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LE PANIER DE CHARBON
10/04/2008 16:26
Salam aleykom wa rahmatoullâhi ta'ala wa barakatouhou ,chers(es) frères et soeurs
Voici une Histoire pleine d'enseignements et de sagesse.
LE PANIER DE CHARBON:
Pourquoi lisons-nous le Qour'ane, même si nous ne comprenons pas un seul mot en arabe???
Lisez cette belle histoire.
«Un viel homme,très pieux et musulman habitait une ferme dans les montagnes du Kentucky (Etats-Unis) avec son petit-fils. Chaque matin le Grand-père s'asseyait à la table de la cuisine pour lire son Qour'ane. Son petit-fils voulait être juste comme lui et essayait de l'imiter de toutes les façons qu'il le pouvait.
Un jour le petit-fils demanda : « Pépé ! J'essaie de lire le Qour'ane juste comme toi mais je ne le comprends pas, et ce que je comprends je l'oublie aussitôt que je ferme le Qour'ane. A quoi ça sert de le lire ? »
Le Grand-père s'arrêta silencieusement de mettre du charbon dans le four et répondit : « Prend ce panier de charbon et amène moi un panier d'eau de la rivière ! ».
Le garçon fit comme il lui a été dit, mais toute l'eau coula avant son retour à la maison. Le grand-père rit et dit : «Tu devras aller un peu plus vite la prochaine fois ! » et il le renvoya à la rivière avec le panier pour ressayer de ramener de l'eau dans le panier. Cette fois le garçon couru rapidement, mais une fois encore le panier était vide avant qu'il n'atteigne la maison. Fatigué, il dit à son grand-père que c'est impossible de porter de l'eau dans un panier et il alla chercher un seau.
Le vieil homme lui dit : « je ne veux pas un seau d'eau mais un panier d'eau ! Tu ne vas pas assez vite,mon garçon !» et il sortit pour regarder le garçon essayer encore une fois.
A ce moment, le garçon su que c'était impossible, mais il voulait montrer à son grand-père que même en courrant aussi vite qu'il le pouvait, l'eau s'écoulera avant qu'il ne soit retourné à la maison.
Le garçon plongea le panier dans la rivière et couru très vite, mais quand il atteignit son grand-père le panier était encore vide. Essoufflé, il dit : « Tu vois Pépé, c'est inutile ! »
« Donc, tu penses que c'est inutile ! »
Le vieil homme dit : « Regarde le panier ! »
Le garçon regarda le panier et pour la première fois il se rendit compte que le panier était différent. Il s'est transformé d'un vieux panier de charbon sale en un panier propre, à l'intérieure comme à l'extérieure.»
« Mon fils, c'est ce qui se passe quand tu lis le Qour'ane. Tu ne peux pas comprendre ou bien te rappeler de tout , mais quand tu le lis, tu changes ton intérieure et ton extérieure. C'est le travail d'Allah(swt) dans notre vie ! ».
Baraka Allahou fik ! Jazakallâhu khayrane !
wa salam aleykom.
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Mouadh Ibn Jabal (raa)demanda au Prophète( saw) : « Ô Envoyé de Dieu serons-nous jugés pour nos paroles ? » Et le Prophète(saw) lui répondit : « ô ibn Jabal ! C'est la moisson de la langue qui le plus souvent jette les gens dans l'Enfer »
Rapporté par Tirmidhi & Ibn Majja.
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La théologie de la libération du cheikh Hamahoullah
09/04/2008 20:38
(Ci-dessus la Photo de Cheikh Yacouba Sylla (raa) disciple de cheikh Hamahoullah (raa) )
La théologie de la libération du cheikh Hamahoullah
Par Mohamed Tahar Bensaada «Durant la longue nuit coloniale, l’Islam subsaharien, notamment en Afrique de l’Ouest, a connu l’éclosion de courants théologico-mystiques qui ont eu comme particularité d’unir quête spirituelle et engagement politique anti-colonialiste. En effet, la théologie de la libération en contexte musulman a connu plusieurs expressions historiques. L’opposition artificielle introduite par certains interprètes entre théologie rationnelle ou dogmatique et expérience mystique n’est pas toujours historiquement pertinente comme l’illustre l’histoire contemporaine de l’Islam subsaharien.
A un moment où certains pouvoirs en place, aussi bien au nord qu’au sud de la Méditerranée, cherchent à instrumentaliser les confréries soufies dans leur stratégie de contrôle social et politique en vue de contre-carrer ce qui leur paraît comme le danger du moment, à savoir le « fondamentalisme » radical, il est important de se pencher sur l’expérience d’un grand soufi africain qui a su allier foi et résistance anti-coloniale. Il s’agit du cheikh Hamahoullah qui a marqué de nombreuses générations dans sept pays différents : Mauritanie, Mali, Niger, Sénégal, Cote d’Ivoire. Guinée, Burkina-Faso, et auquel l’historien africain, Alioune Traoré, a consacré une thèse remarquable (1).
