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Taîba Niassène
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Taîba Niassène

VIP-Blog de momowally
bayy-99@hotmail.com

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  • Créé le : 25/06/2007 20:12
    Modifié : 18/01/2014 10:26

    Garçon (38 ans)
    Origine : Abidjan
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    Baye Malé ,le fou de Baye Niass

    22/11/2012 23:22

    Baye Malé ,le fou de Baye Niass


     

    Sallam !  Les véritables  Talibés Baye Niass sont plus chers que le mercure rouge.En voici,il se nomme Baye Mallé Thiam mais à cause de son attachement indéfectible  à Cheikh Ibrahima Niass(raa),on l'appelait le fou de Baye Niass

    Né le 1er juin 1903 à Kébé Walo, Oumar Mallé Thiam dit « Baye Mallé » fut le quarantième disciple de Cheikh Ibrahima Niass. Ces parents, Ibra Yacine et Fatou Touré sont originaires de Keur Tapha Alassane. Ils quittèrent le Fouta Toro depuis très longtemps pour s'installer dans le Saloum d'où ils créèrent ce village. Oumar Mallé Thiam, homonyme d'El hadji Oumar Foutiyou Tall, a œuvré durant toute son existence à la promotion de l'Islam
    et de la Fayda en particulier au côté de son marabout et guide Cheikh Ibrahima Niass.
    « Baye Mallé Thiam », comme l'appelait affectueusement ses proches, Mallé Thiam était l'un des grands soufis qu'a connu le monde. Il s'est éteint le samedi 9 septembre 1995 à Kaolack à son domicile et inhumé le même jour. Son Mausolée se trouve au Cimetière de Médina Baye.
    Sa rencontre avec Cheikh Ibrahima Niass se résume à : « Ana Nafsou Wal Afahou Ma Mara Aytahah Taranihi Wa Inni Koulou Min hinda Rabihi »
    Oumar Mallé Thiam faisait partie  des disciples qui ont le plus marqué l'histoire de la Fayda. Sa rencontre avec Cheikh Ibrahima Niass n'était pas fortuite et date de longtemps.
    Les deux hommes se sont rencontrés à Léona Niassène. A l'époque, ils étaient des enfants. Cheikh Ibrahima Niass vivait à Léona Niassène près de son vénéré père, en l'occurrence, El hadji Abdoulaye Niass « le grand ».Un jour, Babou Yacine (le frère de son père) a envoyé Baye Mallé chez son marabout El hadji Abdoulaye Niass à Léona Niassène. Il a donné 150 Ngourdi (la monnaie de l'époque) et 13 poulets plus une lettre à remettre à El hadji Abdoulaye Niass. A son arrivée à Léona Niassène, il remet l'argent, la lettre et douze poulets (l'un était mort en cours de route) à El hadji Abdoulaye en lui disant que c'est de la part de son père Babou Yacine. A son tour, El hadji Abdoulaye lit la lettre attentivement et appelle Cheikh Ibrahim Niass (petit à l'époque). Il lui dit : "répond la lettre de Babou Yacine". Cheikh Ibrahima Niass, sans savoir ce qui est mentionné sur la lettre de Babou Yacine, prend un papier et une plume et répond Babou Yacine. Quand El hadji Abdoulaye lui dit : 'merci, c'est la bonne réponse que je voulais entendre'. Tout ça n'a pas échappé les yeux de Baye Mallé Thiam qui se posa des questions dans la tête en disant : 'comment ce petit peut répondre à une lettre dont il n'a pas lu auparavant ?' Avant de repartir, Cheikh Ibrahima Niass appelle Baye Mallé et lui demande son nom. Il lui dit 'Mallé Thiam' et Cheikh Ibrahima Niass de poursuivre : 'je ne sais pas qui mais toi je suis ton Baye (père) '. Mallé Thiam se dit : 'celui là est bizarre. Je le connais même pas et il me dit qu'il est mon Baye (père)'. C'est de là que vient le Bayti « Ana Nafsou Wal Afahou Ma Mara Aytahah Taranihi Wa Inni Koulou Min hinda Rabihi »
    Mallé Thiam est le premier à appeler Cheikh Ibrahima Niass sous le nom de « Baye ». Cheikh Ibrahima avait rappelé Mallé Thiam qu'il allait l'envoyer le lendemain à Kaolack, à cette époque Cheikh Ibrahima était à Kossy. A 3 heures du matin, Mallé est allé passer le reste de la nuit devant la porte de Cheikh Ibrahima. A l'appel du muezzin pour la prière du matin, Cheikh Ibrahima qui sortait dans sa chambre pour rejoindre la mosquée, sentait une certaine force qui contrait sa porte. Réussissant à ouvrir la porte, il trouve Mallé Thiam couché et il dit : 'Cey Mallé sama dof bi, loy def fi wakhtou bi' (Mallé mon fou que fais tu ici à cette heure-ci ?). Mallé lui répond : ' « Baye », il n'est pas poli de faire attendre son marabout lorsqu'il a besoin de son disciple'. Mallé Thiam lui dit : 'je suis ici parce que tu m'as dit que tu allais m'envoyer à Kaolack'. Alors, le matin, tout le monde dit 'Mallé Thiam a encore parlé. Il a surnommé Cheikh Ibrahima « Baye »'. Ce fut un grand bruit à Kaolack, Kossy et dans tout le Saloum, pourtant, Cheikh Ibrahima n'est pas aussi âgé que Mallé. Quand on a dit à Cheikh Ibrahima, il a répondu que Mallé avait raison de l'appeler « Baye », car, il est le père de tous les mortels. 'Mallé est le premier à le comprendre', disait Cheikh Ibrahima Niass. Alors reviens le Bayti « Ana Nafsou Wal Afahou Ma Mara Aytaha Taranihi Wa Inni Koulou Min hinda Rabihi ». Baye Mallé affirma alors : 'Je ne suis pour rien, celui qui avait parlé à Moussa sous l'arbre qu'il n'y a rien que lui et que tout le monde sait que l'arbre n'a point de langue. C'est celui là qui est descendu sur Mallé Thiam pour qu'il puisse dire « Baye »'. C'est de cette façon qu'est né le nom « Baye » grâce à Mallé Thiam. Depuis sa disparition en 1995, l'héritage de Baye Mallé Thiam est assuré par son fils Djim Mallé Thiam ainsi que ses innombrables disciples dont Cheikh Baye Doudou Biteye, Cheikh Mansour Thiam, Cheikh Baye Hady Thiam entre autres. De nos jours, ils comptent des milliers et des milliers de disciples à travers le territoire national voire international. « Walay, Baye Niass amoul morom » (incontestablement, Baye Niass n'a pas d'égal ». –

