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Taîba Niassène
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Taîba Niassène

VIP-Blog de momowally
bayy-99@hotmail.com

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  • Créé le : 25/06/2007 20:12
    Modifié : 18/01/2014 10:26

    Garçon (38 ans)
    Origine : Abidjan
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    Sur les traces des Talibés Baye: Mawlânâ Cheikh Ould Khaïry

    16/03/2011 19:24

    Sur les traces des Talibés Baye: Mawlânâ Cheikh Ould Khaïry


    Sallamu'Alaykoum,chers visiteurs de mon Blog,Assoiffés de savoir !

    Connaissez-vous ou avez-vous déjà entendu parler de Mawlânâ Cheikh Ould Khaïry?

    En effet,c'est un véritable et infatigable vivificateur de la « faydhâ Ibrahimiyya ». 
    Mawlânâ Cheikh Ould Khaïry a vu le jour le 12 avril 1955 à l'occasion de la deuxième visite que Mawlânâ El-Hâdj Ibrâhîm NIASS rendit à ses disciples de la Mauritanie.  La première a eu lieu en 1952 et la dernière, la plus officielle, en 1967.
    Le vœu de Saydâ Fâtumatu Zahrâ d'être délivrée en présence de Cheikh Bâye fut exaucé après une gestation hors norme.
    Mishriy prit le nouveau-né qu'il remit à Bâye. Ce dernier enduisit la langue et les gencives frêles du nourrisson du produit d'une datte qu'il venait de mâcher et on suggéra qu'il fût baptisé Cheikh.
    Sans nul doute, l'avant-dernier garçon de « Dâ iya » ne sera pas un homme ordinaire.
    Son père, Sîdy Ould Khaïry (décédé en 1991), était un « as » des sciences mystiques ; les miracles qu'il faisait restent encore gravés dans la mémoire de tous ceux qui l'ont connu.
    Malgré toute sa stature spirituelle, Sîdy Ould Khaïry décida de s'affilier à la          « faydhâ » et devint un disciple totalement engagé à Bâye à l'image de notre sainte mère, son épouse, Saydâ Fatumatu Zahrâ Mint Adda dite « Dâ iya », sœur d'Abdallâh Ould Abdallâh et de Seydî Ahmad Ould Adda alias « Ustâz », l'éminent professeur, ci-devant recteur de la mosquée-zâwiyya de « Matâ-Mulâna » et actuel imam de celle de Boubacare.
    La famille Khaïry appartient à la tribu des « Idwaali » (issue de Seydi Hassan Ibn Fâtumatu Bint Rasûlulâh), un des rameaux d'« Ahl al-Bayt » très illustre en Mauritanie notamment dans la région de Boubacare, du nom d'un ancien émir du «Trarza » parrain de l'une des bourgades les plus pieuses de notre planète.      C'est grâce à la tribu susnommée et, plus précisément à sa branche méridionale, que la confrérie tidjâne s'est répandue en Afrique de l'Ouest.
    Cheikh Ould Khaïry passait le plus clair de son temps à lire le Coran et à méditer.    Il s'amusait rarement avec ses camarades d'âge et, par-dessus tout, il était très attaché à Cheikh Bâye, le maître qu'il s'est librement choisi dès sa plus tendre enfance.
    Parallèlement à ses études islamiques, Cheikh Ould Khaïry a fréquenté l'école primaire et le collège de Rosso, puis le lycée national de Nouakchott où il obtint le baccalauréat.
    Par la suite, il réussit au concours d'entrée à l'Ecole normale de la même ville d'où il sortit avec le grade d'instituteur. A présent, il exerce les fonctions de conseiller pédagogique à l'Académie du «Trarza » sis à Rosso.
    C'est en 1975, à travers la profondeur de ses discours et la sainte attitude dont il faisait toujours montre, que sa famille comprit que quelque chose de très importante était en passe de se produire.
    En cette année de grâce, à l'occasion de la dernière visite de courtoisie (ziyâra) qu'il décida de rendre à Mawlânâ Cheikh Ibrâhîm NIASS, Cheikh Muhammad Ould Hajj dit Michriy demanda à Cheikh Ould Khairy,âgé seulement de 20 hivernages et en résidence temporaire à Nouakchott, de l'accompagner.
    Evidemment, comme l'écrivait Pierre Corneille, « aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années. »
    C'est ainsi qu'ensemble, Cheikh et Mishriy firent le voyage de Rosso à Kaolack.
    Ils se joignirent à la forte délégation qui accompagna ce dernier de Madîna-Bâye à Dakar, le samedi 28 juin 1975. Bâye se rendait à Londres pour un suivi médical.      Il y perdit la vie le samedi 26 juillet suivant.
    Auparavant, le 29 juin, avant de quitter l'aéroport de Dakar-Yoff, Mishriy pria le Cheikh-al-islam de bien vouloir lui donner l'assurance qu'ils se reverraient ici-bas. Cheikh Ibrâhîm lui demanda de réciter la « Fâtihâ ». Mishriy y obtempéra par trois fois.
    C'est par le verset 106 de la sourate 02 : « Si nous abrogeons un quelconque verset ou que nous le faisons oublier, nous en apportons un meilleur, ou un équivalent... Ne sais-tu pas que vraiment Dieu est capable de tout ? » que, de l'hôpital de Londres, où il était interné, Bâye laissa entendre que sa succession spirituelle – avant même qu'elle ne fût à l'ordre du jour – était dans le domaine du possible.
    30 juin 1975: Sur son chemin de retour vers la Mauritanie, à hauteur du village de    « Njawdoune », entre « Saint-Louis » et « Ross-Béthio », Mishriy succomba à un cruel accident suite à des tonneaux que fit sa voiture. Seul, il fut projeté du véhicule après que l'une des portières fut brutalement ouverte...Cheikh Ould Khaïry fut le dernier à s'être entretenu avec le plus illustre, le plus généreux, le plus féru en      « mâ'rifa » de tous les disciples de Bâye de son époque. De son propre turban, le jeune miraculé enveloppa la tête du défunt.
    Evidemment, la mort subite de Muhammad Mishriy attrista toute la « Jama'a » de Mawlânâ Cheikh Ibrâhîm, plus particulièrement celle de « Matâ-Mulâna » (le don de Dieu), cité bienheureuse que le disparu a fondée en septembre 1958 et qui, aujourd'hui est sous la sage guidance de Cheikh Hajj Mishriy, fils du défunt, et, de surcroît, brillant intellectuel et grand bâtisseur de la très cosmopolite ville-lumière de « Mâtâ-Mulâna ».
    Cheikh Hajj Mishriy est aussi un camarade de promotion de Cheikh Ould Khaïry.
    Dans l'un des dortoirs de l'internat de leur établissement, les deux amis partageaient le même cagibi qu'ils appelaient « Piaule » tenant également lieu de coin de dévotion.
    Pour en revenir à Mishriy-père, il convient de rappeler que toute sa vie durant,        il s'était employé à assimiler, à enseigner et à mettre en pratique la pensée prodigieuse de Mawlânâ Cheikh Ibrâhîm.
    La disparition concomitante de Cheikh Bâye et de Michriy laissa un grand vide dans la « umma » en général et dans les grands foyers soufis en particulier.
    Très tôt, ceux qui étaient « capables de lier et de délier » furent émerveillés par la vaste culture ésotérique de Cheikh Ould Khaïry. Le fils de « Dâ iya » répondait aisément à toutes les questions que son entourage composé d'éminents                  « â'rifini billâh » ne cessaient de lui poser pour tester l'exubérance de son savoir. Peine perdue, le Cheikh en savait beaucoup plus qu'on ne pouvait l'imaginer et, mieux, de la manière la plus raffinée !
    Mokhtâr Ould Hindy et tant d'autres mines de sincérité conclurent que Cheikh Ould Khaïry était le seul « a'arif'» (connaissant par Dieu) capable d'occuper parfaitement toute la place laissée vacante. C'est ainsi que, en peu de temps, des centaines de musulmans de tous âges et de toutes races lui firent allégeance et, ce, conformément à la sourate 05, v 35 « Hô les croyants ! Craignez Dieu et cherchez le moyen d'accéder à Lui et luttez dans Son sentier. Peut-être serez-vous gagnants ».