C’est en 1902, que le jeune Ahmedou Hamahoullah fut initié à la tariqa (voie) tijaniyya par le cheikh Sidi Mohammed Lakhdar qui fut lui-même chargé de la mission d’étendre la tariqa en Afrique de l’Ouest par le cheikh Sidi Tahar de Tlemcen. Ce dernier était un des proches compagnons du fondateur de la confrérie. La tariqa fut fondée par le cheikh Ahmed Tijânî(radiyallâhu ta'ala ane-hu) (1738-1815) en 1781 à Ain Madhi, près de Laghouat dans le sud algérien. Son opposition au régime des beys revêtait un double caractère social et religieux. Le régime ottoman ne ménagea guère la confrérie naissante dans laquelle il vit une redoutable opposition qu’il n’hésita pas à réduire à une sorte de « nationalisme arabo-berbère ». Cela explique l’alliance conjoncturelle du cheikh Ahmed Tijâni(raa) avec la dynastie alaouite connue pour sa vieille opposition à la domination ottomane et son départ pour Fès qui deviendra le centre de redéploiement de la confrérie en direction du Maghreb et de l’Afrique de l’Ouest.
Outre l’arabe classique, le cheikh Hamahoullah parlait le hassaniya, le bambara, le soninké, le peul et l’azer (une langue dérivée du soninké et du berbère), ce qui illustre la forte insertion sociale de sa mission historique. L’importance et la diversité des ouvrages de sa bibliothèque confisquée par les autorités coloniales en juin 1941, au moment de son internement administratif, dénotent une grande culture. Les archives mentionnent en effet deux tonnes cinq cent de livres et de manuscrits retirés de la maison du cheikh. Les ouvrages avaient trait aussi bien à la grammaire arabe qu’à l’histoire, au droit et à la mystique.
La zaouia tijaniyya était divisée entre une tendance « onze grains » et une tendance « douze grains ». La première récitait onze fois la prière « jawharatu el kamal » alors que la seconde la récitait douze fois. Cette différence aurait été sans importance si un facteur d’ordre politique n’était pas venu bouleverser la donne. Dans le cadre de sa guerre de résistance aux envahisseurs français, l’Emir Abdelkader avait sollicité, en 1832, le soutien de Cheikh Mohammed Tijâni(raa), le chef de la zaouia tijaniyya de Ain Madi. Mais celui-ci se rétracta sous prétexte que sa zaouia ne s’occupait que des questions célestes ! L’Emir marcha sur Ain Madi en juin 1838 et le chef de la zaouia dut fuir au Maroc. En 1840, la zaouia de Ain Madi apporta son soutien au maréchal Valée contre l’Emir Abdelkader. La zaouia de Temassin fit de même. Par contre, la zaouia tijaniyya de Tlemcen sous la direction de Cheikh Tahar apporta son soutien à l’Emir Abdelkader et proclama le djihad contre l’occupant français.
Comme la zaouia de Tlemcen soutenait un tijanisme à onze « jawharatu el kamal » alors que celles de Ain Madi et de Temassin un tidjanisme à douze « jawharatu el kamali », le colonialisme n’hésita pas à faire une lecture politique de cette différence rituelle minime. Il se fait que le jeune cheikh Hamahoullah était plutôt partisan de la voie « onze grains », ce qui le rendit dés le début suspect aux yeux de l’administration coloniale et de ses larbins parmi les marabouts locaux. C’est ce qui explique que la plupart des spécialistes de l’ethnologie coloniale, à l’instar de L.Albert, J.Vieroz, H.Deschamps, qui travaillaient souvent en coopération étroite avec l’administration française, n’ont pas lésiné sur les qualificatifs pour désigner la tendance du cheikh Hamahoullah : « Tijanisme différencié », « Tijanisme à caractère subversif » ou encore « secte dissidente de la Tijaniyya » !
Comme partout en Afrique, le colonialisme n’hésita pas à utiliser et à raviver les divergences tribales pour diviser le mouvement soufi naissant. Mais ces manœuvres n’ont pas réussi à empêcher le triomphe de la tendance du cheikh Hamahoullah qui est devenu le véhicule principal de la Tijanyyia dans la région de l’Afrique de l’Ouest. C’est grâce à sa pénétration dans les milieux soninkés (qui étaient généralement colporteurs et marchands) et maures (qui étaient nomades) que la confrérie s’est développée dans la région.. Dans les années 1930, la confrérie avait des dizaines de milliers d’adeptes dans l’ensemble de la région : Mauritanie, Niger, Mali, Sénégal, Cote d’Ivoire, Guinée, Haute-Volta (Burkina Faso) .L’adhésion d’une personnalité comme Thierno Bokar au mouvement du cheikh Hamahoullah illustre l’influence religieuse, morale et sociale de ce dernier.
Dès le début de sa mission, l’attitude du cheikh Hamahoullah, appelé par les Français le cheikh Hamallah, devait attirer la méfiance du colonisateur. Un rapport de l’inspecteur des affaires administratives, daté du 3 décembre 1917, le décrivait ainsi : « J’ai vu Chérif Hamallah. Il m’a paru très concentré, peu désireux d’être connu de nous. Il parle très peu, bien qu’il écoute avec une grande attention ce qu’on lui dit. A l’inverse de ses collègues, il n’est pas prodigue de déclarations de loyalisme. Je lui ai parlé de la France, puissance musulmane protectrice de l’Islam, sans réussir à le faire sortir de son mutisme. Une allusion au grand Chérif de La Mecque, allié de la France dans la Grande Guerre, m’a paru lui être plutôt désagréable. Au total, l’impression n’est pas favorable. Personnage fermé, sur la réserve, qui paraît être en contemplation intérieure ou sous l’emprise d’une idée fixe. On croirait qu’il est au stade pathologique qui précède ou accompagne le mysticisme. A surveiller de très près quoique avec discrétion » (2).
