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La généalogie du Prophète (saw)
08/09/2008 16:58
La généalogie du Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui)
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Le Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) dit à ce propos: « Allâh(swt) a choisi Kinana parmi les Fils d'Adam et a choisi Quraich parmi la descendance de Kinana et dans la lignée de Quraich, Il a choisi les Fils de Hachim et m’a élu parmi les Fils de Hachim, je suis donc le meilleur issu des meilleurs.»
De Ibrahim (sur lui la paix) à 'Adnân
A partir de 'Adnân
Le Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) a dit : « Ne faites pas remonter ma lignée au-delà de 'Adnân.» (As-Souyoûti)
Il est Mouhammad fils de 'Abdillâh
-fils de Abd Al-Mottalib
-fils de Hâchim
-fils de 'Abd Manaf Qoussay
-fils de Kilâb
-fils de Morra fils de Ka'b
-fils de Louëy
-fils de Ghâleb
-fils de Fihr (surnommé Qouraych, et ancêtre de la tribu du même nom)
-fils de Mâlik
-fils de Nadr (surnommé Abou Qays),
-fils de Kinâna
-fils de Kouzayma
-fils de Moudrika
-fils de Ilyâs,
-fils de Modar,
-fils de Nizâr
-fils de Ma'add
-fils de 'Adnân.
Son arrière arrière-grand-père se nomme Qoussay
Il est l'homme qui a uni Quraïch. D'ailleurs, c'est ce même Qossaï qui a instauré la maison d'assise (le petit parlement de Quraiche).
Son arrière-grand-père: Hâchim
Il a signé des traités de commerce avec les Perses. Et c'est également lui qui a établi les pactes avec les tribus arabes. C'est donc lui qui a fait la fortune de Quraiche.
Son grand père paternel : 'Abd Al-Mouttalib
Il est celui qui a creusé le puit de Zamzam.
'Abd Al-Mouttalib était chargé du service de la Ka'ba et de son entretien. Pendant la période du pélerinage, il se chargeait entre autre de transporter l'eau nécessaire pour étancher la soif des pélerins. Il était officiellement le chargé de service de la Maison Sacrée.
'Abd Al-Mottalib, grand-père du Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui), a engendré 10 fils : 'Abbâs (que Dieu l'agrée), Hamza (que Dieu l'agrée), 'Abdallâh, qui est le père du Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui), Abou Tâlib, Az-Zoubayr (que Dieu l'agrée), Hârith, Hajla, Mouqqawim, Dirâr et Abou Lahab.
Ses filles, au nombres de 6, sont : Oum Al-Hakîm (aussi appelée Al-Baydâ), Barrah, 'Atikah, Safiya, Arwa et Oumayma.
L'évenement de l'éléphant:
Un chef chrétien d'Ethiopie du nom d'Abraha décida de s'installer en Arabie et d'y ériger un sanctuaire destiné à attirer les pélerins arabes. En ces temps, la période du pélerinage chez les Arabes s'accompagnait en effet de nombreux échanges commerciaux et de nombreuses manifestations culturelles. La mainmise sur cette rencontre annuelle représentait une alléchante perspective d'enrichissement. Les plans d'Abraha, à sa grande surprise, ne réussirent pas à détourner les Arabes de la Ka'ba, dont le caractère divin est bien plus vieux que la mémoire des Arabes. La Ka'ba a toujours été considérée, à travers les âges, comme un sanctuaire sacré. Sa rénovation est attribuée à Abraham (sur lui la paix) et son fils Ismaël (sur lui la paix) et son histoire s'enracine, bien avant Abraham (sur lui la paix), dans l'histoire de la foi. On comprend alors que le temple flambant neuf proposé par Abraha ne fasse pas le poids devant la Ka'ba.
Afin de réaliser ses desseins, Abraha décida d'employer la force pour obliger les Arabes à abandonner La Mecque et faire leur pélerinage dans le nouveau sanctuaire (au sud de l'Arabie, du côté du Yemen). Il rassembla ses innombrables troupes (qui lui avaient soumis le Yemen), ses cornacs et ses éléphants d'Ethiopie et se dirigea vers La Mecque pour détruire la Maison Sacrée. Les protestations des tribus arabes n'avaient aucun poids contre la volonté et la puissance d'Abraha. Rendu aux portes de La Mecque, la taille des armées d'Abraha jeta une terreur froide dans le coeur des Mecquois. Leur propre impuissance les désespérait...