    En 1977, soixante dix-sept aspirants obtinrent la « fat'» hu (ouverture spirituelle).
    C'est le Cheikh lui-même qui animait le récital ou « zikru lâh » : « Et très certainement, Nous savons que la poitrine se serre, en vérité, pour ce qu'ils disent...Eh bien, chante Pureté de ton Seigneur, par la louange, et sois de ceux qui se prosternent... et adore ton Seigneur jusqu'à ce que vienne à toi la certitude ! » S.15; v 97 à 99.
    Le 30 avril 1978, à l'aube, les « Hel Khaïry, Hel Addah, Hel Hindy, Hel Rabbâni » et alliés attinrent les parages de leur localité actuelle.
    Le puits de Boubacare foré pour la première fois en 1927 et actuellement profond de cinquante-deux mètres, était tari parce que hors d'usage depuis bientôt trente ans.
    Cheikh et son père s'y rendirent dès leur arrivée et y formulèrent des vœux que Dieu exauça sur-le-champ. Curieusement, au grand bonheur des « muhâjirûn », une eau propre et limpide sortit des antres de la terre et remplit la vieille excavation qu'on donnait perdue pour jamais. Hommes et bêtes pouvaient s'y désaltérer sans difficulté.
    Par la suite, d'autres familles dont les « Youssouf » et les « Mujtabâ » rejoignirent les immigrés.
    Les disciples Noirs y sont arrivés à partir de 1982.Thierno Harouna SOW de Hâyré-Lâw -- par l'entremise d'Ahmédou Vâl Ould Elbachîr, un des pionniers maures blancs -- est le premier négro-africain à avoir eu le privilège d'embrasser la « faydhâ » sous l'ère et la bannière de Mawlânâ Cheikh Ould Khaïry.
    D'autres aspirants, dont Thierno Ibrâhîm Mahmûd DIALLO, notre talentueux initiateur, arrivèrent à « Boubacare-la-pieuse », par vagues successives pour constituer le premier collège des initiateurs-éducateurs.
    Ce sont ces hommes d'élite qui, élevés au prestigieux mais redoutable grade de        « muqadam », transmirent ou transmettent encore la bonne nouvelle à travers le monde tout en aidant à la formation-élevation spirituelle des milliers de disciples que compte la « Jama'a » de Mawlânâ Cheikh Ould Khaïry, fidèle continuateur de la sainte mission de Mawlânâ Cheikh Ibrâhîm NIASS, le père propagateur de la « faydhâ ».