Comme tous les mystiques, le cheikh Hamahoullah voulait se consacrer à sa retraite spirituelle mais son influence sociale ne pouvait laisser le colonisateur indifférent. Soit il était apprivoisé par le système colonial comme cela se produisit pour de nombreux marabouts de la région, soit il devenait un opposant de fait à ce système. Paradoxalement, c’est sa spiritualité profonde et sincère qui va conduire le cheikh Hamahoullah à prendre une position claire et franche contre le système colonial.
Comme le fait remarquer son biographe Alioune Traoré : « En vérité, Cheikh Hamahoullah voulait vivre dans la prière et le recueillement, loin des contingences terrestres. Rien d’autre ne l’intéressait. Pour lui, le pouvoir colonial n’était qu’un épiphénomène venu se greffer au-dessus de la société musulmane. Selon lui, il y avait en réalité un seul Pouvoir, le vrai, celui d’Allah, et une seule loi, la shari’a, qui découle de la Parole de Dieu, le Coran. Il ne pouvait avoir de dialogue authentique avec des hommes qui ne reconnaissaient pas dans le Coran une manifestation divine, la source de la loi et un code de vie à respecter » (3).
L’opposition politique du cheikh Hamahoullah au système colonial était directement inspirée de ses méditations théologiques et de la lecture de certains versets coraniques comme le verset 114 de la Sourate III ( al-Imarane) qui appelle les Musulmans à ne pas faire d’alliances avec les non-Musulmans. Mais sa lecture du Coran allait plus loin. La reconnaissance de la souveraineté de Dieu ne le conduisait pas seulement à rejeter le pouvoir inique du colonisateur français mais aussi le pouvoir féodal des notables de la région qui cherchaient à légitimer leurs privilèges par le recours à une conception rétrograde de la religion musulmane. C’est de ce point de vue qu’on peut parler à propos de l’œuvre et de la mission du cheikh Hamahoullah d’une théologie de la libération puisque l’interprétation du Coran et de la Sunna est mise directement au service des nobles idéaux de justice et d’égalité dans la droite ligne de la tradition musulmane qui fait de la commanderie du Bien et de l’interdiction du Mal son fondement éthico-politique.
Ce rapport dynamique entre théologie et politique dans la pensée du cheikh Hamahoullah constitue sa principale originalité. Comme le relève son biographe : « Selon les témoignages recueillis au Hodh, c’est dans le Coran que le Cheikh Hamahoullah cherchait la réponse aux défis que lançait la colonisation à l’Islam. C’est dans les sourates qu’il tirait l’essentiel de ce qu’on pourrait appeler aujourd’hui sa pensée politique ...Il suffit de réfléchir au message coranique qui servait de référence à Cheikh Hamahoullah dans son comportement de tous les jours pour comprendre que ses relations ne pouvaient être des meilleures avec l’administration coloniale. De même le cheikh réduisait au minimum les contacts que les chefs de tribus et tous ceux qui détenaient un pouvoir quelconque dans la société, souhaitaient établir avec lui. Du reste, il les recevait en tant que fidèles et non en tant que notables. Lui-même ne s’était jamais comporté en dignitaire » (4).
Comme souvent dans des situations similaires, ce sont les marabouts jaloux de l’influence grandissante du cheikh qui alertèrent l’administration coloniale en essayant de la faire passer pour un dangereux « nationaliste musulman », ce qui était au départ exagéré. La stupidité et le mépris des administrateurs coloniaux ont fini par radicaliser un cheikh soufi qui était au début plutôt réservé à l’égard du système colonial pour des raisons théologiques. Cependant, le cheikh n’alla jamais jusqu’à proclamer l’insurrection armée contre le colonisateur, pensant sans doute que pareille solution était sans issue, étant donné le rapport des forces militaires en faveur du système colonial.
Mais même si le cheikh n’est pas allé jusqu’à choisir l’option de la résistance armée, la mobilisation sociale et politique, à laquelle sa persécution par les autorités coloniales a donné lieu, a permis la cristallisation d’un mouvement de résistance anti-coloniale dans lequel se mêlaient indissolublement le caractère national et le caractère religieux. En effet, dans ce mouvement, tous les aspects pacifique de la résistance anti-coloniale ont été mis à profit par le mouvement dit « hamalliste » : boycott de l’école française, prière abrégée, contestation théologico-politique du pouvoir colonial entant que pouvoir non-musulman, etc.
A ce titre, le cheikh Hamahoullah illustre historiquement une tendance profonde dans le soufisme populaire subsaharien qui a réussi à faire la synthèse entre une spiritualité sincère et une éthique politique et sociale qui ne pouvait que déboucher sur une position radicalement anti-coloniale. Pareille problématique est loin d’appartenir seulement au passé. Elle n’est pas sans une certaine actualité au moment où les régimes néo-coloniaux cherchent à confectionner un soufisme sur mesure, apolitique, docile et si possible exotique !