    Quant à moi,pauvre esclave ému devant tant de manifestattions divines,je ne peux que remercier Baye de m'avoir accepter parmi ses disciples.Et je dis non seulement                       « Alhamdullilahi» mais DJEUIRUEDJEUFE BAYE!





     

     

    le jeune d' Achoura

    22/11/2012 22:13

    le jeune d' Achoura


     

    Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.

    Hadith ~ Jour d'Achoura (10ème jour de Mouharram)

    Ibn Abbas (raa) rapporte que le Messager de Dieu (saw) a jeûné le dixième jour de Mouharram et a ordonné de le jeûner". (unanimement reconnu authentique)

    Selon Abou Qatada (raa), le Messager de Dieu (BSDL) fut interrogé une fois sur le jeûne du dixième jour de Mouharram. Il dit: "Il fait absoudre les péchés de l'an passé". (Rapporté par Moslem)

    Selon Ibn Abbas (DAS), le Messager de Dieu (saw) a dit: "Si je suis encore en vie l'an prochain, je jeûnerai sûrement le neuvième jour de Mouharram". (Rapporté par Moslem)

    *Notes:
    1. Ces journées de jeûne de Achoura sont facultatifs mais encouragés et desirables (mustahabb).
    2. Cet année le jeûne du 9 Mouharram tombe le Vendredi 23 Novembre 2012, insha Allah.
    3. Cet année le jeûne du 10 Mouharram tombe le Samedi 24 Novembre 2012, insha Allah.

    Commentaire:

     

    10ème jour de  Muharram - Achoura. Dans un autre Hadith, il est dit que lorsque le Prophète (BSDL) a émigré de la Mecque à Médine, il vit que les Juifs jeûnaient ce jour-là. Il leur demanda pourquoi ils faisaient cela ce jour-là, et ils lui ont dit qu'ils l'ont fait pour la raison que Dieu a accordé le Prophète Moussa (Moïse) (paix soit sur lui) l'émancipation de Pharaon en ce jour, et ainsi ils ont observé le jeune en signe de leur joie. Sur ce, le Prophète (SAWS) a dit que dans ce bonheur du Prophète Moussa, les musulmans avaient un plus grand droit d'observer le jeune que les Juifs. Par conséquent, le Prophète (SAWS) a également observé le jeune ce 10 de Muharram. Puis, il a dit que s'il restait en vie l'année suivante, il observerait le jeune le 9 du mois de Muharram aussi pour que les Musulmans se  différencient des Juifs. Selon un autre hadith, le Prophète (saw) ordonna aux musulmans d'observer le jeune de l'Achoura et en plus encore  jeuner le 9 ou le 11 du mois de Muharram en opposition aux Juifs. (Musnad Ahmad, Vol.4, P-21, édité par Ahmad Shakir, et Mujamma As-Zawaid, Vol.3, P-188). Ainsi, le respect de deux jeunes à cette occasion est une Sunnah du Prophète (SAWS). Ces deux jeunes peuvent être respectées, soit les 9 et 10 ou 10 et le 11 du mois de Muharram. Il est regrettable en effet que les musulmans d'aujourd'hui ne suivent pas cette Sunnah du Prophète (SAWS) et certains observent à la place les pratiques sans fondement des assemblées de deuil.