Un seul homme resta impassible : 'Abd Al-Mouttalib Ibn Hâshim(raa). Il demanda à rencontrer Abraha en personne, dans son camp et au milieu de sa cour et de ses gardes. Au premier abord, le charisme de 'Abd Al-Mouttalib(raa) força le respect d'Abraha. Il l'interrogea sur l'objet de cet entretien, et, 'Abd Al-Mouttalib de lui demander de lui restituer son troupeau de chameaux ravis par l'armée d'Abraha !! Abraha lui dit alors : " Je croyais que tu étais venu discuter d'une affaire plus importante que ça, quelque chose en rapport avec votre sanctuaire qui vous est si cher et que j'ai l'intention de raser." 'Abd Al-Mouttalib(raa) lui dit : « Je t'ai parlé de mes chameaux car j'en suis le seigneur. Quant au Sanctuaire, sache qu'il a un Seigneur et que ce Seigneur le protégera...» Le despote lui rétorqua : « Il ne le protégera pas de moi ! »
L'ordre fut donné et les assaillants se dirigèrent vers La Mecque précédés par les phalanges éléphantines. Tout à coup, le grand éléphant qui sert de meneur à tout le troupeau s'arrêta. On avait beau le forcer à marcher vers la Ka'ba, il ne bougeait plus. Dès qu'on le détournait du Sanctuaire, il se relevait. Aussitôt qu'on l'orientait vers la Ka'ba, il refusait de marcher... Face à ce contretemps, Abraha ordonna d'attaquer sans les éléphants. C'est alors que le temps se gâta, le ciel se chargea de nuages et une nuée d'oiseaux apparut dans le ciel. Ces oiseaux lapidèrent les agresseurs avec des milliers de petites pierres et eurent raison des troupes d'Abraha !! Abraha, quant à lui, fut victime d'une maladie douloureuse qui rongea son corps jusqu'à l'os...
Dieu (le Très-Haut) a dit : {N'as-tu pas vu comment ton Seigneur a agi envers les gens de l'éléphant. N'a-t-Il pas rendu leur ruse complètement vaine ? et envoyé sur eux des oiseaux par volées qui leur lançaient des pierres d'argile ? Et Il les a rendus semblables à une paille mâchée.} (105/1-5)
L'incident de l'Elephant eut lieu pendant l'année de naissance du Prophète. Les traditions les plus sûres à ce sujet précisent même que cet incident eut lieu le jour de la naissance du Prophète Mohammad (paix et bénédiction de Dieu sur lui).
Son père 'Abdoullah(raa):
Ce dernier a épousé la mère du Prophète, Amina, et est allé, en commerçant, se procurer de la marchandise, deux mois après son mariage. Elle était alors déjà enceinte, mais le père ne le savait pas. Durant son parcours, il s'est arrêté à Médine, dont il était originaire, rendre visite à ses oncles. Abd-El-Mottalib(raa), qui était le grand-père du Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui), était marié et résidait dans cette ville. A cette escale, Abdoullah tomba grièvement malade, son cas s'empira et il finit par y succomber. Il fut enterré à Médine, loin de sa famille.
Sa mère Amina(raa)
C'est Amina Bint Wahb Ibn 'Abd Manaf Ibn Zahra Ibn Kilab(raa), une femme Qouraychite. Elle était considérée comme la meilleure des femmes Qoureychites de part sa généalogie et de son rang social.
Wa ‘âhiru da’wâhum’anil’hamdul’lilâh rabbil’alamine ! ‘(Louange à Dieu, Seigneur des mondes !)
wa salam
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Hadiths de Méditation
08/09/2008 16:25
Salamu' aleikoum !
Joueux mois de ramadane à tous !
voici des sujets de méditation pour vous replonger dans les réalités Mouhamédiennes .
Selon lui encore, le Messager de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) a dit :
- «Celui qui réunit deux bonnes actions au service de Dieu, s'entendra s'appeler à partir des portes du Paradis : «Ô esclave de Dieu! Voilà une bonne chose que tu viens de faire.»
-Celui qui fait partie des pratiquants fervents de la prière est appelé à partir de la porte de la prière.
-Celui qui fait partie des volontaires fervents à la guerre sainte est appelé à partir de la porte de la guerre sainte.
-Celui qui fait partie des pratiquants fervents du jeûne est appelé à partir de la porte dite « du Rayyane »
-et celui qui fait partie des dispensateurs fervents d'aumônes est appelé à partir de la porte de l'aumône. »
Abou Bakr (que Dieu l'agrée) dit :
«Ô Messager de Dieu(swr) ! Que mon père et ma mère te servent de rançon ! suffit-il d'être appelé à partir de l'une de ces portes pour être sûr du succès (d'entrer au Paradis) ?