Notes
(1) Alioune TRAORE : Cheikh Hamahoullah, homme de foi et résistant, Paris, Maisonneuve & Larose, 1983.
(2) Cité par A.Traoré, op.cit, p.115
(3) A .Traoré, op.cit, pp.116-117.
(4) A.Traoré, op.cit, pp. 117-118
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Prénoms Féminins
05/04/2008 20:01
Prénoms Féminins
A
Abida = se consacre à l'adoration de Dieu
Abla = en bonne santé
Achika = l'Amoureuse
Achwak = désir, passion
Adiba = lettrée, cultivée
Adila = bien faite, au corps équilibré
Adra = la pureté (Audrey)
Afaf = pureté
Afia = sauvegarde divine
Afifa = chaste, prude, fait preuve de retenue
Ahlem = rêveuse
Aïcha = pleine de vitalité
Aïda = récompense, pardonne
Akila = sensée, sage
Alia = élevée, noble, supérieure
Amana = fidélité
Amaria = a la foi (Anne-Marie)
Amber = ambre
Amel = espoir
Amina = digne de confiance, (Aminata)
Amira = princesse
Amra = vie
Anane = nuage, horizon
Angham - Anram = mélodies
Anika = gracieuse
Anissa = cordiale, courtoise
Aouatif - Awatif = sentiments affectueux
Asma = a de beaux traits
Asrar = secrets
Assia = celle qui protège
Atefa - Atifa = sensible
Atika = noble
Azhar = blancheur éblouissante. fleurs
Aziza = aimée, chérie
Azza = grandeur, notoriété
B
Bachira = porteuse de bonnes nouvelles
Bachra = élégante
Badia = délicate
Badira = aussi lumineuse que la pleine lune
Badra = lumineuse
Bahia = superbe
Bahidja - Bahdja = pleine d'allégresse
Bakhta = bonne fortune
Bariza = éminente, qui se distingue
Basma = sourire
Batoul = détachée du monde
Baya = distinguée
Bouchra = bonne nouvelle
Bouthaïna - Bettina = femme à peau douce
C
Chadia = enjouée, gracieuse
Chafia = guérit, apaise
Chafika = tendre
Chahéra = distinguée
Chahida = témoin de la vérité
Chahinez = (persan) la préférée
Chahra = celèbre
Chahrazad = finesse et sensibilité
Chaïma = marquée d'un grain de beauté
Chakera - Chakira = reconnaissante
Chakiba = généreuse
Chérifa = noble, honnête
Chirine = douce charmante
Chourouk = lever du soleil
D
Dalal = dorlotée
Dalia = fière (Dahlia)
Dalila = aimée, dorlotée
Deloula = choyée
Dawiya = radieuse
Dehbia = précieuse, très chère
Djamila = belle
Djawida = généreuse, gentille
Dora = perle fine et rare
Douha = matinée
Douja = qui protège
Dounia = la vie sur terre
Drifa = aimable
E
Emna = loyale, croyante
Esma = sublime
F
Fadila, Fadéla = digne, vertueuse
Fadia = qui sacrifie sa vie pour sauver quelqu'un
Fahima = intelligente, vive
Fahmia, Fahmiya = douée de compréhension
Fairouz = la Turquoise
Faiza = triomphante
Farah = joie, gaieté
Farida = unique
Faroudja = dissipe les soucis
Faten = charmante, ravissante
Fathia = a un caractère ouvert
Fatiha = qui ouvre toutes les portes (1ere sourate du Coran)
Fatima = "Accoutumée" fille du Prophète
Fattouma = jeune chamelle sevrée
Fella = fleur de jasmin
Feryel = (or.perse) justice
Fitna = charme, séduction
Fouzia = glorieuse
G
Ghada = belle et vertueuse
Ghalia = précieuse
Ghania = libérée, riche
Gh'zala = antilope
Ghizlène = gazelle
H
Habiba = amie, bien-aimée
Hacina = chaste
Hadda = chaleureuse
Hadia = offrande
Hadja = Pèlerin
Hadjar = mère d'Ismael, ancetre des arabes
Hadjira = noble
Hafida = protège
Hafsa = lionne
Hakima = équitable
Hala = auréole
Halima = douce
Hamida = agréable
Hanane = douce
Hania = tranquille
Hanifa = croyante
Hanna = affectueuse
Hasna = belle
Hassiba = respectable
Hayet = vie
Hawa - Haoua = Eve
Hébara = Colombe
Hiba = Don, Cadeau
Hind = caline
Hosnia = vertueuse
Houda = bonne direction- la voie
Houria = pure
I
Ibtsissem = Sourire
Ichrak = Radieuse, rayonnante
Ihcen - Ihsen = vertu, bonté
Ikram = générosité
Ilham = inspiration
Imane = la foi, croyance
Inam = Don de Dieu
Ines = amabilité
Intisar = triomphe
Izdihar = prospérité
J
Jalila : majestueuse
Jemila/Jamila/Djamila/Djemila = agréable au regard
Jasmine = Jasmin
Jawed : générosité
Jawida : tendre
Johar : perle fine
Joumana : joyau
K
Kadera - Kadra - Khadra = Puissante, capable, opulente
Kamela = Parfaite, bien proportionnée
Kamelia = Perfection, réussite, luxe
Karima = Bonté, générosité
Kassama = Elégance, beauté
Kawkeb = Astre
Kawtar = abondance - fleuve du Paradis
Kelthoum = A l'origine prénom maculin. A partir de Oum Kelthoum s'emploie au féminin avec ou sans Oum - a des joues colorées
Kenza = Trésor, richesse.