    Riyad as-Salihin (Les Jardins des vertueux)
    de l'Imam Mohieddine Annawawi 631 - 676
    Traduction et Commentaire du Dr Salaheddine Keshrid (Tunisie)
    Éditeur: Dar Al-Gharb Al-Islami
    Hadith 1: Chapitre 111, Page 368, Numéro 1249
    Hadith 2: Chapitre 111, Page 368, Numéro 1250
    Hadith 3: Chapitre 111, Page 368, Numéro 1251





     

     

    6eme lettre de Cheikh Baye

    22/11/2012 21:43

    6eme lettre de Cheikh Baye


     

    Djawaahiru rassaa il (les lettres dorées)
    Chapitre premier : les recommandations … lettre 6

    Au nom d’Allah le Miséricordieux, le tout Miséricordieux.
    Paix et salut sur notre seigneur Mouhammad, le guide vers le droit chemin d’ALLAH.
    Louanges à Dieu qui a dit dans son livre que le faux n’atteint ni par devant ni par derrière ce livre qui est la corde solide d’Allah, Sa guidance manifeste ; tout ce qui s’en écarte n’est que pure ignorance. Dieu l’a descendu en tant que miséricorde pour toutes les créatures antérieures et postérieures.

    «Que ce soit, parmi vous, une communauté qui appelle au bien, ordonne le convenable et interdit le blâmable. Car les voilà les gagnants. » S 3 v104.                                                                            « Il n’y a rien de bon dans la plus grande partie de leur conversation secrète… » S4 v114.            « Pourquoi rabbins et docteurs ne les empêchent-ils pas de parler en péché et de manger des gains illicites. Comment est donc mauvais ce qu’ils œuvrent ! ». S5 v63.

    Paix et salut sur le Prophète qui dirige, qui est bien guidé et qui a affirmé que « nous, les prophètes, nous nous adressons aux hommes en fonction de leur niveau de compréhension » ; et qui a encore dit : « Dites aux gens ce qu’ils sont capables de comprendre. Voulez-vous qu’on renie Dieu et son Prophète ? »

    Que l’agrément d’Allah soit sur Cheikh Tidjâne, le summum de la sainteté, qui soutient que   « quiconque se permet de dire du n’importe quoi ou de divulguer les secrets sans autorisation sera exclu et maudit». Que Dieu nous garde du libertinage et de la sous-estimation de Ses limites sacrées.
    Ceci dit, de la part du serviteur, de l’indigent, du faible, de l’ignorant d’Allah et conscient de son ignorance, de son incapacité de cerner l’ultime essence (d’Allah) du fait de Sa puissance et de Sa majesté… Cheikh Ibrahim, fils d’Abdallah Tidjâni… à l’adresse de tous les frères tidjânes, où qu’ils puissent se trouver, surtout ceux qui ont humé l’odeur de la Haqîqâ (la réalité divine) plus particulièrement ceux de Taïba-mbittène ; que Dieu les garde et les protège ! Paix et salut sur vous !

    L’objet de cette missive est de vous recommander, ainsi qu’à moi-même, la crainte révérencielle dans l’apparent comme dans le caché, de vous exhorter à vous préoccuper d’Allah en rejetant tout ce qui est en dehors de Lui par le cœur et par le corps, à respecter les obligations édictées par Allah, et à ne jamais violer les droits du Seigneur.

    Dieu est si Haut que le serviteur ne doit violer son droit, surtout l’accomplissement des cinq prières ; en respectant leurs conditions et leurs heures prescrites en groupe, de même que les wirds immanquables de la târîqâ (lâzim, wazîfa et asrou ou zikr du vendredi soir), notamment, la wazîfa dont l’exécution en groupe est indispensable.