    Qu'Allâh(swt) le comble de grâce,lui et tous ceux qui le suivent et ceux qui le suivront !

    wa sallam





     

     

    seyda Umul khayri Niass

    16/03/2011 18:24

    seyda Umul khayri Niass


    seyda Umul khayri Niass



    Seyda Umul Khayri Niass est une  personnalité de grande notoriété au Niger et à Kiota. Elle est l'exemple type de femmes décrites plus plus haut par ce vers de son pàre, Cheikh Ibrahima Niass(raa) : 
    « vous les filles, rivalisez (avec les hommes) vers le sommet, non par les corps »
    Seyda est un leader sur tous les fronts : l'Education, la lutte contre la pauvreté, l'éducation sipirituelle.  Fille d'un homme exceptionnel � l'image Cheikh Ibrahima Niass et épouse d'un pôle de la religion Cheikh Aboubacar Hachim, elle a hérité des sentiments nobles qui l'empêchent d'une vie aisée .Seyda est GENEREUSE ! ! !
    Elle est née en 1941 à Kaolack,au Sénégal.Brave enfant d'El H�j Ibrahima Niass(raa) et de Ami Niang. Elle est la soeur de lait de Cheikh Macky Niass, de Cheikh Pape Makhmoud Niass , de Lalla Aicha Niass (qui fut l'épouse de Mouhamed Michri de Mauritanie), de Ndeye Fall (qui fut épouse de Tirmidhi bn Abdallah de Mauritanie) et de Djeynaba Niass.

    Son Education
    Elle apprit le Coran dans l'Ecole Cheikh Ibrahima Niass à kaolack sous la direction de Abdallah Ould Rabbany, promotion de Cheikh Aqibu, Imam Adjoint de la mosquée de Médina Baye. Elle mémorisa le Coran à l'âge de 12 ans. Elle débuta l'enseignement des sciences avec Cheikh Ibrakhima Niass qui lui apprit personnellement le « fiqh » avec « Al akhdary » puis Ibn achir avant de continuer avec le grammairien hors pair baye Amadou Thiam. Elle y compléta sa formation en sciences religieuses.

