduction du premier voyage de Cheikh Ibrahim ait été de conception purement artisanale par manque de moyens.

     

     

     

    Mais, bien sûr, comme tout début est difficile et que je ne veux plus en aucun cas importuner le professeur Barham DIOP qui avait, en l’an Deux mille deux financé l’édition de mon premier ouvrage « Le Soleil du couchant », un recueil de poésie à l’honneur de Cheikh Ibrahima NIASS (r.a.), je ne peux m’empêcher d’œuvrer avec les moyens du bord.

     

    Comme l’ont dit deux hommes dont le premier est sans conteste le joyau du monde et l’autre un des plus beaux esprits de France, je cite : « L’action vaut par l’intention. » Et puis… « Un tiens, vaut mieux que deux tu l’auras. » Car, « L’un est sûr, l’autre ne l’est pas. » Fun de citation.

     

    Je remercie Oustaze Jim Guéye qui par son érudition et sa parfaite connaissance des ouvrages de Baye Niass a pu m’être d’un concours inestimable, par le sérieux du travail fourni.

     

    Pour terminer, je m’excuse de toute imperfection que pourrait contenir ce livre et je demande qu’elle me soit pardonnée en regard de ce que seul le désir de contribuer à ce qui me semble un acte noble, motive ce travail.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

                            PREMIER VOYAGE A LA MECQUE

     

     

     

    AU NOM DE DIEU LE CLEMENT, LE MISERICORDIEUX.

     

     

     

    Qu’Allah accorde l’ensemble de ses bénédictions à notre prophète Mouhammad qui ouvrit ; compléta et guida, ainsi qu’à sa famille salutations dignes de son mérite et de sa haute valeur.

     

     

     

    Cela dit, ceci est un abrégé de propos restreints mais de très grande importance, concernant le voyage d’un humble serviteur d’Allah dont l’unique désir est d’accéder à la proximité divine ; d’un fils du cheikh Elhadji Abdallah NIASS, Ibrahima, un serviteur constamment ébloui par les beautés d’Allah.

     

     

     

    Ce voyage se fit en l’an mille trois cent cinquante cinq de l’hégire, soit en mille neuf cent trente Sept. Je n’y ai toutefois de mon cru rien ajouté et n’ai rapporté la relation des faits que comme ils se passèrent réellement pendant ce voyage, sans rien approfondir de celui-ci.

     

    Il m’eut, si je l’eusse voulu, été possible et facile d‘expliquer ici la relation de chacune de mes actions dans ce voyage, par rapport à l’enseignement traditionnel du prophète Mouhammad (SAW).

     

    Il va s’en dire que dans toutes mes actions, mon seul guide demeure être une fidélité constante aux lois d’Allah. Ce fut donc un quinze du mois de ramadan de l’année suscitée que me vint la solide décision d’aller visiter les lieux très saints de l’islam, d’y accomplir les rites du pèlerinage et d’y joindre mon cœur à celui de l’être humain le plus grand et le plus honorable qui fut jamais, le prophète Mouhammad (SAW).

     

    Lorsque me vint cette solide décision, la première chose que je fis, fus de m’entretenir avec ma mère, mes parents et avec mes amis.

     

     

     

    Je rédigeai ensuite mon testament pour lequel je cherchai des témoins payai toutes mes dettes, laissant aussi à ma famille une subsistance largement suffisante pour le temps que durerai mon voyage et pris avec moi tout l’argent nécessaire à ce voyage, après avoir effectué toutes les aumônes qu’il m’était dû de faire. J’allai ensuite trouver les autorités et m'acquittai de toutes les transactions qui me furent par eux-mêmes imposées. Je fis alors une prière surérogatoire de deux  rakkâs, un Jeudi neuvième jour de la korité, dont à la première rakkâ je récitai la prière de l’ouverture (Al-fatiha) ainsi que la sourate des infidèles (Al-kâfiroune) et, à la deuxième, la sourate de l’ouverture et celle du monothéisme pur (Al-ikhlâs), bien qu’une autre version de la tradition préconisât aussi la récitation, dans cette prière, de la sourate de l’aurore (Al-falaqi) ainsi que de celle des hommes (An-nâssi). Je prononçai le salut final et je récitai le verset du trône (Al-koursiyyi) plus la sourate des qoreych (Al-qoreychine).