    La faire quand on est seul alors qu’il y a possibilité de l’accomplir en groupe est insuffisant car c’est par la pratique de la wazîfa que l’on reconnaît le Tidjâne ; quiconque ne se conforme pas aux exigences susnommées n’est pas un vrai Tidjâne, de ce fait il n’a pas senti l’effluve de la nécessité d’aller vers Allah (faqru) et la senteur du soufisme.

    Je recommande à toute personne qui a senti l’odeur du monothéisme pur (tawhîd khaaç) d’avoir l’habitude de se taire et de s’écarter des lieux publics qui ne se forment nullement pour suivre Dieu, à fortiori parler de l’Unicité d’Allah et dévoiler les secrets en leur présence !
    Sachez que divulguer les secrets du Seigneur en présence des non-initiés (voilés) est plus abject devant Dieu. «En effet, vous avez dans le messager d’Allah un excellent modèle à suivre pour quiconque espère en Allah et au jour dernier et qui invoque Allah fréquemment» S 33v 21 , ainsi qu’à votre maitre Cheikh Tidjâne qui, la plus part du temps, gardait les secrets , et il avait l’habitude de répéter : « le secret est en moi , comme dans une chambre qui a une serrure ; les clefs sont perdues alors que la porte est verrouillée ; seul un homme digne de confiance garde le secret tandis que les indignes le divulguent.»

    En outre, Cheikh disait que « les poitrines des nobles sont les tombeaux des secrets » ; en ce sens, l’humble serviteur que je suis vous sert de modèle, car je détiens cette science depuis très longtemps et personne n’a perçu en moi le moindre indice pouvant lui révéler que je dispose d’un savoir me distinguant de mes pairs, de mes voisins et, ce, jusqu’à ce que la volonté divine se fût manifestée. Je l’en remercie et lui en rends grâce.
    Nous sommes des responsables qui n’ont pas peur d’être critiqués ; ce qui est considérable chez nous c’est de dissimuler les stations (degrés spirituels) et de nous abstenir de faire des miracles ; que chacun cultive son jardin ; nous ne prétendons à aucun don ni à aucune particularité ; nous ne nous soucions ni de l’extraordinaire ni du dévoilement des mystères de la créature, ce qui peut être assimilé à des « menstrues » chez les hommes de Dieu.

    Ce qui nous intéresse c’est le Kashfu Nurâni (dévoilement lumineux des mystères de la présence divine) et non le kashfu Zulmân (dévoilement ténébreux des mystères de la créature). Nos signes sont dans nos cœurs et ceux des autres dans les horizons, parce que nous sommes des héritiers mohammadiens ; et l’héritier mohammadien, ses signes sont dans son cœur ; il évolue en connaissance et en état spirituel à chaque souffle, comme on y a fait allusion dans le Coran : « Nous leur montrerons Nos signes à tous les horizons, tout comme dans leurs propres personnes, jusqu’à ce qu’il devienne évident que, oui, c’est Lui la vérité.(s 41 v53)

    Sachez que je me démarque de tout Madjzub (submergé) qui n’a pas repris le voyage spirituel. Se permettre de parler avant l’autorisation divine est source de malheur ; cela prouve que celui qui a cette attitude est un fabulateur aux prétentions mensongères.

    Soit le serviteur ne voit que Dieu, auquel cas il n’a ni parole (à prononcer) ni remarque (à faire) du fait de son extinction (fanaa) ; ou bien il voit la créature alors il est (mukallaf) responsable du point de vue de la chari’a.

    En dehors de ces deux cas précis, c’est du faux (baatil) quand bien même l’auteur le prendrait pour un secret divin « bâtin » ; le caché ne sera jamais l’apparent.

    Ils (les soufis) ont dit que : « ils ne feront plus jamais confiance à quiconque aura divulgué le secret qu’ils lui ont confié et, ce, aussi longtemps que ce dernier vivra ». Tout «madjzub» qui pérore ne bénéficiera d’aucune évolution de ma part, parce que je ne le soutiens pas dans la désobéissance à l’égard d’Allah.

    Tirez leçon de certains de vos devanciers, celui à qui j’avais interdit de parler après que je l’eus initié. Suivant la passion, il s’est entêté et j’ai interrompu sa connexion (madad); il ne s’en sert plus et tous ceux qui l’écoutent subissent le même sort. Partout où ils se trouvent, ils affichent le profil le plus bas et leur station est au rabais dans l’apparent comme dans le caché.

    Le bienheureux, c’est celui qui tire leçon des erreurs de son prochain. Vouloir s’exhiber empêche de paraître. Moi je remercie Dieu ; je suis le serviteur de la présence divine en dehors de laquelle je ne me suis asservi à rien.

