|
[ Photos ] [ Soufisme-citations ] [ DIWAN ] [ Questions à la Tijaniyya ] [ Informatique ] [ Rappels&Sagesses ] [ Fiqh-Jurisprudence ] [ Al-Hissane ] [ hadiths ]
|
|
|
|
Le Saint Qur'ane
06/05/2008 19:21
« Quand on vit pour vivre On vit pour rien !
MANGER,DORMIR ! Il y a dans un livre, un but Un chemin, un rappel ! Pour l'homme doué de conscience,d'intelligence ! Des versets qui donnent à la vie un sens C'est le Saint Coran ! Lumière et beauté Un guide excellent Pour l'humanité Beaucoup de sagesse éclairant l'esprit De ceux qui la délaissent des erreurs commises. Message d'amour et de paix ! Il est pour toujours le meilleur remède Il guérit les coeurs, parfume les âmes Promet le bonheur à celui qui suit l'ISLAM ! Bonheur éternel en ouvrant les yeux La vie est plus belle sur la voie d'ALLAH...».
|
|
|
|
|
|
|
|
|
L'Amour !
26/04/2008 17:23
Assalam alaykoum wa rahmatoullah wa barakatouh,voici des poèmes soumis
à votre attention,ils sont pleins de sagesse et d'enseignements,pour tout Talibé Baye !
je vous souhaite une totale concentration pour une meilleure reflexion et analyse !
«Tu es mon repos...
Mon repos, Ô frères, est dans ma solitude, Mon aimé est toujours en ma présence.
Rien ne peut remplacer l'amour que j'ai pour Lui, Mon amour est mon supplice parmi les créatures.
Partout où j'ai contemplé Sa beauté, Il a été mon «mihrâb» et ma «qibla.»
Si je meurs de cet amour ardent et s'Il n'est pas satisfait, Oh ! Cette peine aura été mon malheur en ce monde !
Médecin du coeur, Toi qui es tout mon désir, Donne-moi une vision qui guérisse mon âme.
Ôh ! ma joie ! Ô ma vie pour toujours ! En Toi mon origine, en Toi mon ivresse.
J'ai abandonné entièrement le créé dans l'espoir Que Tu m'unisses à Toi. Car tel est mon ultime désir !»
*******************
«Comment je t'aime
De deux amours je T'aime :
L'un tout entier d'amour Et l'autre parce que Tu es digne d'être aimé.
Le premier, c'est le souci de me souvenir de Toi, De me dépouiller de ce qui est autre que Toi.
Le second, c'est l'enlèvement de Tes voiles Afin que je Te voie.
Que je ne sois ni pour l'un ni pour l'autre louée Mais louanges à Toi pour l'un et pour l'autre !»
(Rabi'a Al Adawiya)
wa salam
|
|
|
|
|
|
|
|
|
LE CHANT DE L'ILLUMINATION
19/04/2008 18:37
LE CHANT DE L'ILLUMINATION
« Les voiles tombèrent
Lorsque mon Bien-Aimé‚ apparut.
Ô vous qui En êtes les amoureux,
Ce moment-ci, c'est celui de la Vision !
C'est celui de l'Eveil !
Quiconque désire prendre part
A notre secret caché
Qu'il s'approche et qu'il apprenne !
Des sciences lui apparaîtront,
Quel excellent breuvage !
La chanson y appelle :
Ô vous qui En êtes les amoureux,
Ce moment-ci, c'est celui de la Vision !
C'est celui de l'Eveil !
C'est par ce vin subtil que ceux
Doués de discernement prirent conscience,
Cette boisson …à laquelle ils ont goûté !
Qui la détient en a rempli les coupes,
De cette boisson antique et savoureuse
Qui plonge l'amoureux dans le ravissement ?
Ô vous qui En êtes les amoureux,
Ce moment-ci, c'est celui de la Vision,
C'est celui de l'Eveil !
Le Maître de ce Vin a versé à la ronde,
Parmi le Peuple de l'ivresse ;
Et les voiles s'en sont trouvés déchirés.
