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L'Amour est un art qu'il faut cultiver !
15/11/2011 12:07
Sallam à Tous!!!!!!!!!!
Oublions tous notre passé qu'il soit simple ou composé, participons à notre présent pour qu'enfin notre futur soit plus que parfait ! -
" Les actes ne valent que par les intentions qui les animent"!
Le Coran, le dernier livre révélé par ALLAH(swt) , est la principale source sur laquelle se base chaque musulman pour sa foi et la pratique de sa religion. Il traite de tous les sujets qui concernent les êtres humains: sagesse, doctrine, adoration, transactions, lois, etc. Son principal thème est la relation entre Dieu et Ses créatures. Il contient également des lignes de conduite et des enseignements détaillés nécessaires à une société juste, à un comportement convenable et à un système économique équitable.
"Faites-vous des cadeaux car, en vérité , ils éloignent la rancune du cœur et que nul ne méprise le cadeau de son voisin, aussi petit soit - il . " rapporté par Tirmidi
Associons-nous à la joie de nos proches en leur offrant des CADEAUX aux cours des différents évènement de notre vie de croyants,pour partager ces moments de joies (mariage,bâptème,walima,fêtes religieuses,Maouloud,etc..)
Qu'Allâh (swt) nous guide sur le droit Chemin !
Qu'est-ce que c'est que le Droit chemin ?
Quelqu'un parmi vous peut-il répondre à cette pertinente question ?
Allez-y ! Essayez !
je sais que vous avez une ou des position (s) à défendre.
Bye for now !
wa sallam
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les mérites de la lecture du Coran
14/11/2011 14:10
Sallam!
Des millions et des millions de musulmans sont totalement convaincus de l’importance et de la grandeur du Coran, qu’ils qualifient habituellement en utilisant les épithètes de « noble », « glorieux »,de «saint», de «béni» et de« pur ». Comment se fait-il que les musulmans soient si profondément bouleversés lorsqu’ils récitent le Coran, qu’ils en voient les versets ou qu’ils le touchent simplement?
Selon la doctrine islamique, le style du Coran est inimitable et renferme une beauté et un pouvoir surnaturels. Aucune créature, malgré tous ses efforts, ne peut écrire un passage comparable à un verset du Livre révélé. Cela est dû en partie au mérite littéraire du texte et à la justesse des mots employés – leur pouvoir de transformer et de sauver – qui est absolument inimitable. Lorsqu’on les récite à un berger illettré, il s’en trouve bouleversé jusqu’aux larmes. Ces mots ont façonné la vie de millions de personnes au cours des quatorze derniers siècles; ils ont nourri certains des intellects les plus brillants que l’humanité ait connus; ils ont arrêté net la course de plus d’un épicurien et les ont transformés en croyants pieux; ils ont été à la source de la philosophie de vie la plus subtile et d’un art qui en exprime, en termes visuels, le sens le plus profond; ces mots ont rassemblé en communautés et en civilisations les tribus errantes de l’humanité et les ont marquées d’une empreinte qui n’échappe à aucun observateur, même le plus distrait. Réciter le Coran est l’occupation la plus sublime et la plus édifiante pour un(e) musulman(e), même s’il (elle) n’en saisit pas intellectuellement le sens comme c’est le cas de la plupart des croyants qui ne sont pas arabophones. Le désir des musulmans de réciter le Coran de la manière la plus mélodieuse possible, et la pratique de la tilâwah (la récitation correcte), a donné naissance à tout un art. Même en récitant le Livre sans mélodie, on doit respecter certaines règles de récitation. Le «Hafiz», qui mot à mot « préserve » le Coran (c’est-à-dire qu’il le connaît par cœur), est tenu en haute estime, et garçons et filles sont envoyés à la mosquée dès leur jeune âge afin de mémoriser le Livre. Afin de ne pas porter atteinte au caractère sacré du Coran, une attention particulière doit être accordée pour ne pas le laisser à un endroit où quelqu’un pourrait accidentellement marcher ou s’asseoir dessus, ou lui manquer de respect de quelconque manière. Il est extrêmement détestable d’utiliser n’importe quel livre, et à fortiori le Coran, comme support pour soutenir ou surélever quelque chose. Lorsqu’il n’est pas entrain de lire le Coran, le musulman doit le remettre sur la tablette