    Nous ne voulons de vous ni récompense ni gratitude ; ma rétribution est que vous soyez pour et par Allah et de ne jamais suivre la passion ; parler avant l’autorisation est une forme de passion. L’âme sensuelle est horrible : «…Repentez-vous à votre Créateur ; puis, donnez-vous la mort à vous-mêmes ; ce serait mieux, pour vous, auprès de votre Créateur » ! S 2 v54

    Je prie Dieu de guider nos cœurs vers la plus parfaite connaissance divine et qu’Il soit notre protecteur et allié, Lui qui protège les vertueux.

    Was salaam


    Lettre rédigée sous la dictée de Cheikh Ibrahim fils d’El Hadj Abdallâh Tidjâni à Kôssi 1349h



    Taîba NiassèneCommentaire de momowally (27/11/2012 23:11) :

    Omar Ibn Al-Khattab qu'Allah l'agrée a dit : « [...] Lorsque vous verrez l’un de vos frères trébucher, redonnez-lui force et confiance, tout en invoquant Allah pour qu’Il le guide vers le repentir.Ne soyez en aucun cas les adjoints du diable contre lui !Qu'Allah(swt) ns éclaire d'avantage » (Rapporté par Al-Hâfidh Ibn Nu’aym)

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    Baye, l'éternel !

    14/06/2012 19:12

    Baye, l'éternel !


    FI ZAMANI WA MAKANI  FI MAKANI WA ZAMANI

    wa zamani fi makani !





     

     

    Il faut apprendre à dire du bien des autres

    14/06/2012 19:02

    Il faut apprendre à dire du bien des autres


    Ennemi de Cheikh Ibrahîm
    ou
    Quand on veut déniger Baye

    L'Islam recommande de dire du bien des autres, à fortiori des musulmans et de leurs guides. De plus, tenir des propos incorrects sur Cheikh Ibrahîm, ne saurait passer inapperçu puisque ses disciples sont partout, surtout là où vous ne pensez pas en trouver.
    Un chef religieux, d'une grande famille tijâne l'a appris à ses dépends.              En effet, il... était membre de la commission d'accueil d'une conférence tenue à Tripoli( Libye).Et, Cheikh Moustapha Ibrahim du Ghana, disciple de Cheikh Ibrahim, était aussi dans la commission. Notre cheikh du Sénégal commença à parler.         Il disait en substance :
    "Je vais t'inviter au Sénégal, tu verras que mon grand-père est le chef des sheikh du Sénégal."
    Sheikh Moustapha lui dit :
    "Sais-tu que je suis disciple de Cheikh Ibrahima Niass?"
    Notre marabout répondit :
    "Vous savez, son père était presque un disciple de mon grand-père. Il venait chercher de la baraka auprès de lui".
    Moustapha rétorqua :
    "Mais comment est-possible? Pourquoi ne le connaissons-nous pas? Tout le monde, dans tous pays, sait que Cheikh Ibrahîma Niass est le qutb ! "
    Il répondit :
    "Il en est ainsi car Cheikh Ibrahîma Niass faisait de la politique !".

    Voilà comment un homme religieux juge Baye, un homme qui a donné sa vie, pour propager la science partout. Regarder la carte du Ghana. Voyez la différence entre Accra et Tamalé. Baye n'hésita pas à faire le trajet sur invitation de l'Emir de Yendî. Des foules de gens foudroyés par la lumière de Baye, se sont rués vers lui à Tamalé et ont falli le piétiner. Il fit un discours à Yendî. Ce jour-là, quatre mille personnes ont embrassé la religion. Regardez aussi la carte du Niger et estimez le trajet entre Niamey et Zinder. Vers 1951, les moyens de transport étaient dérisoires et peu confortables. Imaginez la fatigue de celui qui veut faire ces trajets : Accra, Kumasi (train) tamalé (avion), Yendî (voiture), Kusmasi, Accra, Niamey, Zinder, Kano, etc..

    Ces gens-là que Baye a accomplis, en tant que savants et musulmans, et leurs disciples, sont des dizaines de millions. Pourtant, ni Baye et sa famille ne roulent sur l'or. Baye n'a pas fondé un royaume dans lequel les membres envoient au chef une tribu ou une dîme. Il les a formés et envoyé former leurs concitoyens et leurs semblables.

    Si la politique signifie cela, tous les homme de religion doivent en faire, car c'est ce qu'on attend d'eux : former les gens pour mieux adorer Allah.

    Source : Moustapha Ibrahîm, Accra, 3/10/07




     

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