Mais celui qui est voilé " Que pourrait-il en comprendre ?
Le malheureux ! que de peines il m'a données
Ce qu'il en est, il ne sait pas !
Ô vous qui En êtes les amoureux,
Ce moment-ci, c'est celui de la Vision !
C'est celui de l'Eveil ! »
|
|
|
|
|
|
|
|
|
L'AMOUR M'A RENDU ESCLAVE !
19/04/2008 18:26
Sujet de méditation :
« Deux contraires qui ne peuvent se rencontrer:
«Si tu es, Il n'est pas !
s'Il est, tu n'es pas !
Délaisse ton existence et tu seras appelé ! »
« Si tu désires tuer celui qui t'opprime,
alors tue ton ego (nafs), car en le tuant,
tu tueras tous les oppresseurs.»
L'AMOUR M'A RENDU ESCLAVE !
« L'Amour m'a rendu esclave de la beauté de Layla !
Et le cœur dans la folie d'amour avec la belle !
Et mes larmes qui sans cesse répandues ont ravivé mon visage.
Ces traits qui, d'elle m'ont blessé et m'ont rendu malade.
Aucun but ! aucune tendresse ! Mais quant à moi je ne m'incline devant personne ! Et dans le monde elle n'a nul qui me ressemble.
Elle m'a dit:« jeune homme Doucement! Viens...»
« Approche-toi de moi avec respect et guéris ta soif ardente ! »
Ces propos ont augmenté ma confusion.
Et n'eu été le verre de vin (spirituel) qui permit la jonction...
Et j'ai compris ses paroles j'en ai eu l'intelligence.
Par une allusion, par un sourire, sans avoir besoin d'une preuve.
Nous fîmes en plein profit et nous sommes restés tous deux
Entre la lucidité et l'ivresse pendant un long moment
J'ai maintenu le voile qui cachait mon intime
De crainte que l'indigne ne s'approche avec son fiel
J'ai dit : « Sur Toi la Paix et sur l'ensemble de ces nobles
Qui m'ont permis ce lien beni! » Toi qui es la paix D'une bénédiction de beauté,
Celui qui est un flambeau dans les ténèbres :
Taha, notre garant ! »
|
|
|
|
|
|
|
|
|
LE MENEUR DE GENS ( HADYA ALQAWNI BILLAHI YA HADI)
19/04/2008 18:01
LE MENEUR DE GENS !
( HADYA ALQAWNI BILLAHI YA HADI)
Traduit par Sidi Abubakr Sirra Juddin (Martin Lings)
"Un Saint Soufi du XXè siècle"
« Ô toi, meneur de Gens !
ramène-nous au bercail, en chantant ! Et daigne, au nom de Dieu, laisser tomber sur moi Ton regard !
si de Ta voix tu lances un trait :
Il frappera de vigilantes oreilles et percera mon cœur.
Ceux qui m'entourent ne savent pas ce qu'est l'Amour.
M'en voyant atteint, ils s'écrieraient :
« ces malheureux sont fous ! »
Si c'est folie d'aimer CELUI pour qui je brûle,
De cette dévorante maladie Dieu veuille ne point me guérir !
Si le négateur prêtait l'oreille à mes paroles,
Loin de détourner de mon enseignement, Il voudrait devenir mon disciple.
Demande-leur, le jour où les visages s'humilient
Devant le Vivant éternel, s'il étaient avec moi.
C'est un jour pareil à celui de « ne suis-je pas votre Seigneur ? »
Alors, j'ai répondu : « oui ! » et je n'ai cessé de dire :
« Seigneur, je suis à Ton service ! »
J'ai répondu à l'appel de l'appelant de Dieu.
A cet appelant ne répondrez-vous pas, ô mes amis ?
Sur moi la faveur accordée, détournez-vous de ceux qui en médisent.
A qui veut connaître le rang de ceux qui aiment,
Voici ma réponse, elle guérira touts les doutes :
De ceux qui à Badr combattirent jadis
Nous sommes les égaux : ce qui est nôtre est leur,
ce qui est leur est nôtre.»
|
|
|
|
|
|