de l’étagère à livres ou sur son lutrin. Certains l’emballent soigneusement à l’aide d’un tissu afin de le préserver et aussi pour être en mesure de le manipuler, si besoin est, lorsqu’ils ne sont pas en état de pureté rituelle. Certains s’assurent de le placer au-dessus de tout autre livre et de ne pas le laisser traîner n’importe où. Il est absolument interdit de l’amener dans un endroit où l’on se rend pour uriner ou déféquer, ou dans des endroits connus pour être impurs par nature (toilettes, dépotoirs, parcs où des troupeaux d’animaux sont rassemblés, égouts municipaux, etc.). Même sa récitation n’est pas permise dans ces lieux. Le langage du Coran La vision coranique est intimement liée à la langue arabe, qui, tout comme l’hébreu et l’araméen (la langue parlée par Jésus), appartient à la famille des langues sémitiques. Le Coran se définit lui-même comme une « écriture arabe », et son message s’agence dans la structure complexe de cette langue, une structure fondamentalement différente de celle de toute langue européenne. La logique interne des langues sémitiques est très différente de celle des langues indo-européennes comme l’anglais, le latin, le sanscrit ou le persan (farsi). Chaque mot arabe a une racine verbale de trois, quatre ou cinq consonnes à partir desquelles ont peut dériver jusqu’à douze modes et formes de verbes différents ainsi qu’un grand nombre de noms et d’adjectifs. On appelle cela la racine trilitère (composée de trois consonnes) utilisée pour former des mots spécifiques par l’ajout de voyelles longues ou de voyelles courtes et par l’ajout de suffixes et de préfixes. La racine en tant que telle est « en dormance » – imprononçable – jusqu’à ce qu’elle reprenne vie, en quelque sorte, par la vocalisation. C’est à partir de l’agencement des voyelles que se développe le sens de base des mots vers telle ou telle direction. La racine a parfois été comparée à un « corps » dont la vocalisation constitue « l’âme ». On a dit aussi que c’est à partir de la racine que croît le grand arbre de la signification, qu’il se développe et se ramifie. Sans une compréhension approfondie du sens et des concepts reliés aux mots arabes, il est impossible d’apprécier la richesse des sens associés et de saisir l’étroite interdépendance des mots arabes qui est très manifeste dans le texte original; d’où l’extrême difficulté de traduire les mots en anglais (ou dans toute autre langue). L’intérêt porté par les musulmans au sublime langage du Coran les a amenés vers l’étude de la grammaire et de la rhétorique, surtout lorsque les peuples non-arabophones se sont mis à embrasser l’islam en nombre grandissant et qu’il a fallu leur expliquer les particularités du langage de la révélation. Parce qu’ils croyaient le Livre intraduisible, ces nouveaux convertis ont appris l’arabe ou, à tout le moins, sont devenus familiers avec l’alphabet arabe. Souvent, cela a poussé des nations entières à adopter l’arabe comme langue maternelle, comme ce fut le cas de tous les pays arabes actuels à l’exception de la Péninsule arabe (dont c’était déjà la langue). Cela a eu des répercussions considérables sur les autres langues telles que le farsi (persan), le turc, le malais et beaucoup d’autres langues, qui ont fini par adopter l’écriture arabe. Les expressions coraniques et l’emprunt de versets coraniques se retrouvent aussi bien dans la grande littérature que dans les conversations quotidiennes, même dans celles des musulmans qui ne sont pas arabophones et des Arabes non-musulmans.
Qu'npensez-vous ?
wa sallam
Commentaire de momowally (14/11/2011 14:15) :
Sallam à tous ceux qui parcourent le blog de Momowally!
j'apporte mon soutien à cet article car selon le saint
Prophète(saw)rapporté par Muslim dit:"Récitez le Coran car au jour du
jugement,le Coran viendra intercéder pour ses récitantns"
http://momowally.vip-blog.com/
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Commentaire de momowally (14/11/2011 14:19) :
AHMAD Ben Hanbal dit:
"celui qui a mémorisé le Coran n'a pas d'excuse et est blâmé s'il ne le
récite pas, entièrement, pendant une période de 40 jours"
http://momowally.vip-blog.com/
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Commentaire de momowally (14/11/2011 14:26) :
Méimouna(Dakar)
sallam à tous!