Khadija = Premiere épouse du Prophète Mohamad (sws)
L
Labiba = Sage
Lama - Lamia = Jeunes fille aux lèvres brunes, ce qui est un attribut de beauté
Latefa = Elégante, fine, jolie
Laziza = meme sens que Aziza - Bien aimée
Laïla - Leïla = la nuit
Lila = Comme LEÏLA, compagne de la soirée, de la veillée et de la nuit.
Lobna - Loubna = Arbrisseau qui donne une résine appelée miel de Loubna qui sert d'encens et de parfum. Héroïne de romans courtois du 7 siècle
Loutfia = Délicate, douce, plaisante, gracieuse
Ludmila = De Oudma, brune au teint hâlé
M
Mahdia = sur le droit chemin
Majida = Glorieuse
Malika = la reine
Manal = Ce qu'on désire et qui répond à une attente, don
Maryam = Marie, La vierge Marie, la pieuse
Marina = Agile, souple, rapide, prompte
Maya - Miya = Grâce, tendresse, noblesse
Maïmouna = Dernière épouse du Prophète Muhammad (sws)
Mebrouka = chanceuse, joie, bénédiction
Menna - Minna = Favorisée par le seigneur, atteinte par la grâce
Messaouda = chanceuse
Monia = Souhait, voeu, désir
Mordjana = corail
N
Nabeha = Intelligence, perspicacité (Nabiha : attentive)
Nacera = Protectrice, soutien, Victorieuse, Défenseur
Nadia = Tendre
Naema - Naïma = délicate
Najet = Triomphe, victoire, secours
Nassima = Brise légère
Nawal = Grâce, faveur
Neïla = Grâce, bonheur, récompense
Nora - Nouryia = La Lumière
O
Omeïma = L'amour maternel
Oulfa = Affinité, concorde, intimité
Oum El Kheyr = la vertueuse
R
Rabha = victorieuse
Rachida = Réfléchie, sensée, bon guide
Radhia = Bienheureuse, satisfaite
Raghida = Bonheur, félicitée, prospéritée
Rahima = Généreuse, clémente
Rajwa = Espérance
Rasmia = Décideur, celle qui guide, trace le chemin
Rebha = Triomphante, victorieuse
Rehana = Paisible, sereine
Rouayada = Sensible, douce
S
Saada = Bonheur, joie, liesse
Sabah = Lumière, clarté, beauté
Sabera = Patiente, endurante, persévérante
Sadika = Loyale, honnête
Safa = L'un des deux promontoires rocheux près de la fontaine de Zamzam (Safa et Marwa).
Safia = Loyale
Safoua = Cristal de roche.
Safwa = Pure. Mais aussi l'ami fidèle
Saïda = hereuse
Sajida = prosternée devant Dieu
Sakina = Paix intérieure, sérénité
Saleha - Saliha = Vertueuse, honnête, pieuse
Salima = Pure, droite, parfaite
Salma = Saine
Salwa = Consolation, plaisir
Samaha = Générosité, indulgence
Samiha = Bienveillante, généreuse
Samira = bonne compagne
Sana = Elévation, splendeur
Saniya = Brillante, belle
Sarah - Sara - Saraï - Sâra - Serra = Epouse d'Abraham et mère d'Ishaq (Isaac). En Hébreux : celle qui commande aux princesse.
Sawsane = Fleur changeante : l'iris mauve, jaune ou blanc
Chahrazad - Cheherazade = Précieuse
Sheïlla - Chehla = Qui a des yeux bleus marine
Siham = Flèche
Smahan = Vient de ASMA, La beauté
Sofia = L'amie
Sonia = Chaste, vertueuse
Soraya = Constellation d'étoiles. Personne rayonnante
Souad = Félicité, bonheur
Souhaïr = qui veille
T
Tahfa - Tehfa - Tohfa = Don, présent, cadeau
Tawbia = Bénédiction, récompense
Taïla = La beauté, la grâce, l'élégance
Tesnim = Non d'une source au paradis appelée aussi Selsbil
Thamïna = Très chère
W
Wafa = Fidélité
Wahiba = Généreuse
Wahida = unique
Warda = La rose, fleur
Wassima = Beau visage
Wided = Compagne, amie, affection
Y
Yacera - Yessira = Prospère, heureuse
Yachem - Yachema = La pierre de Jade
Yamina = Heureuse, prospère, Fortunée
Yasmine - Yasmina - Jasmine = Fleur de jasmin. Mais aussi rondelette, bien portante.