     

    Puis je fis la prière suivante : « Mon seigneur, en toi je recherche le soutien et un appui véritable. Oh mon Dieu ! Facilement, exauce tous mes vœux facilite ma marche et accorde moi dans tout le bien que je souhaite obtenir, une grande abondance. En bien pour moi, seigneur, transforme tout mal. Ma poitrine, oh seigneur élargis et toutes mes affaires accomplis. Je te supplie de tout mal me garder et me confie à toi. Je te confie ma foi mes proches mes amis et tout ce de toi me provient, dans ce monde -ci et dans l’autre. Garde nous tous oh seigneur, de tout mal. »

     

    Et après que j’eus récité la Fatiha et la prière de l’ouverture (Salatoul fatihi), je me levai alors et je dis :

     « Oh seigneur, vers toi je me tourne et à toi je m’accroche.

     

    Eloigne de moi tous les obstacles à ma dévotion et donne- moi ,oh !mon Dieu la crainte de toi-même.

    Pardonne mes péchés et rends- moi juste, toujours et donne- moi la paix de l’esprit. »

     

     

     

    C’est après avoir terminé que je pris congé de tous mes gens, proches et voisins, après leur avoir enjoint de prier pour moi, et je priai pour eux en disant : 

    « Je vous confie à Dieu qui ne porte préjudice, jamais, à ce qu’on lui confie ! »

     

    Après que mon valeureux et très saint frère rayonnant, Cheikh El hadji Abî Bakr fils de Cheikh El hadji Abdallah ainsi qu’un autre d’entre mes frères, lune de clarté et saint érudit de grande valeur, El hadji Mouhammad Zeynabou m’eurent fait leurs recommandations, je montai alors sur mon cheval et je dis : 

    « Gloire à Dieu qui nous a assujetti ces bêtes, ce que sans lui nous n’eussions jamais pu faire. Nous sommes enclins à nous tourner vers Dieu. »

    Après cela je dis : « Louanges à Dieu ! » Trois fois

    et puis : « Dieu est grand ! » Trois fois.

    Je récitai alors : « Je suis, seigneur, injuste envers moi-même. Efface mes péchés car nul autre que toi ne le peux faire. Accorde- moi la crainte de toi par ta bonté et de faire des œuvres agréées. Oh seigneur, rend ce voyage pour moi aisé et raccourcis- en le chemin. Oh mon Dieu, tu es notre compagnon dans ce voyage et celui que nous avons auprès de nos familles laissées et qui nous y attend ! Je me réfugie auprès de toi contre toutes les difficultés éventuelles de  ce voyage, contre le mauvais œil et les revers, pour moi, ma famille et pour mes biens. »

    Et toujours conscient de la diversité des hadiths concernant ce type de prière, je continuai : 

    « Oh mon Dieu, tu es le compagnon suprême dans ce voyage et le seul qui reste à la maison. Je m’en remets à toi pour ce qui est des difficultés éventuelles du voyage et des revers de fortune, des peines successives ; des prières de l'opprimé et du mauvais œil sur ma famille et sur mes biens. »

     

     

     

    Arrivé à la gare, ou je devais m’embarquer sur un train du nom de Bâboor via Dakar, j’y trouvai une foule de disciples d’amis et de sympathisants, tous présents pour assister à mon départ. Il y avait là une multitude de gens dont le nombre, de Dieu seul était connu qui les y rassembla. Je pris alors congé d’eux tous et je dis : 

    « Il n’y a de roi suprême qu’Allah ! »

    A quoi ils répondirent :

     « Mouhammad est le plus grand des prophètes d’Allah ! » Trois fois

    pour chacun d’entre nous, et je montai dans le train .où je récitai cette formule :

    « Je vais et arrive sur le nom d’Allah. Mon seigneur est en vérité absoluteur et miséricordieux. »

     

    « Nous ne pouvons louer Allah à sa véritable valeur, à sa réelle grandeur. »

     

    J’étais, dans ce voyage sacré, accompagné par le plus méritant parmi mes véridiques disciples, à l’affection profonde et sincère, un très grand connaissant d’Allah, réel possesseur des grands secrets de la voie de Cheikh Ahmed Tîjanî, El hadji Mâ Abdou fils de seydi Cheikh Ahmed Bakar (R.A), et par un autre saint homme de chez mon père et grand connaissant, El hadji Lamine Sankharé fils d’Abû Bakri (RA).

     

    Le train s’ébranla en direction de Dakar où nous arrivâmes l’après midi à l’heure de la prière d’Al Asr et trouvâmes El hadji Omar Kane accompagné de tous les disciples Dakarois venus à la gare nous accueillir.