Il est recommandé à celui qui a appris le coran,de le réciter deux fois
l'an,s'il ne peut enfaire plus.
Selon Hassan ben Ziyâd,abû Hanifata a dit:"celui qui récite le coran 2 fois
l'an,lui a rendu tous les égards pcq l'année du décès du
prophète(saw),l'Ange Djibril lui a chuchoté le coran à 2 reprises!
wa sallsam
http://momowally.vip-blog.com/
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Baye l'international
08/11/2011 15:07
1900:Naissance aà Taiba Niassene dans la région de Kaolack
1921:Premier écrit d'une sommité sur le «Tassawuf» intitule «Ruhul Adab» ou la Quintessence des Bonnes Convenances
1929:Jeudi Noir dans le monde (crise économique).Apparition de la Faydhatou Tijaniyya
1960:Élu membre du Conseil Supérieur du Bien- Etre Islamique
1960:Élu membre de l'Académie de Recherches de L'Université Al AZ-HAR
1960:Élu membre de la Communauté des Érudits en Idumiologie d'Alger
1962:Élu membre du Conseil Supérieur d'Alger
1962:Élu vice vice président du Congres Mondial Islamique a Karachi( INDE)
1964:Élu membre du Comité Charge de l'Élaboration du projet de la Ligue Mondiale Islamique
1966:Invite d'Honneur de la Conférence d'Accra (GHANA) :le monde sans bombe atomique
1969:Il prend part a l'Assemblée constituante a l'Association des Universités Islamiques à Fez (Maroc)
1975:Rappel a DIEU a LONDRES(Angleterre)
Les Médailles reçues
La Médaille du Trône du Maroc
La Médaille de Carthage de la Tunisie
La Médaille de la Légion d'Honneur Française
La Médaille de Mérite de la Société des Anciens Combattants
Grand Croix de l'Ordre du Mérite du Sénégal
Docteur Honoris Causa de l'Université de Libye
La Médaille du Nigeria
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Maximes de sagesse
08/11/2011 14:59
Maximes de sagesse
Ce texte présente des maximes de sagesses exposées par le prophète Mouhammad (saw) ou par un membre de sa famille (Ali, Fatima, Hassan et Hussein) - Que Dieu les agréés-.
La vérité est amère, mais ses fruits sont doux. Le genre humain est hostile à ce qu'il ne connaît pas. La main qui donne est meilleure que celle qui reçoit. Écartez le malheur par la charité. Si le voile était levé, on verrait les choses du céleste. L'hypocrite est celui qui ne fait pas ce qu'il conseille. Qui aime son honneur fuit les polémiques. Tout péché qu'on minimise devient plus grave encore. Celui qui voit ses défauts, ne songe pas à ceux des autres. Allez dans un milieu de vices, c'est perdre son honneur. Faites aux autres ce que vous voulez qu'il soit fait pour vous. Préparez-vous à la mort comme si vous la voyez venir. Faites que la mort soit douce et non amère. Du bien ou du mal, chaque atome sera compté. Le Paradis se trouve sous les (aux) pieds de vos mères. Donnez la rémunération aux serviteurs avant que leur sueur ne sèche. La beauté n'est pas dans la jeunesse, mais dans les actes de bien. Pour vivre librement, ne soyez pas prisonnier de vos passions. N'espérez jamais le bien d'autrui. Il est toujours pauvre celui qui est avare. Le vrai bonheur est au Paradis, la vie n'est qu'une épreuve. Ici-bas on est songe, on se réveillera qu'après la mort. Ni la langue, ni les mains du vrai musulman ne font du mal. Respectez chacun suivant sa dignité. Ne dites que la vérité même si elle peut déplaire. Ne regardez pas celui qui parle mais seulement ce qu'il dit. Si le cœur est bon, les organes le sont aussi. La Récompense Divine dépend des intentions qui président à nos actes. Dans l'abondance aussi bien que dans la pauvreté, observez la modération. Le généreux ne fait pas de promesses. L'altruisme, c'est l'action de donner avant toute demande. Le mensonge n'existe pas dans l'Islam. Ne pas dîner le soir amène prématurément la vieillesse. La barbe maintient l'éclat des yeux et la solidité des dents. L'injuste ressemble au mage qui ne fait pas pleuvoir. L'intellectuel sans