Est-il possible que quelqu'un soit appelé à partir de toutes ces portes à la fois ? »
Il dit : «Oui et j'ai bon espoir que tu sois l'un d'eux. »
(Al-Boukhâri, Mouslim)
æÚäå ÑóÖíó Çááøóåõ Úóäåõ Ãä ÑóÓõæá Çááøóåö Õóáøóì Çááøóåõ Úóáóíåö æóÓóáøóã ÞÇá: <ãä ÃäÝÞ ÒæÌíä Ýí ÓÈíá Çááøóå äæÏí ãä ÃÈæÇÈ ÇáÌäÉ: íÇ ÚÈÏ Çááøóå åÐÇ ÎíÑ. Ýãä ßÇä ãä Ãåá ÇáÕáÇÉ ÏÚí ãä ÈÇÈ ÇáÕáÇÉ¡ æãä ßÇä ãä Ãåá ÇáÌåÇÏ ÏÚí ãä ÈÇÈ ÇáÌåÇÏ¡ æãä ßÇä ãä Ãåá ÇáÕíÇã ÏÚí ãä ÈÇÈ ÇáÑíÇä¡ æãä ßÇä ãä Ãåá ÇáÕÏÞÉ ÏÚí ãä ÈÇÈ ÇáÕÏÞÉ> ÞÇá ÃÈæ ÈßÑ ÑóÖöíó Çááøóåõ Úóäåõ: ÈÃÈí ÃäÊ æÃãí íÇ ÑóÓõæá Çááøóåö ãÇ Úáì ãä ÏÚí ãä Êáß ÇáÃÈæÇÈ ãä ÖÑæÑÉ Ýåá íÏÚì ÃÍÏ ãä Êáß ÇáÃÈæÇÈ ßáåÇ¿ ÝÞÇá: <äÚã æÃÑÌæ Ãä Êßæä ãäåã> ãõÊøóÝøÞñ Úóáóíåö.
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Les plus grands secrets du jeûne
06/09/2008 17:49
Alhamdulillâhi !
Assalatu wa salamoui alaa rassoulillâhi,
chers frères et soeurs,voici quelques grands secrets du jeûne .
Questions :Quels sont les plus grands secrets du jeûne ?
Et comment pouvons-nous connaître ces secrets ?
Réponse du Docteur Yûsuf `Abd Allâh Al-Qaradâwî
Nous ne pourrons comprendre le secret du jeûne que si nous comprenons le secret de l’être humain... Qu’est-ce que l’être humain et quelle est sa réalité ? Est-il ce corps dressé et ce squelette érigé ? Est-il cet ensemble d’organes, de cellules, de chair, de sang, d’os et de nerfs ? Si l’être humain était tel, que vil et petit serait-il alors ! !
Oui... L’être humain n’est pas ce squelette matériel. Il est en vérité une âme céleste habitant ce corps terrestre, il est un secret du royaume des cieux placé dans une enveloppe d’argile. La réalité de l’être humain est cette finesse divine et ce joyau spirituel que Dieu a placés en lui : grâce à elle, il comprend et il réfléchit ; grâce à elle, il ressent et il goûte ; grâce à elle, il organise le royaume terrestre et cherche à atteindre le royaume céleste ; grâce à elle, Dieu a ordonné aux Anges de se prosterner devant Adam, et ce n’est sûrement pas grâce à la boue malléable ni à l’argile pétrie qui le constitue : « Quand ton Seigneur dit aux Anges : ‹Je vais créer d’argile un être humain. Quand Je l’aurai bien formé et lui aurai insufflé de Mon Esprit, jetez-vous devant lui, prosternés›. » (sourate 38 intitulée Sâd, versets 71 et 72).
Tel est l’être humain : une âme supérieure dans un corps inférieur. Le corps est le logis ; l’âme est son propriétaire et son habitant. Le corps est l’embarcation ; l’âme est le passager et le voyageur. Le logis n’a pas été créé pour lui-même, ni l’embarcation n’a été créée pour elle-même. Le logis profite à l’habitant et l’embarcation sert au voyageur. Combien étranges sont ces êtres humains qui se négligent eux-mêmes et qui se préoccupent de leur maison, ou qui s’assignent à devenir les serviteurs de leurs embarcations ! Ils ont négligé leur âme pour rendre le culte à leur corps. Ce n’est plus que pour leur corps qu’ils œuvrent ; ce n’est plus que pour répondre à leurs instincts qu’ils s’activent ; toutes leurs pensées ne tournent plus qu’autour de leur ventre et de leur sexe... Leur sempiternel refrain est désormais :
Innamad-dunyâ ta`âmuw-wa sharâbuw-wa manâmu
Fa-idhâ fâtaka hâdhâ fa-`alad-dunyas-salâmu
Traduction
En vérité, le monde d’ici-bas n’est que nourriture, boisson et sommeil.
Si tu manques tout cela, tu peux dire adieu à la vie.
Ces êtres humains sont ceux que Dieu a décrits en ces termes : « Ne vois-tu pas celui qui a fait de sa passion sa divinité ? Est-ce à toi d’être un garant pour lui ? Ou bien penses-tu que la plupart d’entre eux entendent ou comprennent ? Ils ne sont en vérité comparables qu’à des bestiaux. Ou plutôt, ils sont encore plus égarés du sentier. » (sourate 25 intitulée le Discernement, Al-Furqân, versets 43 et 44).
Tel est l’être humain : une âme et un corps. Le corps a des demandes correspondant à sa nature inférieure ; l’âme a des demandes correspondant à sa nature supérieure. Si l’être humain soumet dans son esprit les désirs de son âme à ses instincts, il se transforme dès lors d’un ange miséricordieux à une bête méprisable puis à un diable maléfique. C’est cet individu que le poète croyant interpelle dans ses vers :
«Yâ khâdimal-jismi kam tas`â li-khidmatihi atatlubur-ribha mimmâ fîhi khusrânu
Aqbil `alan-nafsi wastakmil fadâ’ilahâ fa-anta bin-nafsi lâ bil-jismi insânu»
Traduction
Ô esclave de ton corps ! Comme tu te presses de le servir ! Manderais-tu le profit de ce qui n’est que perte ?