     

     

     

    Nous descendîmes donc du train et allâmes tous ensemble visiter sa mosquée. Nous y fumes longtemps après l’accueil chaleureux que l’on nous y fit, honorés dans le plus profond respect et l’on s’y employa à nous y apporter le plus de confort possible et de sécurité, à Dakar même et pour le reste de notre voyage. Nous établîmes ensuite le contact avec les dirigeants du gouvernement qui s’employèrent  à s’occuper de nos papiers de la plus diligente façon et beaucoup plus que de coutume en pareil cas. Nous les remercions en cette occasion de leur grande disponibilité.

     

    Ce fut un Mercredi quinze du mois de korité soit le Trente décembre mille neuf cent trente cinq que sur un bateau nous embarquâmes du nom de Canada. Une fois dans ce bateau nous récitâmes : 

    « Wa qâla irkabô fîhâ Bissmillâhi Madjrâhâ wa moursâhâ inna rabbî la khafôroune Rrahîmoune » littéralement : « Je vais et reviens sur le nom d’Allah mon seigneur en vérité est absoluteur et très miséricordieux. »

     Et puis : « Wa mâ qadrallâhou haqqa qadrihî » (c'est-à-dire : Le mérite que l’on doit accorder à DIEU ne l’est pas.) Là je dis adieu à mon frère et successeur réel de mon vénérable père, notre guide El hadji Abû Bakar et à la beauté rayonnante qui embellit toute notre famille, notre joie suprême à tous, fiel de nos ennemis et grand gnostique maître, El hadji Mouhammad Zeynabou et aussi à nos parents, à nos amis, ainsi qu’à quelques disciples qui tous pleuraient à la pensée qu’ils allaient bientôt, pour quelque temps se séparer de nous. Beaucoup plus qu’une nuée, au point de me faire moi-même verser des larmes, à tel point, dis-je, que mon éloquence jusque là muette me força à chanter disant : « Moi-même, j’allai pleurer si vous ne l’aviez fait. »

     

     

     

    Après la prière de l »après-midi, (Al-Zouhr), le bateau quitta la rade du port  de Dakar et vogua sur l’océan vers Darou Baïdâ au Maroc. Une prière à ce moment là me fut insinuée. Je récitai :

     « Louanges à toi ô seigneur sublime ! Sans mes compagnons, je vais, qui s’en sont de leur côté allés et vers toi je me dirige. A toi toute félicité, toute richesse ! Exauce- moi ô seigneur, toi, l’entendant et l’omniscient. »





     

     

    Faire partie d'une Tariqa,est-ce du shirk ?

    05/09/2007 20:51



    Auteur: kassim.eveuns 

    salam,

    Thierno ,tu ne me leurres pas avec tes paroles et ta maitrise de l'arabe ne fais pas de toi un guide pour autant .

    Je connais très bien toutes ces tarikas et je repéterai ces paroles qui disent que parmi les plus grandes causes qui font tomber dans le shirk ,c'est l'exagération à l'egard des pieux,parmi les grands plus grandes causes qui font tomber dans le shirk l'exagération à l'egard des pieux!! car le premier shirk qui apparut sur terre apparut après celà , le peuple de Noé qu'a t'il fait?? il y avait parmi eux des gens pieux tel que "wad suwa" et "nasr" et "inb abbas" a confirmé qu'il s'agissait d'hommes pieux et quand ils moururent Satan se présenta à leur peuple sous l'apparence d'un homme et il leur dit:

    "vos gens pieux sont morts et aujourd'hui vous êtes en train d'oublier quelle était leur place et le bien qu'ils faisaient. Façonnez- leur donc des statues à leurs images et vous les emporterez dans vos assises afin de vous rappeler le bien qu'ils accomplissaient."

    ils firent ainsi et façonnèrent donc ces statues afin de se souvenir de ces pieux et du bien qu'ils apportaient. Puis lorsqu'ils moururent à leur tour et que leur succédèrent d'autres générations et que la science fut perdue ,le "shaytane" se présenta une nouvelle fois aux successeurs et dit: "Certes vos pères vénéraient et adoraient ces statues."

    ils se mirent donc à les adorer à la place d'Allâh( swt)

    Ainsi, la cause du polythéisme fut l'exagération à l'egard des pieux.