moralité est un arbre sans fleurs. Le riche avare est un terrain stérile. Femme sans pudeur est aliment sans saveur. Le généreux est celui qui se satisfait de donner. Pour les actions pieuses et bienfaisantes n'ayez pas de honte. Qui a la foi a la pudeur et qui a la pudeur a la foi. Visitez vos amis pour raviver les sentiments. Allez voir les malades pour mériter les actions de Grâce des Anges. La plaisanterie provoque la haine et l'hostilité. L'honneur se perd par l'avarice, l'orgueil, l'impudeur et le mensonge. Soigner des orphelins, c'est appeler la richesse. Avant de parler, réfléchissez et avant d'agir , songez aux conséquences de vos actes. Mécontenter son père et sa mère, c'est vouloir mourir prématurément. Femme morte des suites de fausse couche ou d'accouchement est une martyre. Les enfants morts avant leur parent intercèdent pour eux. Le créancier réclamera son dû lors du Jugement. A cause des enfants, des vieillards, Dieu hésite à détruire les villes où règnent les péchés. Offenser un malheureux, c'est s'engager dans la tempête. L'orgueil est excellent pour la femme vertueuse. Le péché commis, le temps passe, le châtiment reste. La douleur d'un coup en Enfer durera soixante-dix mille ans. Riches et pauvres font une harmonie comme en font les étoiles de différentes grandeurs. De Satan, les armes les plus puissantes sont la haine et la jalousie. Ne regrettez pas perte d'argent mais perte de foi. La calomnie dissout la foi comme le sel fond dans l'eau. Tant que vous êtes riches, vous ne pouvez éprouver la fidélité des gens. C'est quand il a faim que genre humain se tourne vers Dieu. Allez voir le malade jusqu'à deux milles. Accompagnez le cercueil même si vous devez marcher quatre milles. Secourez qui est en détresse même s'il est à cinq milles. Au Paradis, on aura toute chose désirée sur simple intention. Au Paradis, les femmes vertueuses seront plus belles que les 'Houris'. C'est quand mes projets ont échoué que j'ai cru en Dieu. Ma foi a redoublé quand mes invocations ont été satisfaites. Priez en faveur du gouvernement qui vous protège. Quand les cheveux blanchissent, un Ange u crie : " Prépares-toi à mourir !". Ami véritable vous fait toucher vos défauts en votre présence. Le pardon est préférable à la vengeance. Se lever avant le soleil procure santé et abondance. Le fils oublie ses parents, la fille en garde le deuil. Dans le foyer où règne l'avarice, il n'y a pas de piété. Le fils est la lumière des yeux, le frère, la force du bras. On a condamné l'adultère pour conserver la pureté de race. Dans le foyer où l'on élève des filles descend la Miséricorde Divine. Il est mauvais de ne pas avoir d'enfants. La patience est le caractère de la foi. L'instruction est l'ornement de la vie. La haine est l'arme de satan. Dieu est Celui vers qui se dirige le cœur lors du danger. S'asseoir auprès des pauvres incite à remercier Dieu. C'est dans le malheur que se reconnaît l'ami véritable. Allez sur la route les yeux baissés. Le mariage est préférable à la chasteté. Prière du marié est plus méritoire que soixante-dix prières du célibataire. La femme peut se parer de bijoux en or, non l'homme. Après la mort, nous serons ressuscités corps et âmes pour être jugés. Dans le Paradis ou dans l'Enfer entreront corps et âmes. Trop rire endurcit le cœur et abaisse la dignité. Donner aux pauvres c'est donner à Dieu. Les âmes sont les étages des actes. A l'heure du péché, craignez Celui qui voit tout. Travailler pour élever des enfants c'est mériter la palme du martyre. Qui se connaît soi-même connaît Dieu. Les chaussures blanches amènent l'abondance. Un bon acte ostentatoire n'est pas un bon acte. La lumière dans le tombeau ce sont les prières quotidiennes. Le jaloux est toujours nerveux, il écourte son existence. L'adultère abrège la vie et fait perdre l'éclat du visage. La