Yassera = Agréable, facile à vivre
Youmna = Bénie, consacrée
Yousra = douce, concilliante
Yousria = Paisible nature — facilité de vivre
Z
Zahia = radieuse
Zahida = Qui se voue à Dieu
Zahila = Calme, sereine
Zahra = Qui a le teint éclatant. lumineuse
Zakia = Chaste, pure
Zeina = La beauté, belle
Zeneb - Zeïneb - Zineb = Arbrisseau au parfum agréable. Epouse de Zeïd, sa beauté et son charme troublèrent Sidi Mohamed le Prophète.
Zohra = La beauté, l'éclat, blancheur
Zoleikha - Zouleikha = Belle et bien portante. Symbole de la beauté féminine et de la séduction.
Zoubida - Zabida - Zoubaïda = élégante, Reine d'Arabie au 8ème siècle
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La Parole d'Allâh(swt)
05/04/2008 19:13
Un hadith dit :
«Rairoukoum man tahalamal qourhana wa alamahou»
Traduction: «Le meilleur d'entre vous est celui qui apprend le Qourâne et l'enseigne !» Explication: Dans ce hadith le Saint Prophète Rassouloullah (SAW) nous montre la supériorité de celui qui apprend le Qour'âne et l'enseigne aux autres. D'après le sens d'un Hadith, il est dit que la parole d'ALLAH est superieure à la paroles des êtres humains exactement comme ALLAH LUI-MEME est supérieur à toutes ses créatures. Ainsi, il est évident que celui qui apprend le Qour'âne et l'enseigne aux autres soit supérieur aux autres. Dans un autre hadith Rasouloullah (SAW) a encore dit :
« Yakoulou lisahibil qourani iza dahalal djanah : Ikra Washad Fayakrahou Wayashadou Bikoulli Ayatin Darajah. Hatta yakrahou chayhin mahah »
Traduction: "Le jour du «Quiyamaate», au moment de pénétrer dans le «Djannate», il sera dit à l'homme du Qour'âne: « lis et gravis les échelons du Paradis!» Il lira alors et montera d'un grade à chaque verset jusqu'à faire la lecture du dernier verset qu'il connait par coeur"
L'homme du Qour'âne signifie le « Hafiz ». Moualla Ali Qari (RA) a expliqué que cet honneur est réservé au «Hafiz» et ne s'applique pas à celui qui lit le Qour'âne sans le connaitre par coeur: Il y a 2 raisons à cela: 1- Le terme 'Saahibé Qourâne' est employé généralement pour désigner le Hafiz 2- Dans le :«Masnadé-Ahmad», il est rapporté le même genre de tradition avec la phrase suivante: «jusqu'à ce qu'il récite ce qu'il possède avec lui du Qourâne »
Les commentateurs et les savants disent que pour chaque verset lu, le lecteur seré élevé d'un grade au Paradis. D'ailleurs, la Mère des croyants, Hazrat Aïcha (Raa) déclare qu'il a autant de grades au Paradis que de versets du Qourâ'ne.
Le Qour'âne est la parole sacrée D'allah, nous nous devons en tant que musulman de préserver ce cadeau pour lequel Rasouloullah (SAW) a lutté pendant 23 années...Aujourd'hui de plus en plus de gens oublie l'importance de ce Kalamoullah qui pourtant devrait être le centre de notre occupation... Apportons donc un peu de lumière dans nos vies en faisant l'effort de le lire et de l'apprendre (pour les Hifz)...
Commentaire de khadija (05/04/2008 19:18) :
oui, mais avant de le réciter en arabe il faut avant tout le comprendre en
entier pour pouvoir l'enseigner
dans notre langue maternelle afin de connaître les significations profondes
et de se repérer par rapport à chaque sourates.
ensuite, nous pourrons réciter le qor'an et le lire en arabe en
sachant de quoi parle-t-on , quelle est cette sourate que je suis en train
de réciter au nom d'allah le très haut, le très grand ?
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Commentaire de Yâ-Sin, (05/04/2008 19:20) :
Salam alaykoum,
Magnifique est ton blog,Momowally, sur l'Islam MachAllah ! C'est
bien que de plus en plus de monde s'intéresse à l'Islam.
J'ai un blog http://ya-sin.blogspot.com
Fais-moi un coucou !
|
Commentaire de islam girl, (05/04/2008 19:25) :
> > >>>Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très
> > >>>Miséricordieux. Une soeur Palestinienne dit avoir vu
> > >>>dans son sommeil le messager d'Allah, le Saint et béni
prophète
> > >>>Mohamed (que la paix et la benediction d'Allah soient
> > >>>sur lui), et lui a recommandé de passer la salutation
> > >>>(le salaam) aux gens. Celui qui lit ce message, doit à
> > >>>son tour le transmettre aux autres et doit attendre 4
> > >>>jours avant de vivre un événement positif qui fera de
> > >>>lui un être très heureux. Par contre celui qui ne le
> > >>>transmet pas après l'avoir lu,
> > >>>traversera une période difficile et sera très triste.