    Allâh (swt)a dit:"ils n'ont pas estimés Allah comme il devrait l'être alors qu'au jour de la réssurection il fera de la terre entière une poignée et les cieux seront pliés dans sa main droite . Gloire à lui! il est au -dessus de tout ce qu'on lui associe"

    Shayk al islam a déduit que la cause du "shirk" se retrouvait dans ce verset.

    Ces gens qui ont adorés des pieux pourquoi les ont-ils adorés ??

    Parcequ'ils étaient persuadés qu'ils pouvaient leur être bénéfiques ou leur nuire et qu'ils détenaient ce monde entre leurs mains et que s'ils leur demandaient des enfants ils leur donneraient et s'ils leur demandaient la richesse ils leur donneraient.

    Ainsi qu'ont ils fait avec ces pieux ?? ils les élévèrent plus haut que le rang qui leur fut attribué par ALLAH et ils attribuèrent à ces pieux des attributs d'Allah.

    Mais qui est celui qui attribue la subsistance ??celui qui donne ou prive celui qui créé et ordonne ?? c'est Allah tout puissant!
    Allâh-swt) a clarifié que la cause du "shirk ",c'est qu'ils ne l'ont pas estimés comme il devrait l'être.ils n'ont pas réelement su qui est Allah (tout puissant ), le grand dispensateur et c'est pour cela qu'il dit à la fin de ce verset : "Gloire à lui! il est au- dessus de tout ce qu'on lui associe"


    L'exagération à l'égard des pieux est une chose qui conduit tout droit au "shirk" et ce à toute époque comme l'a si bien dit un sheikh.

    il suffit de rentrer dans différentes maisons au Senegal pour voir le portrait de différents marabouts comme s'ils pouvaient les protéger ou alors les honorer !  Tout cela n'est que du shirk des layennes au mourides ,je l'affirme et le dis avec certitude !

    De plus thierno avec ton précédent post ou tu dis des fois aider certains couples par des soi-disant prières , tu ne fais que confirmer ma pensée à ce sujet, repens -toi car Allah est miséricordieux ..

    De plus à voir ce qui se passe à Touba oû les gens prient et tournent autour de tombes ! choses que j'ai vu de mes yeux  !  tout cela  est cautionné par leur khalife veneré,il est certain que le diable doit sourire en voyant tout cela je ne parlerai même pas des layennes qui pensent que le mahdi est déjà descendu...

    wa salam

    REPONSE /

    Auteur: thierno42 





    "Façonnez -leur donc des statues à leurS images et vous les emporterez dans vos assises afin de vous rappeleR le bien qu'ils accomplissaient."

    ils firent ainsi et façonnèrent donc ces statues afin de se souvenir de ces pieux et du bien qu'ils apportaient. Puis lorsqu'ils moururent à leur tour et que leur succédèrent d'autres générations et que la science fut perdue ,le "shaytane" se présenta une nouvelle fois aux successeurs et dit: "Certes vos pères vénéraient et adoraient ces statues."



    "ils se mirent donc à les adorer à la place d'Allah. swt"

    Nous les tidjanes nous adoront Allah Azzawajal  et suivont la sunnah du prophète mouhammad (saw) ! Personne dans la tariqa n'adore un être humain à la place de DIEU. Montre- moi un seul Tidjane qui le fait !



    "Shayk al islam   déduit que la cause du "shirk" se retrouvait dans ce verset."

    qui est shayk al islam?


    "il suffit de rentrer dans différentes maisons au Sénégal pour voir le portrait de différents marabouts comme s'ils pouvaient les protéger ou alors les honorer, tout cela n'est que du shirk des layennes au mourides je l'affirme et le dis avec certitude."

    ces portrait ne sont que des souvenirs !
    Cheikh ibrahim niasse( raa) a dédicacé sa photo que lui a présenté un ancien ministre libanais en disant ceci :

    " la photo de ibrahim restera un souvenir
    quand il retournera auprès de son seigneur ,le très -haut  ! et méditez
    quand je serais enterré ,témoignez
    en disant qu'il avait l'intention de faire le bien même si cela n'a pas suffit  !
    je suis voisin d'un seigneur et Maître généreux et qui gratifie de privilège
    qui donne à son esclave tout ce dont il a besoin
    "...etc

    Si tu lis ce poème tu trouveras la réponse à tout ce qui te préocupe et c'est ce cheikh qui est mon guide !  

    Il n'a prit ni la place de DIEU ni celle du Prophète (saw) et encore n'a même pas affirmé être autre chose qu'un esclave de DIEU !