    Sa Vie sociale
    En 1958, elle épousa à l'age de dix sept ans le Cherif, petit fils de Cheikh Ahmed Tijane, installé à Dakar, Cheikh Mouhamdoul Habib. Elle eut de ce mariage un fils unique Cheikh Oumar qui rassemble quatre qualités rares : il est  petit fils de Cheikh Ahmed Tijâne(raa), de Cheikh Ibrahima Niass(raa), porter le nom de Cheikh Oumar Foutiyou Tall et âtre hafiz du Coran. Ce mariage fut rompu tràs tôt, un an apràs, suite à des malentendus. Presque un an apràs, Cheikh Ibrakhim lui donna en seconde noces � Cheikh Aboubacar Hassoumi de Kiota (Niger).
    A son arrivée en 1960, elle commença à enseigner le Coran aux enfants du Cheikh, à parfaire leur coran aussi. De ce point de vue, son mari fut son premier employeur. C'était le départ d'un extraordinaire parcours. Son mari lui construisit sa premiàre classe. Son enseignement eut un grand succàs. Elle ne pouvait plus contenir dans ses locaux devenus étroits.
    Elle demanda à recntrer le  président Seyni Kountché pour lui exposer ses problàmes. Le président lui apprit qu'il y avait au Niger beaucoup d'écoles coranique et que s'il aventurait en a financer une, il devrait le faire pour toutes les autres, ce qu'il ne pouvait pas. Il lui suggéra de créer une madersa, ce qui rendra l'aide plus faisable. Kiota avait déjà une école madersa (Arabe), celle de son mari. Celui-ci l'encouragea à ouvrir une deuxiàme madersa franco-arabe dénommée « Institut Cheikh Ibrahima Niass.» C'était aussi le début d'un processus vers la création d'un grand centre qui finira certainement par devenir une Université.

    Création Néssiratud Din
    Plus tard, en 1968, elle d&cida d'amplifier ses activit&s vers la capitale et les autres r&gions pour  les diversifier. Elle s'engagea donc vers la lutte contre la pauvreté par la créations de centres féminins. Il lui fallait une association pour cela: elle créa      « l'association des assistantes de la religion » (jamiyyatu nassiratut Din),

    Sa Vie spirituelle

    Seyda Oumalkheir Niasse dite « Maman Kiota » est une des Filles du Cheikh Al Islam El Hajj Ibrahima Niass de kaolack ,comme son père nsa vie spirituelle est tràs dense !
     Elle dirige une association Islamique Féminine dénommé « Nassiratou Dine ».        Elle est fondatrice du grand complexe scolaire franco-arabe Cheikh Ibrahima Niasse dont le siège est à Kiota et une annexe à Niamey. Maman Kiota dirige également plusieurs groupements féminins de développement.

    Qu'Allâh(swt) la soutienne,la protège et la garde longtemps !                   Allâhumma Amine !
    .





     

     

    Cheikh Aboubacar Hassoumi de kiota (Niger) (1912 - 2004)

    16/03/2011 17:47

    Cheikh Aboubacar Hassoumi de kiota (Niger) (1912 - 2004)






     

     

    Ziara à Médina de Fès (Maroc)

    04/03/2011 22:17

    Ziara à Médina de Fès (Maroc)


    Salam !

    Puis après s'etre perdu maintes fois (la vieille ville est comme un labyrinthe lol!), nous avons réussis à trouver la zaouiya Tijâniyya, et nous arrivons juste après la prière de «'asr », à l'heure de la «wazifa». C'est le premier endroit où j'ai  senti        la «sakîna» pendant ce voyage, vraiment c'est un endroit très particulier.Oui,  Cheikh Ahmad Tijâni est encore là, quelque part dans la mosquée !               franchement dit, il suffit comme privation à celui qui dit qu'ils sont morts d'être privé de sentir cette «sakina» et ces flots divins qui descendent ici.                                                                                                                             Voici des photos, cadeau spécial pour les frères Tijâni :


    A suivre





     

     

    Quelques photos témoins de notre Ziara à Médina de Fès(Maroc)

    04/03/2011 22:05

    Quelques photos témoins de notre Ziara à Médina de Fès(Maroc)


    Assalâmu 'alaykum wa rahmatullâh...

     Nous avons effectué une excursion à la fois touristique et spirituelle au Maroc afin de visiter le pays et surtout visiter les tombes des nombreux awliyas ayant vécus dans ce pays.

    Vraiment, ce fût un voyage très, très bénéfique, beaucoup de profits  et vraiment le Maroc est un pays qu'il faut visiter pour ceux qui ne l'ont pas fait, inshaallah !

    J'ai  envie de vous faire profiter des photos et du carnet de route pour les personnes qui voudront s'y rendre. Je tiens à préciser qu'il est interdit de prendre les photos des tombeaux et mosquées sans autorisation écrite, Pour cette raison,je n'ai pu les prendre toutes en photos quelquefois je l'ai faite  à la va-vite.

     Notre visite  a commencé  par la ville de Fès, et voici une vue de la célèbre ville de Médina de Fes,elle abrite le tombeau de Cheikh Ahmad Tijâni Hassani Chérif (raa) :

    A suivre





     

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