> > >>>Ce message est une dette jusqu'au jour de la
> > >>>retribution. "
> > >>>Laa Illaha ila anta soubhanak ini
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Commentaire de Zitouna59, (05/04/2008 19:27) :
salam alykoum...je sui de passage sur ton blog quié pa mal
kallah vous protege des malheurs et vous guide ds le droit chemin,
inchallah ! jvous souhaite une tres bonne continuation et venez faire un
tour ds mon blog ya kune foto mai ki prouve tout ^^ laisser vos 5 coms svp
si c pa trop demander tout sera rendu
salam alikoum
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EST-IL VRAI QUE L’EVANGILE TEMOIGNE DE MAHOMET? Sourate 7/V.157
19/03/2008 23:28
EST-IL VRAI QUE L’EVANGILE TEMOIGNE DE MAHOMET? Sourate 7:157
"ceux-là qui suivent le messager, le prophète gentil qu'ils trouvent en toutes lettres chez eux dans la Thora et dans l’ Evangile..." Sourate 61:6
"Et quand Jésus fils de Marie dit:"O Enfants d'Israel, je suis vraiment un messager de Dieu à vous, confirmateur de ce qu'il y a devant moi de par la Thora, et annonciateur d'un messager à venir après moi, dont le nom sera 'le Très Glorieux' (ou Ahmad)"
Parakletos ou periklytos?
Existe-t-il en dehors du Coran, des prophéties sur Mahomet? Y a-t-il avant le Coran, des Ecritures qui parlent de sa venue? Certains Musulmans pensent que dans "l’Ingil" (l’Evangile) Jean 16 :7 se rapporte à la prophétie mentionnée dans la sourate 7:157 ou encore dans la sourate 61:6.
Le commentaire de Hemza dit:"Nous ne pouvons pas commenter ce verset (sourate 7:157) autant qu’il le mérite à la lumière de l’Ancien et du Nouveau Testament... Jean 16:7. Toutes les incompréhensions qui séparent les Hébreux, les Chrétiens et les Musulmans viennent de la façon dont on prononce ou on écrit parakletos, que les traducteurs de l’Evangile ont rendu par "Consolateur"; doit-on lire parakletos ou periklytos?" (Hemza, v. 1, p. 330).
Les Musulmans, conscients du fait que le texte original du Nouveau Testament a été écrit en grec, choisissent la seconde façon de lire, "periklytos", traduit par "glorieux", au lieu de "parakletos", qui signifie "consolateur" ou "avocat défenseur". Les Musulmans, en s’appuyant sur le Coran (sourate 61:6) affirme que le verset de Jean 14:16 et 16:7 est une prophétie sur la venue de Mahomet et que le mot periklytos (glorieux) se réfère au nom arabe Ahmad, pseudonyme de Mahomet dans le Coran, tous les deux ayant pour sens "le glorifié", "le glorieux".
La langue grecque confirme parakletos
En réalité, les Musulmans ont substitué à l’intérieur du mot les voyelles a-a-e-o de parakletos avec e-i-y-o de periklytos. Dans les langues hébraïque et arabe, où les voyelles ne sont pas inclues dans les mots, on peut se demander quelles étaient les intentions de l’auteur sur telle ou telle voyelle. Ce qui n’est pas le cas en grec puisque toutes les voyelles sont clairement écrites dans tous les textes grecs .
Les manuscrits en langue grecque confirment parakletos
Quels que soient les doutes, comme celui sur le mot parakletos, on peut simplement consulter l’un des manuscrits existants (MSS); ils sont à disposition de toute personne qui veut les examiner (y compris deux des plus anciens: le Codex Sinaïticus et le Codex Alexandrinus au British Library de Londre). Il y a plus de 70 manuscrits du Nouveau Testament en langue grecque, précédant l’époque de Mahomet. Dans aucun d’entre eux on ne trouve le mot periclytos. Tous les manuscrits utilisent le mot parakletos, et le mot periklytos n’apparait jamais dans la Bible.
Mahomet ne peut donc pas être le parakletos
Le point central de cette argumentation, pour un Musulman, est le désir de trouver une prophétie sur la venue de Mahomet dans la Torah de Moïse et dans l’Ingil (comme s'y réfère la sourate 7:157). Sans cet argument, le principe de l’autorité de Mahomet entre dans un cercle vicieux, à commencer par le Coran "investi d’autorité" par Mahomet lui-même et ainsi de suite... Or le fait qu’il n’existe, dans l’Ingil, aucune prédiction de Jésus sur Mahomet, pose un problème au Musulman qui doit chercher des critères externes pour nous convaincre de la venue de son prophète, sans preuves irréfutables jusqu’à présent.
Qui est donc le parakletos?
Un autre problème surgit quand le Musulman ouvre dans l’Ingil le livre de Jean au chap. 14:16. Le verset dit:"Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur (en grec parakletos) afin qu’il demeure éternellement avec vous". Beaucoup de Musulmans citent ce verset ainsi que Jean 16:7 et referment la Bible! Ils ne réalisent pas qu’il est dangereux, comme dans ce cas, de lire n’importe quel verset en dehors de son contexte. Si le lecteur lisait un peu plus que les versets 14:16 et 16:7, il trouverait à qui se réfère Jésus en parlant du parakletos.