    "De plus thierno ,avec ton précédent post oû tu dis des fois aider certains couples par des soi- disant prières , tu ne fais que confirmer ma pensée à ce sujet, repens -toi car Allah est misericordieux "

    Depuis quand "aider" est un péché dont on se repend? alors que c'est DIEU qui l'ordonne : "wa ta âwanû ala birri wa taqwâ": (aidez- vous dans le bien et la crainte révérentielle...)

    tu as deux problème kassim:
    1- tu es jeune et ignorant et  tu veux prendre la place des savants !
    2- tu es jeune et malhonnête parce que tu ne reconnais même pas quand tu as tort .

    il faut apprendre à comprendre l'islam et faire ton auto- critique avant de critiquer les autres.


    wa salam

    Auteur: astoug 


    Salam!
    je suis écoeuré de lire k certains pensent k faire parti d'1 tariqa est un shirk! c'est vréman ne pa comprendre la religion islamique!
    Kw de + islamique k de fer des salatou "alan nabiyi," aprés le "fadiar" et entre "takussan" et "timis", de fer des zikr à ces mem heures...?
    je crw k certains devraient aller apprendre d'autant + kils sont encore jeunes et kil né jamé tro tar pour apprendre et pour le tawba!

    wa salam




     





     

     

    l'idolâtrie c'est le fait d'adorer autre chose que DIEU

    05/09/2007 20:19



    kassim ; c'est quoi "la voie du prophète (pbsl) à travers sa sunnah et le coran"?

    tu veux dire que tous les saints qui sont dans les tariqah sont tombés dans le shirk?

    Auteur: kassim.eveuns 


    Je ne vais pas polemiquer. A chacun sa voie à chacun sa tombe, libre à toi de suivre l'une de ses tarika mais quoi qu'il en soit moi je suis musulman et m'inspire de la sunnah du prophète (pbsl )dis- moi alors s'il y a un risque qu'Allah me punisse pour cela ou que je tombe dans le shirk ??
    Pourquoi alors chercherai-je à rentrer dans une tarika quelconque ?? le prophète( pbsl) est la créature la plus aimée d'Allah ! Aucun saint ne peut rivaliser avec lui alors, je previens car le problème du Senegal c'est bien l'idolatrie chacun se sentant supérieur à l'autre des "mourides", aux "layennes" en passant par les "tidianes",si Allah avait voulu que nous nous partagions en confreries il aurait envoyé plusieurs prophètes musulmans ..

    D'ailleurs le prophete pbsl a dit:
    « Les enfants d& 8217;Israël se sont divisés en soixante-douze sectes, et ma oumma se divisera en soixante-treize sectes, qui seront toutes dans le feu exceptée l'une d'entre elles. »

    Ils ont demandé, « Quelle est celle-ci, ô Messager d'Allah ? » Il a dit: « la voie que moi et mes compagnons suivons. »

    Le choix est vite fait...!

    wa salam

    Auteur: thierno42 


    tu comprend de travers kassim !
    tu ne veux pas polémiquer et c'est toi qui dit aux gens qui voudraient comprendre les tariqah de ne pas tomber dans le shirk. pourquoi tu traite les tariqah de shirk alors que toi tu dis être dans la bonne voie. tu ne te sur estimerai pas par rapport aux autre?

    tu dis : "Je ne vais pas polemiquer A chacun sa voie à chacun sa tombe, libre à toi de suivre l'une de ses tarika "

    tu dis : "mais quoi qu'il en soit moi je suis musulman et m'inspire de la sunnah du prophète (pbsl )dis- moi alors s'il y a un risque qu'Allah me punisse pour cela ou que je tombe dans le shirk ??"

    tu risques de faire partie des " kâfirun" et c'est pire que le shirk que tu fuis     (cf :Ste "qul yâ ayu hal kâfiruna" ).

    il y'a 4 types de kâfir négateurs :

    1-celui qui nie l'existence de DIEU soubhânahu wa ta'âlâ. "lâ a'budu mâ ta'budûna"

    2- celui qui nie la prophétie de seyidina Mouhammad sas "wa lâ antum â'bidûna mâ a'budu"

    3- celui qui nie la sainteté des hommes de DIEU héritiers du Prophète Mouhammad sas tu es dans ce lot "wa lâ anâ âbidun mâ abadtum"

    4- celui qui nie le khalif vicaire de DIEU sur terre."wa lâ ana â'bidun ma abadtum"


    tu dis :"Pourquoi alors chercherai-je à rentrer dans une tarika quelconque ?"