Viens-en vers ton âme et cultive ses vertus. Car, c’est par l’âme et non par le corps que tu es un homme.
Si l’être humain prend connaissance de sa valeur propre, s’il comprend le secret que Dieu a déposé en lui, s’il se réfère à son côté céleste pour diriger son côté terrestre, s’il se préoccupe du passager avant de se préoccuper de la monture, s’il se préoccupe de l’habitant avant de se préoccuper des murs, s’il fait prévaloir les envies de son âme sur les instincts de son corps, il deviendra dès lors un ange, voire meilleur qu’un ange. « Quant à ceux qui croient et accomplissent les bonnes oeuvres, ce sont les meilleurs de toute la création. » (sourate 98 intitulée la Preuve, Al-Bayyinah, verset 7).
C’est en raison de cela que Dieu a prescrit le jeûne, afin que l’être humain se libère du pouvoir de ses instincts, afin qu’il s’élance au dehors de la prison de son corps, afin qu’il ait raison de ses désirs concupiscents, afin qu’il maîtrise son aspect animal et tende vers un aspect angélique, afin qu’il se rapproche du royaume des cieux, afin qu’il frappe aux portes du Ciel par ses invocations et que celles-ci s’ouvrent pour lui, afin qu’il implore son Seigneur et que Celui-Ci lui réponde : « Me voici, ô Mon Serviteur, Me voici ! ». Le Prophète — paix et bénédiction sur lui — dit dans le même sens : « Trois personnes ne voient pas leurs implorations rejetées : le jeûneur jusqu’à ce qu’il rompe son jeûne, le dirigeant juste et l’opprimé... »
(rapporté par At-Tirmidhî ( qui qualifia ce hadith de bon )
par Ahmad et Ibn Mâjah, ainsi que par Ibn Khuzaymah et Ibn Hibbân dans leurs Sahîh respectifs).
Wa ‘âhiru da’wâhum’anil’hamdul’lilâh rabbil’alamine ! ‘(Louange à Dieu, Seigneur des mondes !)
wa salam
Commentaire de OULY(Bruxelles) (15/09/2008 15:26) :
une musulmane,
Salam allaykoum wr wb
mon frère/soeur fillah, mash'allah pour ton blog et bonne continuation
, qu'Allah t'accorde le Paradis incha'Allah et qu'Il
(swt) te facilite tout ce que tu entreprends, qu'Il(swt)
t'éloigne de l'enfer, et t'éloigne du châtiment de la
tombe...
mash'allah pour ton blog, j'aimerais beaucoup que tu crées un
forum islamique sur ton blog afin que tu puissions t'aider à son
agrandissement...
Nous sommes nombreux à vouloir t'aider. incha'Allah ta'ala
!
A très bientÖt et au plaisir de te relire incha'Allah
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lL'importance du mois de Ramadane
06/09/2008 17:25
Al Hamdulillâhi HaqqaHamdi !
As-salatou wa salamou alaa Rassoulillâhi !
Première question:
Notre Communauté islamique accueille à nouveau le mois béni de Ramadân. Que signifie ce mois pour cette Communauté à l’heure actuelle ?
Réponse
Le mois de Ramadân est un mois béni, pour la Communauté musulmane.Ceci est mentionné par Dieu dans le Noble Coran pour montrer qu’il s’agit du mois du jeûne. Dieu (swt ) dit : « Ô croyants ! On vous a prescrit le jeûne comme on l’a prescrit à ceux d’avant vous ; ainsi atteindrez-vous la piété » [1]. Ce verset fait apparaître la sagesse qui réside dans le jeûne, à travers l’expression : « ainsi atteindrez-vous la piété ». La piété désigne l’observance de Dieu(swt), tant dans la « zôhir » que dans le « bâtine» et la crainte révérencielle qui amène l’être humain à s’arrêter aux limites tracées par Dieu(swt), à travers Ses commandements et Ses interdits.
Le Coran mentionne le mois Ramadân une seconde fois lorsqu’il nous informe qu’il s’agit du mois au cours duquel le ciel s’est relié à la terre, et où a débuté la révélation faite à notre seigneur Muhammad, le Messager de Dieu (paix et bénédiction sur lui). Dieu (swt) dit ainsi : « Le mois de Ramadân au cours duquel le Coran a été révélé comme guide pour les gens, et preuves claires de la bonne direction et du discernement. » [2]
Le Ramadân vient donc s’imposer dans le monde musulman et dans tous les domaines de la vie. Il s’impose à l’individu, à la famille, à la société et aux médias audio-visuels. Pour cette raison, le mois de Ramadân est le mois du changement et de la mutation de tous les aspects de la vie:
-Les heures des repas et du sommeil changent
-les œuvres pies, -les actes de culte et le cheminement vers Dieu apparaissent sous un jour manifeste ;
-les actes de bonté,d'amour, de bienfaisance et de charité sont distribués aux pauvres, aux indigents et aux nécessiteux.