En accord avec le contexte de Jean 14 et 16, Jésus dit que le parakletos n’est pas un être humain:
u14:16 - "...il demeure éternellement avec vous" (un être humain ne vit pas éternellement)
u14:17 - "...l’Esprit de vérité" (un être humain est distinct de l’Esprit)
u14:17 - "...le monde ne le voit point" (un être humain est visible)
u14:17 - "...et ne le connait point" (un être humain est connu des autres)
u14:17 - "...il sera en vous" (un être humain ne peut être à l’intérieur d’un autre)Jésus indique que le parakletos a une mission spécifique: manifester Jésus
u14:26 - "...l'Esprit-Saint, que le Père enverra en mon nom"
u14:26 - "...vous rappellera tout ce que je (Jésus) vous ai dit"
u16:8 - "...il convaincra le monde en ce qui concerne le péché"
u16:14 - "...Il me (Jésus) glorifiera"Jésus spécifie que le parakletos est un esprit:
u14:17 - "...l’Esprit de vérité "
u14:26 - "...le consolateur (parakletos), l’Esprit Saint"
La reponse est l’Esprit Saint qui arriva 50 jours plus tard
Le contexte fait comprendre qu’aucun prophète humain, qu’aucun être angélique ne peut avoir la qualité du parakletos étant donné qu’il sera avec nous pour toujours; il n’est pas visible, il n’est pas connu, il est en nous et il rappellera aux hommes ce que Jésus a fait, manifestant la gloire de Jésus en personne. Un seul Être a toutes ces caractéristiques, c’est l’Esprit Saint que Jésus identifie dans l’Ingil comme le parakletos. Lui seul incarne toutes ces qualités!
Dans le livre des Actes chap. 1, Jésus, avant d’être enlevé au ciel, et 40 jours après avoir promis la venue de l’Esprit Saint (Jean 14:16 et 16:7) parle encore de ce "don".
Il dit:"...mais d'attendre ce que le Père avait promis, ce que je vous ai annoncé, leur dit-il... mais vous, dans peu de jours, vous serez baptisés du Saint-Esprit" (Actes 1:4-5).
Il est clair que le Consolateur dont parle Jésus est le Saint-Esprit, qui arriva dans toute sa puissance 10 jours après que Jésus eut quitté la terre, le jour de la Pentecôte (qui signifie littéralement le 50ème jour) c’est à dire 570 ans avant Mahomet. Récapitulons:
Que dit la prophétie?
Les sourates 7:157 et 61:6 parlent d’un prophète appelé Ahmad, qui aurait été révélé par la "Taurat et l’Ingil" (Torah et Evangile). Il est donc absolument indispensable de le trouver. Sinon, Mahomet ne posséde aucune preuve extérieure au Coran, de "son ministère de prophète"; en conséquence, l’autorité dela foi d’un milliard de Musulmans est fondée sur le seul témoignage qu’un homme ordinaire se porte à lui-même: Mahomet témoigne du Coran et le Coran témoigne de Mahomet. Un témoignage enfermé dans un cerle, inacceptable, même pour les Musulmans. Il ne leur reste alors qu’à croire que les versets de l’Evangile de Jean s’appliquent seulement à Mahomet.
Comme nous l’avons vu , il n’y a aucun passage ni dans l’Ingil ni dans la Taurat qui évoque la venue de Mahomet.
Donc, ce Consolateur (parakletos) promis est-il un homme ou un prophète? N’est-il pas plutôt un esprit, l’Esprit-Saint de la Bible? Cher ami Musulman, considère ce que nous venons de dire, relis ces versets et arrive de toi-même à une conclusion. A la lumière de ces preuves, décide de toi-même qui est la personne dont parle l’Evangile dans la lettre de Jean 14:16 et 16:7.
*Ce traité a été réalizé par des Chrétiens évangéliques pour diffuser efficacement la vérité de Jesus le Messie aux Musulmans.
Attention: Les citations sont prises du "Le Saint Coran", traduction et commentaire de Muhammad Hamidullah, Nouvelle Edition 1989
Commentaire de zahra4india (05/04/2008 19:31) :
Pas mal ton blog !Félicitation !
C'est difficile de trouver des blogs où les articles sont à la fois
complets et simples à lire sur l'Islam.
Bonne continuation!
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Commentaire de Meryem Mahmoud (05/04/2008 19:36) :
Salamou' alaykoum wa rahmatoulah wa baraktouhou
Masha'Allah pour ton blog Momowally, garde toujours la foi
Insha'Allah est reste toujours sur cette voie Insha'Allah
Qu'Allahou tala te garde toujours parmis les plus pieux est qu'Il
soubhana'Allahou te protège de tout mal ! Amine
Juste une petite phrase pour nos frères et soeurs qui négligent
malheureusement la chance qu'on a !
Fermez vos yeux juste une seconde,voyez la misère du monde et votre place
dans tout ça.
Prenons conscience de la chance qu'on à El hamdoulilah !!!
Ca n'arrive qu'aux autres on ne réalise pas tant que ça ne nous
touche pas on sait très bien ce qui se passe ailleur mais on ose se
plaindre. AStaghfirullah…
Qu'Allahou ta'ala nous guide tous AMINE
Qu'Il soubhana'Allah nous épargne du chatiments de l'enfer !
AMINE
Salam alaykoum wa rahmatoulah wa baraktouhou
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