    tu es libre de ne pas entrer dans une tariqah mais tu n'as le droit d'empêcher les autres d'y entrer surtout que tu n'y connais rien:

    "wa laa taqfu mâ leyssa laka bihi 'ilmun" :

    (ne commente pas ce que tu ne connais pas !)
    "fas alû ahla zhikri in kuntum lâ ta'lamûna" : (demandez à ceux qui savent si vous êtes ignorant !)

    tu dis: "le prophète (pbsl )est la créature la plus aimée d'Allah ! Aucun saint ne peut rivaliser avec lui"
    aucun saint ne rivalise avec LUI (SAS) . si tu lis leurs écrits tu verras qu'ils cherchent tous sa bénédiction en le chantant en priant sur LUI (SAS )ex : chaikh ahmadou bamba dis être son "khâdim"( son boy :serviteur)

    tu dis : "alors je préviens car le problème du Senegal c'est bien l'idolatrie !"

    l'idolâtrie c'est le fait d'adorer autre chose que DIEU

    Pardi ! les Tidjanes, les Qâdirites,les Mourides,Layennes et autres adorent tous le DIEU unique !  Ils  mettent le Prophète Mouhammad (SAS) au dessus de tout !

    tu dis: "chacun se sentant supérieur à l'autre des Mourides aux Layennes en passant par les Tidianes,"

    Tu montes les musulmans du sénégal les un contre les autres ? c'est du nifâq.

    tu dis: " si Allah avait voulu que nous nous partagions en confreries il aurait envoyé plusieurs prophètes musulmans  !"

    Allâh(swt) n'a pas jugé cela  nécessaire !  il y'a les sahabas qui ont chacun une vision défférente de l'autre ! et les tariqah font partie de ce que le Prophète (SAS )avait dit : 

    "as hâbii kan nujûmi ayumâ min humu iqtadeytumû ihtadeytumû"

    ("mes compagnons sont comme des étoiles quelque soit celui dont vous adoptez la vision vous êtes dans la voie droite ! )

    tu dis :D'ailleurs le prophète (pbsl) a dit:
    « Les enfants d& 8217;Israël se sont divisés en soixante-douze sectes, et ma oumma se divisera en soixante-treize sectes, qui seront toutes dans le feu exceptée l'une d'entre elles. »

    Ils ont demandé : « Quelle est celle-ci, ô Messager d'Allah ? »

    Il a dit : « la voie que moi et mes compagnons suivons ! »

    c'est justement celle qu'Il a suivie Lui ET SES COMPAGNON QUE NOUS SUIVONT  ,NOUS LES GENS DES TARIQAH ! ! !

    TU SUIS CEUX EN QUI TU CROIS  ! !!!!  les hommes qui te dictent ta ligne !     ET NOUS DE MËME ! Nous suivons les saints qui nous enseignent !

    JE publierai  une partie de mon livre que j'écris actuellement  et qui parle de l'islam en trois dimensions comme ça tu comprendras mieux l'islam !

    wa salam,cher frère !

    A SUIVRE







     

     

    l'instruction

    05/09/2007 19:30




     

    « A travers l'instruction ,Recherchez l'excellence du comportement  !

    Que le but de votre recherche du savoir soit :

    "s'instruire, pour trouver la bonne voie " ! 
    S'instruire pour :

    -sortir de l’erreur,
    -se rendre utile aux autres

    -revivifier les sciences
    -appliquer votre science ».

    Et le Soufi cite ce passage de Zarrûq :
    « Celui qui n’a cherché la science que :

    -pour se vanter de son savoir

    -ou pour en imposer aux sots,
    -Ou pour acquérir du prestige auprès des gens
    N’aura fait que changer son savoir contre le Feu ».
    Mais il ajoute, à l’intention des savants trop exclusifs :
    « Quiconque aura été avare de sa science
    Rencontrera l’épreuve  avant sa mort »,





     

     

    Soufisme Marocain"

    05/09/2007 19:05



    Salam aleikoum,

    Le fait de parler de "Soufisme Marocain" est parfois une cause d'incompréhension pour certains qui croient voir dans cette expression le signe d'une forme de chauvinisme ou d'orgueil, voire de défiance envers les types du Soufisme originaires d'autres contrées.

    Mon but est de démontrer qu'en réalité, il n'en est rien.