Je dis donc que le Ramadân est le mois de la volonté qui peut venir à bout de tout. L’être humain ne peut en effet atteindre aucun objectif ni répondre à aucune nécessité matérielle ou spirituelle si ce n’est grâce à la volonté. Aujourd’hui, la chose dont nous avons le plus besoin est précisément cette volonté, afin de changer la réalité islamique publique et privée, par une réalité meilleure et plus constructive, tant en termes de production, d’industrie, de richesses que de formation humaine selon les vertus morales, pour que le bien, la justice, l’amour et la générosité se généralisent dans tout l’édifice social.
Deuxième question
La sagesse qui réside dans le Ramadân est-elle différente aujourd’hui par rapport à ce qu’elle était hier ? Cette sagesse se résume-t-elle à l’aspect rituel du culte seulement ?
Réponse
Les lois et les obligations prescrites aux hommes par le Créateur Tout-Puissant ne varient pas dans leurs objectifs et leurs sagesses d’une époque à l’autre. Bien au contraire, elles demeurent valables à toutes les époques et en tous lieux. Car l’être humain est toujours l’être humain dans ses penchants et dans ses nécessités vitales. Les obligations religieuses ne sont que des écoles d’où le Musulman est diplômé pour devenir un être humain et un membre d’une société saine, dans laquelle l’individu vit pour le groupe, et dans laquelle le groupe vit pour l’individu. Car les croyants sont, les uns pour les autres, tels un édifice plombé, dont toutes les parties sont solidaires les unes des autres.Partant de là, je dis que les actes cultuels sont un devoir qui incombe à tout Musulman et à toute Musulmane, se devant d’être accomplis pour la réalisation de la finalité de l’acte de culte en question.
Ceci est clairement mentionné dans le Saint Coran, où notre Seigneur - Exalté et Loué soit-Il - dit à propos de la prière : « Accomplis la prière. En vérité, la prière préserve de la turpitude et du péché » [3] ; à propos du jeûne : « ainsi atteindrez-vous la piété » [1] ; à propos de l’aumône légale : « Prélève sur leurs biens une aumône par laquelle tu les purifies et tu les bénis » [4], car c’est bien une purification de tous ces défauts que sont l’avarice, la convoitise, le narcissisme, l’égoïsme, l’amour du bas-monde, tout autant de défauts qui éloignent l’être humain de la vérité, de la justice et de l’égalité ; à propos du pèlerinage : « pour participer aux avantages qui leur ont été accordés et pour invoquer le nom de Dieu » [5]. Les avantages dont il est question dans ce dernier verset sont d’ordre matériel - comme par exemple le commerce - et spirituel - l’acquisition de la récompense et de la rétribution de Dieu et l’obtention de l’Agrément divin. Tout revient ensuite à Dieu et est dépensé pour la Cause de Dieu. Les directives de l’Islam ont donc pour but de réaliser le bonheur éternel de l’être humain.
Troisième question
Quelles sont les mesures que prend le Conseil Supérieur de la Fatwâ, au niveau de la prédication, pour se préparer à accueillir le mois béni de Ramadân ?
Réponse
Pendant le Ramadân, l’être humain s’active à remédier à ses manquements : il accomplit les prières obligatoires, s’acquitte des prières surérogatoires, notamment celles qui sont recommandées, celles des tarâwîh (prières nocturnes) et celles qui précèdent l’aube. Il s’efforce de s’arrêter aux limites tracées par Dieu : il ne médit pas d’autrui, ne le calomnie pas, ne l’insulte pas. Car le jeûne consiste à s’abstenir de toutes les choses qui rompent le jeûne, aussi bien sur un plan physique que sur un plan moral. C’est ici qu’intervient le Conseil de la Fatwâ pour mettre au point un programme à l’intention des éducateurs religieux, afin d’augmenter le nombre de conférences et de réunions dans les mosquées. Le but est d’instruire, d’informer les gens, et de répondre à leurs questions sur les divers sujets auxquels ils sont confrontés durant le jeûne, à la lumière de la Législation islamique. D’autres activités sont également proposées.
Quatrième question
L’humanité a-t-elle connu le jeûne avant le mois béni de Ramadân ?
Réponse
Oui, toutes les religions, qu’elles soient d’origine céleste ou d’origine terrestre, ont connu ce culte qu’est le jeûne. Le Noble Coran le dit expressément : « Ô les croyants ! On vous a prescrit le jeûne comme on l’a prescrit à ceux d’avant vous ; ainsi atteindrez-vous la piété » [1]. Ce verset est clair. Le jeûne est ainsi prescrit dans les religions de Moïse et de Jésus - paix sur eux - tout comme il est prescrit dans la religion musulmane. Les modalités du jeûne peuvent quant à elles varier d’une religion à l’autre.