récompense d'un bon acte fait avec des fonds mal acquis appartient au lésé. Éteindre la lumière par le souffle écourte la vie. Dieu est près de nous comme la veine près de la gorge. Ne réfléchissez pas sur la nature divine mais sur la beauté de ses œuvres. La patience du riche, c'est de ne pas céder aux penchants coupables. La santé est meilleure que mille bonheurs. Frottez sept fois au sable la vaisselle léchée par le chien. Levez-vous respectueusement quand le père et la mère entrent au foyer. Ne devancez pas le père et la mère marchant sur la route. La jalousie brûle la foi comme le feu consume le bois. Le héros est celui qui domine ses passions coupables. Avant d'entrer chez quelqu'un demandez-en la permission. Le suicide rejette le désespéré hors du Paradis. Le miracle de Dieu est la création du genre humain. Avant le repas dites : " Au Nom de Dieu " et à la fin : " Louange à Dieu ". La porte du pardon est ouverte et Dieu vous écoute. Avant de demander pour vous, demander pour votre prochain. Donnez même à celui qui ne vous a pas donné. Le père et la mère de quatre filles iront au Paradis. Pour contenter père et mère allez jusqu'à un voyage de deux années. Je m'inquiète de celui qui rit sans savoir. Si Dieu est content de lui patientez. Le garçon est un présent de Dieu, la fille, la pitié de Dieu. Cadeaux et douceurs, donnez les d'abord aux filles ensuite aux garçons. Donnez même à crédit aux pères et mères de quatre filles. Le cœur du fidèle luit comme un miroir. Traitez la femme avec douceur. L'assistance aux parents prolonge la vie. Cœur de veuve offensé révèle la foudre qui peut terrasser son ennemi. Seule tôt ou tard, la vérité triomphe. Intention de bon acte est notée comme bon acte. Donner à un pieux dessein est compté comme dix actes de bien. Un péché n'est inscrit qu'au bout de sept heures pour permettre le repentir. Si le pardon est demandé dans les sept heures, la faute n'est pas notée. Le péché lésant autrui n'est pas pardonné par Dieu. Il ne sera effacé que si la(es) victime(s) ont accordé leur pardon. Le savoir est préférable à la richesse. Mendiant sans patience est lampe sans lumière. Parfumez-vous lors des prières pour multiplier par soixante-dix leurs mérites. La maison bénie est celle qui héberge l'orphelin. L'amour du monde est la mère des vices. Le meilleur est celui qui se surpasse en moralité et en vertu noble. On n'a pu empêcher la mort de venir : ce qui prouve que Dieu existe. L'homme est derrière sa langue dès qu'il parle on connaît sa valeur. Blessure de la langue blesse plus que les armes. Sans la piété, la vie n'aurait pas de saveur. Pleurez beaucoup riez moins. Perdre patience dans le malheur c'est tuer son fils. Richesse et pauvreté sont le flux et le reflux de l'océan. Ne soyez pas fier dans la richesse, ne désespérez pas dans le dénuement. A celui qui voilera les défauts des autres, Dieu voilera les siens. Faire la charité en secret apaise la colère divine. Dieu pense à Celui qui pense à Lui. Remerciez Dieu de ses dons, Il les multipliera. L'ingratitude fait disparaître l'abondance. J'ai vu Dieu par les yeux de ma conscience. Si tu es fort crains Celui qui est plus fort que toi. Avant et après les repas, lavez-vous les mains et prenez un peu de sel. Quand vous vous déchaussez commencez par le pied gauche. Voyage entrepris le samedi, fait rentrer sain et sauf. Commencez vos études le mercredi. Il faut manger par petites bouchées et bouche fermée. Le Jour du Jugement, la première récompense sera pour ceux qui ont soulagé ceux qui étaient altérés. Le cerveau fait gagner la vie mais c'est Dieu qui l'a créé, c'est donc Lui qui donne. Les chaussures noires diminuent l'éclat des yeux. Le faux serment diminue l'abondance. S'il n'y avait pas Dieu, tout le monde de l'Univers serait détruit. Calomnier et médire c'est manger la chair de son frère. Compilé par les frères de Migennes