    Le "Soufisme Marocain" (qui, à dire vrai, comprend aussi celui de l'actuelle Algérie) possède une méthode qui lui est spécifique et qui permet de le différencier d'autres formes existantes.

    Sur le plan historique, le Royaume Chérifien a été depuis sa fondation une terre de Tasawwuf. Un proverbe dit d'ailleurs "Le Shams (Syrie, Liban, Palestine) est la terre des Prophètes, alors que le Maghreb est la terre des Awliya (Saints)."
    Le Tasawwuf du Maroc s'est formé autour de l'influence de trois courants du Soufisme:
    Soufisme Qadiri d'abord, par l'immigration des descendants d'Abdel-Qader Al-Jilani fuyant les persécutions à Bagdad et qui se sont installés au Maroc en ramenant avec eux leur méthode,
    -ensuite Soufisme Shadhili, issu de la Qadiriyya, le Shaykh de Abu-l-Hassa as-Shadhili, Sidi Ibn Mashish a passé toute sa vie et a enseigné dans le Djebel-Nour dans le Rif où il est enterré dans le nord du pays,
    -et enfin Soufisme Tijânî puisque le Shaykh Ahmad Tijânî Hassani Chérif(raa), d'origine algérienne, a passé une grande partie de sa vie à Fès où il repose désormais (Que la Grâce et l'agrément d'Allâh(swt) soient sur lui!)

    Schématiquement, on peut considérer que le Royaume Chérifien a été la "tête de pont" de l'expansion de la Qadiriyya vers l'Afrique Noire, de la Shadhiliyya et de la Tijaniyya vers le reste du monde, de l'Egypte à l'Extrême-Orient.
    Le Maroc a reçu aussi l'héritage du Soufisme Andalou:

    les noms d'Ibn Arabi, Ibn al-Arif, Ibn Barrajan, Ibn Massara… sont fréquemment cités dans les écrits des savants marocains.
    La Tariqa Qadiriyya Boudshishiyya est d'ailleurs le résultat d'une synthèse (réalisé par Sidi Abou Madyan al-Qadiri al-Boudshishi) de l'ensemble des confréries présentes dans le royaume: Qadiriyya, Shadhiliyya, Darqawiyya, Tijaniyya-Khalwatiyya…

    Le Soufisme Marocain est aussi caractérisé par l'importance qu'ont les descendants du Prophète (que la bénédiction et la paix de Dieu soit sur lui), les chorfas, dans la promotion de la mystique islamique. La plupart des choyoukh du Maroc font partie des Ahl-ul-Bayt (les Gens de la Demeure Prophétique).

    Du point de vue de la méthode, le Tasawwuf du Maghreb a la particularité d'avoir été très pratiqué dans la milieu des spécialistes de la jurisprudence (fiqh), à l'inverse du Tasawwuf de l'Orient qui a reçu un accueil enthousiaste plutôt chez les docteurs en théologie (kalam, ilm al-aqida).

    Le soufisme du Maroc est basé sur l'acquisition des caractères nobles et de la noblesse de comportement (makarim akhlaq) plus que sur l'usage de la raison ('aql) pour percer les voiles de l'égo (nafs), comme c'est le cas dans la mystique du Proche-Orient et de Perse.
    Cette spécificité a parfois joué en sa défaveur. En effet, les Soufis du Maroc ont écrit, somme toute, assez peu d'ouvrages doctrinaux, en comparaison de leurs homologues perses par exemple; ce qui a conduit plusieurs orientalistes à penser que le Tasawwuf du Maghreb était inférieure, alors que la différence tient surtout à sa méthode centrée sur la pratique, accompagnée d'une méfiance envers le savoir livresque, source d'illusion (l'expérience directe étant différente de sa retranscription écrite).

    La pratique de l'ascétisme, avec l'objectif d'affaiblir l'âme, est aussi rarement employée, ou du moins, il n'est pas considéré comme primordial. La règle de base du Soufisme Marocain reste que "le corps est présent dans la boutique, tandis que le cœur est en permanence avec Dieu." L'isolement (khalwa) est donc exceptionnel et de courte durée.