Cinquième question :
La commémoration de la journée de Jérusalem aura lieu durant ce mois béni, tandis que la Ville sainte est encore prisonnière du joug de l’occupation... Quels sont vos orientations et vos conseils vis-à-vis de cette question ?
Réponse :
Jérusalem est le lieu que Dieu a expressément mentionné dans le Noble Coran, lorsqu’Il dit : « Gloire et Pureté à Celui qui, de nuit, fit voyager Son Serviteur, de la Mosquée Sacrée à la Mosquée Al-Aqsâ dont Nous avons béni l’alentour » [6]. Jérusalem a traversé de nombreux événements, le plus important ayant été les Croisades, où elle est restée pendant 90 ans sous occupation croisée. Et aujourd’hui, c’est Israël qui souille la terre de Jérusalem.
Jérusalem a été libérée une première fois par `Umar Ibn Al-Khattâb - que Dieu l’agrée - et l’armée musulmane, puis elle a été libérée par Salâh Ad-Dîn (Saladin) à Hattin, et les Croisades, qui ont duré deux siècles, se sont terminées grâce à la lutte sincère des détenteurs du droit. Aujourd’hui, l’obscurité et l’injustice planent sur Jérusalem. Ce désastre est destiné à prendre une fin comme cela a été le cas dans le passé. Nous sommes témoins, depuis 1917, en passant par 1948 et jusqu’à aujourd’hui du combat et de la lutte légitimes du peuple palestinien qui offre ses martyrs.
Comme nous sommes fiers de ce peuple lorsque nous voyons des enfants résister à l’occupation avec des cailloux. Ils font face aux balles et aux bombes avec leurs corps fragiles, mais leurs âmes sont plus fortes que les pierres qui leur font office d’armes contre leur ennemi. Pour cette raison, la victoire se réalisera, que ce soit aujourd’hui ou demain. Mais cela exige de la solidarité, du soutien, de la sincérité et du dévouement dans le combat. Ceux qui luttent à l’intérieur de la terre sainte sont des héros, dont le combat n’est égalé de nos jours par aucune autre action. Nous avons vu comment une seule opération de martyre a ébranlé les piliers du monde entier, qui s’est réuni à Charm Al-Cheikh pour riposter. En vérité, le détenteur du droit n’est jamais vaincu, et le chemin est encore long. Dieu sera avec nous tant que nous serons avec nous-mêmes, à œuvrer pour notre cause et notre avenir.
Sixième question
Y a-t-il un conseil que vous désirez transmettre à la Communauté islamique en ce mois béni, à travers le magazine Al-`Âlam ?
Réponse
Je dirai à la nation arabo-musulmane, en ce mois béni, la chose suivante :
Nous devons travailler à nous réformer nous-mêmes dans un premier temps, et ce, en observant scrupuleusement les commandements et les interdits divins. Si l’individu est réformé, c’est ensuite la famille puis la société qui sont réformées à leur tour. Nous devons également savoir que l’Islam est la voie la plus saine et la plus à même de réaliser tous les objectifs et les desseins nobles et honorables, qui feront de notre Communauté la meilleure des communautés, comme elle l’a été par le passé. Mais de quel Islam parlons-nous ?... Nous parlons de l’Islam du savoir, de la sagesse, de la purification spirituelle, sans extrémisme, sans fanatisme, mais dans l’entraide, le dialogue et l’amitié.
Wa ‘âhiru da’wâhum’anil’hamdul’lilâh rabbil’alamine ! ‘(Louange à Dieu, Seigneur des mondes !)
Notes
[1] Sourate 2, la Vache, Al-Baqarah, verset 183.
[2] Sourate 2, la Vache, Al-Baqarah, verset 185.
[3] Sourate 20, l’Araignée, Al-`Ankabût, verset 45.
[4] Sourate 9, le Repentir, At-Tawbah, verset 103.
[5] Sourate 22, le Pèlerinage, Al-Hajj, verset 28.
[6] Sourate 17 intitulée le Voyage nocturne, Al-Isrâ’, verset 1.
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Les bienfaits de la salat alaaNabiy
06/09/2008 16:21
Al-Hamdullilâhi Assalatou wasalamou alaa Rassoulillâhi,chers coréligionnaires.
A tous joyeux Mois deRamadane !