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Rissalatou Tawba ou la lettre du repentir de Cheikh Brahim
08/11/2011 14:45
UNE LETTRE POUR NIAMEY «Risâlatut Tawba» ou La Lettre de repentir, dans laquelle il se remet à son seigneur comme toujours, exprimant le repentir, tel que fortement recommandé par le Coran et la « Sounna». Il s'est trouvé des gens pour interpréter cela comme une affaire conjecturelle, en particulier, une renonciation soit à la tarîqa tijâniyya ou à la pratique du «qabdu» (le faite d'attrapper son bras gauche par sa main droite et de les faire reposer sur la poitrine). D'autres sont partis plus loin, en lui écrivant une lettre pour lui demander la véracité de ces rumeurs, en l'occurrence Abdoulaye Diarra et Moussa Cheddad. Cheikh Ibrahîm prit le soin de répondre à ces gens, prenant tout le soin de donner une leçon aux jeunes intellectuels. Nous vous proposons ici une traduction de Cheikh Barham Aboubacar Hâchim, publiée dans la revue « almawlid», n°6 du 20 avril 2005, Niamey, Niger. ________________________________________ Au nom d'Allah, Le Clément et Miséricordieux. Louanges à Allah, Seigneur des mondes, que bénédictions et paix se perpétuent sur Mouhammad, sceau des prophètes et ultime messager, sur sa famille et l'ensemble de ses compagnons. Honorable instituteur Abdoulaye Diarra, directeur de Medersa franco-arabe à Niamey. Qu'Allah vous protége par la foi et que sa paix et sa miséricorde soient sur vous. Cher fils, si par le mot " voie " vous faites allusion à la voie Tidjane que je connais, alors ma réponse est que jamais, et Dieu merci, je n'y ai renoncé et je n'y renoncerai jamais, jusqu'à la fin des temps. Puisque cette voie Tidjane que je connais n'est faite que de trois invocations qui sont : La formule d'invocation du pardon (Istighfar), La prière sur le prophète : (Salatu ala Nnabiy), Et la formule de la shahada : (la ilaha illa Allah). Cependant j'ai effectivement reçu votre lettre à travers laquelle vous affirmez avoir entendu que j'ai renoncé à la voie au profit de la voie de la Sounna, et que vous voulez sur ce sujet un éclairage… Ce sont des formules que tout musulman est tenu de pérenniser ne serait-ce que par croyance et par respect des préceptes du livre saint et de la Souna purifiée. Toutes ces deux sources que je viens de citer, renferment d'abondantes recommandations relatives à la nécessité de perpétuer ces invocations nuit et jour. Alors, à Dieu ne plaise de me détourner d'un tel bienfait et d'une source aussi pure. Si jamais vous tombez un jour sur un individu qui s'est laissé coloniser par le Satan maudit au point d'oublier le rappel de Dieu (Zikr), la prière sur le prophète (salat a la nabi) Et l'invocation du pardon (Istighfar), alors dites-vous bien que c'est un individu subjugué dont le cas nécessite une forte prière. Car le même Satan qui l'aurait détourné du chemin des gens pieux et de bonnes œuvres, pourrait le bannir cette fois, du périmètre de l'islam pour le conduire vers la perdition. Qu'Allah ne l'admette! Telle est la réalité de la question, j'ai tenu à vous l'expliquer à toi et à M. Moussa Cheddad co-signataire de la lettre. Je me permets de supposer que tous les deux vous désirez réellement un éclairage sur cette question ne serait-ce que par esprit d'investigation et par respect à la science que vous êtes sensés servir tous les deux sinon l'un d'entre vous au moins. Par contre, si l'esprit de votre lettre n'était que sarcasme et moquerie voir une volonté de faire perdre du temps et à vous mêmes et à moi à travers ma rédaction de cette réponse, alors tout ce que je pourrai c'est d'invoquer Allah pour qu'Il vous ramène sur le droit chemin. Cela dit, quant au musulman africain auquel vous faisiez allusion et qui serait plus préoccupé selon vous de trouver