    A l'inverse, chez al-Ghazali, par exemple, tout un passage de son Ihya-Ulum ad-Din traite de la nécessité, selon sa méthode, que le disciple restreigne son appétit pour arriver petit à petit à une continence de tous ses désirs charnels, en cherchant systématiquement à les contrecarrer, par le truchement d'un scrupule (wara) de plus en plus aiguisé.
    A contrario, le Tasawwuf du Maroc insiste sur la stricte distinction entre le licite et l'illicite. Il est permis, voire conseillé si on le peut, de se nourrir des meilleurs aliments, de s'habiller des plus beaux habits pour pouvoir faire grandir en soi une gratitude envers Dieu la plus sincère possible. Le monde matériel et la création ne sont pas uniquement considérés comme un obstacle mais aussi comme un moyen d'accès. Dans le même ordre d'idée, il n'est pas recommandé de multiplier démesurément les actes d'adoration, mais de rechercher la pureté de l'intention (ikhlas) et l'orientation exclusive du cœur vers Dieu.
    Par ailleurs, on ne trouve au Maghreb aucune recherche de la beauté, comme moyen initiatique, à travers l'esthétisme et les arts. C'est parfois le cas dans le Soufisme Turque ou Syrien, qui ont développé l'usage de la contemplation de la création (en admirant la nature par exemple ou par la musique) dans l'espoir d'élever son esprit au-dessus des désirs charnels.
    On ne trouve pas non plus, dans le Tasawwuf marocain, la transmission développé d'histoires de sagesses, comme en Asie Centrale ou en Afrique noire, où une partie essentielle de l'enseignement est communiqué par le biais d'histoires initiatiques dont le but est de provoquer une brèche dans le schéma de la pensée du disciple pour l'amener à abandonner les prétentions injustifiées de sa raison.

    Dans la pratique, le Soufisme Marocain cherche la rencontre avec Dieu par le combat contre l'âme charnelle en approfondissant au moyen des actes d'adoration préconisés par le Coran et la Sunna : invocations (dhikr) à voix haute ou à voix basse, seul ou en groupe, lecture du Coran, prières sur le Prophète, chants à la louange de Dieu et de son Envoyé (que la bénédiction et la paix de Dieu soient sur lui)… Ainsi il n'existe pas de pratique ésotérique basée sur la concentration du dhikr sur la respiration ou sur les points subtils du corps humain (lata'if) comme chez les Naqshbandi indiens, ou sur le travail codifié de la posture pendant la contemplation.
    La place et le rôle du Shaykh est aussi différente. Chez certaines branches de la Naqshbandiyya, il existe un modèle de relation guide-disciple appelée "rabita" qui peut se traduire dans certaines confréries par l'identification à la personnalité du guide. Ainsi, le disciple cherchera à ressembler au maximum à son guide, y compris dans les détails physiques (habillement, coiffure, taille de la barbe…) et la vie quotidienne (nourriture, façon de vivre…). Ce modèle, poussé à l'extrême, est inexistant au Maroc.

    Le Tasawwuf maghrébin représente donc une voie du juste milieu dans le soufisme, à la fois éloignée de la mortification du corps et de la submersion dans les attraits du monde matériel (dounya). C'est grâce à cela que le Tasawwuf n'a quasiment jamais rencontré d'incompréhension ou de suspicion dans le Royaume Chérifien. Pratiquer par l'ensemble de la société, des plus pauvres ou plus aisés, il a connu un rayonnement incomparable. Tant et si bien, que le Tasawwuf du Maroc a souvent servi de modèle pour celui d'autres parties du monde musulman.

    Ainsi, le livre intitulé "al-Dala'il Khayrat" de l'imam Jazouli, qui est un recueil de prières sur le Prophète, ou la qassida (chant) al-Burda de l'imam Busayri sont récités aujourd'hui dans l'ensemble du monde musulman du Sénégal à l'Ile Indonésienne la plus lointaine.

    Nous comprenons aisément, même l'exposé présenté est sans doute schématique et que l'enseignement de chaque Shaykh vivant est unique, que le terme "Soufisme Marocain", loin d'être une expression de chauvinisme ou de patriotisme mal placée, reflète bien la réalité d'une méthode qui a fait école et qui reste, à l'heure actuelle, un des meilleurs représentants de ce qu'est l'Islam dans sa totalité: la Voie de perfectionnement de l'Homme par l'acquisition de l'expérience spirituelle transmise par Sayyiduna Muhammad Ibn Abdullah Ibn Abdel-Muttalib ibn Hashim (que la bénédiction et la paix de Dieu soient sur lui).
    C'est la méthode enseignée de nos jours par le Shaykh Sidi Hajj Hamza al-Qadiri al-Boudshishi (que Dieu l'agrée) pour tous ceux qui ont une recherche sincère.

    Wa salam aleikoum wa rahmatullah wa barakatuhu





     

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