Hazrat Omar(raa) a rapporté un hadith dans lequel Raçouloullah(saw) a dit: « Envoyez-moi de nombreuses salawaat durant la nuit lumineuse (la nuit du vendredi) et le jour lumineux (le jour de vendredi) car elles me sont présentées et (en retour) je prie en votre faveur et pour votre pardon.» Hazrat Abou Houreyra(raa) rapporte que Raçouloullah(saw) a dit: «A chaque fois que quelqu'un envoie la salat sur ma tombe, je l'entends et quand elle m'est récitée de loin, elle m'est transmise »
Abou Darda(raa) rapporte que l'Envoyé d'Allah(saw) a dit:
« Récitez beaucoup de salawaat pour moi le vendredi, car, en vérité, c'est un jour tellement béni que les anges sont présents (à cette occasion) et dès que quelqu'un m'envoie des salawaat, à peine les a-t-il prononcées que celles-ci me parviennent.» (extrait de "Les vertus de la salaat alan'nabi par Sheikh oul Hadith Hazrat Mawlana Zakariyya ) Note importante :
Les Imâms Ahmad, at-Tirmidhî et al-Hakîm rapportent de notre maître Ubay ibn Ka`b (qu’Allâh l’agrée) le récit suivant :
« Après le tiers de la nuit, le Prophète (sallâ–L-lâhu `alayhi wa sallam) avait pour habitude de se lever. A ces moments, il disait : « Ô Peuple ! Rappelez-vous d’Allâh ! Le premier souffle dans la Trompette est imminent ! Le second souffle dans la Trompette le suit de près ! La mort arrive.» Ubay (qu’Allâh l’agrée) dit : «Ô Messager d’Allâh ! Je fais habituellement de nombreuses prières (salawât) sur toi. Quelle part dois-je t’en dédier ? » Le Prophète (sallâ–L-lâhu `alayhi wa sallam) répondit : «Autant que tu le souhaites.» Ubay (qu’Allâh l’agrée) dit : « Le quart ? » Le Prophète (sallallâhu `alayhi wa sallam) répondit : «Autant que tu le souhaites, mais si tu en fais davantage ce sera meilleur pour toi.» Ubay (qu’Allâh l’agrée) a ensuite mentionné, le tiers, la moitié, les deux tiers, la réponse du Prophète (sallâ–L-lâhu `alayhi wa sallam) étant toujours : ‘Autant que tu le souhaites, mais si tu en fais davantage ce sera meilleur pour toi.’ Finalement Ubay in Ka`b (qu’Allâh l’agrée) dit : « Ô Messager d’Allâh ! Je te dédie la totalité de ma prière.»
Sur ce le Prophète (sallallâhu `alayhi wa sallam) répondit : « Tu seras ainsi libéré de toute peine et tes péchés seront pardonnés.»
Dans une autre version : « Ainsi Allâh te suffira dans tes affaires de cette vie et de l’autre.» Le maître, Ibn Hâjar al-Haytamî (qu’Allâh lui fasse miséricorde) donne l’explication suivante dans son ouvrage «Al-Fatâwa al-Hadîthiyyah »: « Il est compris de la formulation de ce récit que le terme salât dans l’expression ‘Je vais te dédier ma salât’ signifie du`a (invocation)… Le sens est donc : ‘Il y a un temps où je fais des invocations pour moi, quelle part dois-je t’en dédier ?’ Si cela est clairement établi, regardons ce qu’en dit le Shaykh al-Islâm al Hâfidh ibn Hâjar [al `Asqalânî] comme le rapporte de lui son disciple al-Hâfidh as-Sakhâwî qui a particulièrement approuvé ses propos : ‘Ce Hadîth établit un important principe de la religion qui consiste à dire pour quiconque accomplit une invocation : Ô Allâh ! Accorde à notre Maître le Messager d’Allâh (sallâ–L-lâhu `alayhi wa sallam) la récompense de cette adoration. »
Fin de citation. Quant au Hâfidh as-Sakhâwî (qu’Allâh lui fasse miséricorde) il donne dans son ouvrage al-Qawl al-Badi` l’explication suivante : « ‘Salât’ dans ce hadith signifie ‘invocation’ (du`a) et dévotion régulière (wird), [il faut le prendre] dans le sens suivant : ‘Il y a un temps où je fais des invocations pour moi, quelle part dois-je te dédier ?’ Le Prophète (sallâ–L-lâhu `alayhi wa sallam) a considéré qu’il ne fallait pas imposer une limite sur ce sujet pour ne pas fermer la porte de la surabondance. Ainsi, il a continué à donner à Ubay (qu’Allâh l’agrée) le choix tout en l’orientant vers un surplus d’invocations jusqu’à ce qu’Ubay (qu’Allâh l’agrée) dise : ‘Je vais te dédier la totalité des mes prières.’ Ce qui veut dire : ‘je vais appeler la bénédiction en ta faveur plutôt que de demander quoique ce soit pour moi-même.’ Alors le Prophète (sallâ–L-lâhu `alayhi wa sallam) a dit : ‘Ainsi tu seras libéré de tout souci.’ ce qui veut dire : ‘ne t’inquiète plus pour ta Religion ou tes besoins mondains, car invoquer la bénédiction en ma faveur inclut à la fois le rappel d’Allâh et le fait d’honorer le Prophète ! (sallâ–L-lâhu `alayhi wa sallam)’ ; et le sens de cela est d’indiquer à Ubay (qu’Allâh l’agrée) qu’il invoque en fait pour lui-même, comme le confirme les propos du Prophète (sallâ–L-lâhu `alayhi wa sallam) rapportés de la part Son Seigneur : ‘Quiconque est empêché de me demander à cause de Mon rappel, Je lui accorde le meilleur de ce que J’accorde aux demandeurs.’ Sache donc que si la majorité de ton adoration consiste à appeler la bénédiction en faveur de ton Prophète (sallâ–L-lâhu `alayhi wa sallam), Allâh te suffira en ce qui concerne tes affaires de cette vie et de l’autre.’ » Il convient donc de multiplier cette noble invocation et de dire après chaque séance de prières sur le Prophète (sallâ–L-lâhu `alayhi wa sallam) ou d’autres dévotions régulières (awrâd):
«Hâdhihi hâdiyyatun bi-fadli-l-lâh minnî ilayka yâ Rasûlu-l-lâh sallâ-L-lâhu `alayka wa-sallam wa `alâ âlika wa ashabika ajma`îne »
(Voici un cadeau pour toi par la grâce d’Allâh de ma part, Ô Messager d’Allâh ! Qu’Allâh prie sur toi et te salue ainsi que sur ta Famille et tous tes Compagnons.)