le moyen de mettre un terme à la voie, celle bien sûr de l'invocation du pardon, de la prière sur le prophète(S) et de la formule de l'unicité divine, alors moi en ce qui me concerne, je demande là aussi à Allah de lui pardonner et de lui montrer le chemin du salut et qu'Il le protège surtout contre les satans, ceux des djinns et des humains. Que Dieu élargisse la poitrine à ce musulman africain, et qu'Il lui clarifie la vue et l'esprit jusqu'à ce qu'il s'aperçoive que les problèmes de l'Afrique ne résident pas dans l'appartenance de millions de ses fils musulmans à la voie Tijâni, au contraire, puisque ces millions de croyants musulmans d'obédience Tijâni sont en fait de l'élite des fils d'Afrique. Car nous avons constaté leur présence effective dans les petites et grandes Mosquées tout comme sur les périmètres agricoles, dans les écoles, les universités, les marchés, dans les formations politiques, les parlements, dans les gouvernements, les palais de justices, les usines et partout ailleurs. Et quiconque se faisant alors une mauvaise idée à leur sujet, pense que ces gens s'apprêtent à abandonner ce qui est déjà pour eux un acquis et une certitude encrée, le moins qu'on puisse dire est que ce monsieur là ne connaît rien de la société africaine. Pour ma part, je trouve cependant qu'en réalité l'africain musulman se trouve plutôt convié à une grande réflexion sur des sujets concrets de préoccupation. Il a devant lui des problèmes complexes tant au plan intellectuel, culturel, social économique que politique. Il est pour ainsi dire appelé à livrer plutôt la bataille du grand «djihad» afin de préserver les siens et sa propre personne du supplice de la fournaise, mais aussi de garantir sa propre progression spirituelle et de fortifier tout autant sa foi. Il doit surtout apprendre à appeler les gens vers Dieu avec " intelligence et sagesse". C'est comme cela que les adeptes des divinités païennes et au delà, tous ceux qui se trouvent détournés par les évangélistes et autres, pourraient être ramenés à l'islam. C'est également comme cela que seront ramenés sur le droit chemin ceux des musulmans qui ont déserté les Mosquées et les écoles pour se laisser emporter par les courants tumultueux et trompeurs venus d'Europe et d'Amérique avec leurs multiples facettes de corruption… Cependant, force est d'admettre que le musulman africain a de sérieux problèmes face à l'appel islamique en tant que tel à cause notamment de certains prosélytes incultes et prétentieux mais aussi des Ulémas qui spolient les acquis de la «ummah», en dénigrant les dépositaires des sciences, semant le trouble et le doute dans les esprits pour mieux ébranler les fondements de la communauté… Oui ! il y'a aujourd'hui devant le musulman africain un large chantier de réflexion et d'action ; A vous de persévérer dans le cadre de vos Medersas pour former des promotions qui soient rigoureuses dans leur pensée, consciencieuses dans leur foi. Mais aussi pour qu'elles soient respectueuses des gens pieux avec lesquels elles doivent traiter avec vérité, sincérité et crainte d'Allah. Si jamais ces promotions se sentent pourvues d'assez de ressource pour combattre, qu'elles sachent surtout que les ennemies d'Allah se trouvent plutôt du coté des reprouvés, des fourvoyés, des marxiste-léninistes, des existentialistes, des «bahaï» et de leurs acolytes. Voilà les défis tels qu'ils se présentent partout en Afrique. (Y'a-t-il quelqu'un qui réfléchit?) Que la paix soit avec vous! » Ibrahima Niasse de Kaolack, Président de l'Union des musulmans d'Afrique. Ce travail a été fait Cheikh Barham, fils de Cheikh Aboubacar Kiota et publié dans son journal : « Almawlid», Kiota, n°17. La citation pour ceux qui veulent l'utiliser est : Barham Aboubacar, revue almawlid, n°6, Niame
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