Qu’Allâh (swt) nous compte parmi les proches du Prophète (sallâ–L-lâhu `alayhi wa sallam) dans cette vie avant l’autre, par son rang auprès de lui. Que la grâce et la paix soient sur lui, sa Famille et ses Compagnons autant que le mentionnent ceux qui se souviennent et autant que l’omettent les insouciants, d’une grâce et d’une paix aimées et agrées d’Allâh (subhânahu wa ta`ala).
Allâhumma âmin wa-l-hamdu lillâhi Rabbi-l-`âlamîn.
Wa ‘âhiru da’wâhum’anil’hamdul’lilâh rabbil’alamine ! ‘(Louange à Dieu, Seigneur des mondes !)
Commentaire de Ali Thiam (Thiès) (14/09/2008 16:59) :
Salamu'alaykum!
A tous une bonne rupture de jeûn !
Voici un site MP3 pour les salat alaa Nabiyy:www.ala7ebah.com
Je vous une meilleure écoute !
wa salam
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Commentaire de mouslim ( Anabad) (14/09/2008 17:05) :
Salamou aleykoum,
Wajhou dounyana de Samir Albachiri (Allahoumma salli wa sallim ala
sayyidina Mohammed wa ala Alihi wa sahbihi mè dhèkaraka Adhèkiroune)
http://audio.islamweb.net/audio/listenbox.php?audioid=137339&type=ram
quelques images qu'on voit en faisant la prière en groupe
malheureusement:
http://audio.islamweb.net/audio/listenbox.php?audioid=87940&type=ram
http://audio.islamweb.net/audio/index.php?page=nasheed3&sp=744
enfin le groupe Jordanien touyour Aljanna:
http://www.youtube.com/watch?v=jwEOM2XNsp0&mode=related&search=
salam
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Commentaire de Sami\'a(Fès) (14/09/2008 17:12) :
Salamou aleykoum,
Ya nabiy salam aleyka:
http://audio.islamweb.net
ya habibi ya rasoul Allah aleyka assalat wassalam ma taaqaba elleylou
wan'nahar Allahoumma salli wa sallim wa barik ala sayyidi al-khalki
wal moursaline Mohammadine ibni Abdillèhi wa ala Alihi wa sahbihi
ila yawmiddine.
jazaki allahou khayroune
salam
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Commentaire de Chahida (Islamabad) (14/09/2008 17:19) :
salamou aleykoum,
wa fiki baraka'Allah !
pour faire plaisir à tout le monde voici des sites à explorer :
http://www.islamway.com/SF/asra/flash/view_pic.php?pid=96&con=&cid=4
(http://www.islamway.com/SF/asra/flash/view_pic.php?pid=96&con=&cid=4)
http://www.islamway.com
iw_s=Flash&iw_a=view&id=121&cat=2&file_name=assafar_alakheer&width=500&high
t=400
bonne écoute!
Amine ya rab allah la yahrem moumen menha amiiinne !!!
salam
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Commentaire de Marouane(Casablanca) (15/09/2008 14:53) :
salamou'halaikom wr wb !
juste pour un petit rappel pour tout musulman : Je remercie l'auteur
de ce blog Momowally,par cette pière :
"allahi jazek wa ya'enek wa yazidokom 'ilmon 'ala 'ilm
wa yansor al mouslimin kolohom tibtom wa taba sa'yokom manzila"
et donc le rappel est qu'il faut toujours prier sur le
prophète(saw)car le prophète(saw) a dit: "tout musulman qui prie sur moi
une fois allah prie sur lui 10 fois et le prophète(saw) insistait sur le
vendredi entre "dohr" et après "asr" le vendredi alors prier sur le
prophete "Allahi barek fikom!" Faites comme les compagnons Tijâni en
demandant pardon à Allâh(swt)
soubhanahou wa ta'ala.Pour l'heure profitons de toutes les
minutes et secondes de ces jours sacrés du mois de ramadane pour apprendre
le "ilm" car le musulman n'est jamais fatigué quand il s'agit du
"ilm".
Alors profitons en !
Joyeux mois de Ramadan !
wa salam
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