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la naissance du prophète muhammad(saws)
12/04/2008 20:35
la naissance du prophète muhammad(saws)
Sa date de naissance :
Ibn Ishâq privilégie l'opinion selon laquelle, la naissance du prophète(saw)eut lieu après douze nuits écoulées du mois de Rabî' Al-Awwal de l'An de l'Eléphant. Ibn Abî Shayba relate cette opinion selon Jâbir et Ibn 'Abbâs et d'autres. Selon Abou Qatâda (qu'allah soit satisfait de lui) , on interrogea le Messager d'Allâh (saws) sur le jeûne du lundi. Il dit : "C'est un jour où je suis né et où je fus suscité comme Messager". (Mouslim)
L'origine de son prénom
Un jour, 'Abd Al-Mottalib était en voyage au Shêm, accompagné de 3 hommes. C'est alors qu'ils rencontrèrent en chemin un Rabbin qui leur demanda de quelle ville ils venaient. Quand il su que ces hommes venaient de la Mecque, il leur répondit que de leur ville sortira un prophète, et qui s'appellera Mouhammad.
Espérant qu'il s'agisse du leur, ces hommes ont tous décidé de donner ce nom à leur prochain fils qui naîtra, ce que fit 'Abd Al-Mottalib pour son petit-fils, le Prophète (saw).
Quelques signes relatifs à sa naissance et annonçant sa mission future A la Mecque
Quand Âmina engendra le Prophète (saw), un Ange vint lui dire : «Tu viens d'engendrer le meilleur de cette communauté. Quand tu le mettras au monde, tu diras : «Je prie Allâh l'Unique de le protéger contre tout envieux. Le signe qui confirme ce que je dis est que sa naissance sera accompagnée d'une lumière qui éclairera les palais de Bosra au Shêm. Appelle-le alors Mouhammad, le loué, car dans la Thora il est appelé Ahmed. Il sera loué par ceux qui se trouvent aux cieux et sur la terre.»
Interrogé sur sa personne, le Prophète (saws dira plus tard : «Je suis l'accomplissement du vœu formulé par mon père Ibrahim et l'heureuse annonce faite par 'Issa. Et ma mère a vu, quand elle me porta, jaillir d'elle une lumière par laquelle lui étaient illuminés les palais de Shêm.»
Contrairement aux autres femmes, Âmina ne sentait rien des douleurs qui accompagnent les femmes au cours de leurs grossesses. C'est ainsi qu'elle n'était nullement affaiblie. Le Prophète (saw) naquit en s'appuyant sur ses mains et en levant la tête au ciel. Aussi, il (saws) était circoncis et son cordon ombilical était déjà coupé.
Notons qu'à sa naissance, l'Envoyé était orphelin de père car celui-ci tomba malade lors d'un voyage au Shêm, suite à quoi il décéda à Médine chez ses oncles. Cet événement se passa quelques semaines avant que le Prophète (saw) ne naisse.
En dehors de la Mecque :
En Perse, le feu sacré qu'adoraient les Rois Mages s'éteignit et cela ne s'était pas produit depuis 1000 ans. Des églises s'écroulèrent autour du lac Sawa où elles plongèrent. Ces signes ont été rapporté par At Tabari, d'Al Bayhaki et d'autres. La chaîne de transmission n'est cependant pas fixe et nette.
A Médine, Hassan Ibn Tâbit, qui sera plus tard le poète du Prophète (saws), raconte, dans son témoignage : "J'étais dans la région où se trouvaient les juifs (à Médine), et 1 des Rabbins est monté sur un mur et s'est écrié : " Ô communauté de juifs ! Aujourd'hui est apparue l'étoile de Ahmed !"
Les juifs avaient en effet l'habitude de scruter le ciel, car ils étaient très biens informés par les livres saints de la naissance prochaine d'un prophète, et savaient qu'à sa venue, il y aurait sur le ciel, une étoile qui n'apparaît qu'à sa naissance (saw).
Meilleure lecture !
wa salam
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Le récit d'Abû Kilab (raddiALLAH anhoumma )
12/04/2008 20:26
Oumeiya ibn Al Kanaki était parmi les nobles de son peuple, il avait un fils se nommant Kilâb qui avait émigré à Médine pendant le califat de Omar Ibn Al Khattab,(Qu'ALLAH l'agrée).Il y resta pendant une certaine période puis rencontra au cours d'une nuit Talha ibn Oubeidoullah et Az-Zoubeir ibn al Awâm et leur demanda:
"Quelle est la meilleure oeuvre dans l'islam?"
"Le djihad", dirent-ils.Il demanda à Omar, (Qu'ALLAH l'agrée )de l'enroler dans l'armée qui combattait chez les Perses.
Oumeiya se leva et dit à Omar: "Prince des Croyants, cette journée est parmi mes journées, n'ût été que je suis âgé. Son fils Kilâb se leva vers lui. C'était un dévot et ascète, et il dit:"Cependant, Prince des Croyants, moi je vends ma personne à ALLAH et je vends ma vie présente contre l'au-delà."
Son père s'accrocha à lui et le supplia:
"Ne laisse pas ton père et ta mère tous deux âgés et faibles, ils t'ont élevé petit et au moment où ils ont besoin de toi, tu les abandonnes."
Il dit alors: "Oui.Je les ai laissés pour ce qui est meilleur pour moi." Il partit pour la guerre après avoir obtenu le contentement de son père. Il mit du temps à revenir et un jour, alors que son père était à l'ombre d'une palmeraie lui appartenant, il aperçu une colombe qui appelait ses petits. Le père âgé contempla ce spectacle et se mit à pleurer, la mère âgée vit aussi cela et se mit à pleurer. Le père se mit à déclamer:
"A qui les deux personnes âgées qui ont supplié Kilâb
J'en jure par la Parole d'ALLAH, s'il
avait accepté le Livre
Je l'appelle et il se détourne dans le refus
Non , je donnerais mon père en rançon,
Kilâb n'a pas eu raison
Lorsque la colombe roucoule dans la vallée Waj
Sur ses oeufs, cela me rappelle Kilâb
En effet, les émigrants l'ont dérobé aux regards
Et il a abandonné son vieux (père)
par erreur et a perdu
Tu as laissé ton père les mains tremblantes
Et ta mère ne boit que difficilement
Son berceau verse des larmes par tendresse pour lui
Et parce qu'il évite un père déshonoré
par les difficultés
Tu as en effet laissé ton père devenu vieux
Battre les chamelles efflanquées péniblement
Lorsqu'elles prennent leurs ébats hâtivement
Elles provoquent la poussière sur chaque colline
Son désir est ardent il te pleure esseulé
Dans la tristesse
Oumeiya était de venu aveugle. Il prit on guide par sa main qui l'introduisit auprès de Omar RaddiALLAH anhou pendant qu'il se trouvait dans la mosquée. Alors, il lui répondit:
Est-ce un désapprobateur que tu as blâmé sans savoir
Et tu ne connais pas la désapprobation
que je rencontre
Quel que soit le reproche que tu me fais, renvoie
Kilâb lorsqu'il s'est dirigé vers l'Irak
Je n'ai pas atteint mon but sur Kilâb
Demain matin et il a nnocé la séparation
Meilleur des garçons dans la difficulté et dans l'aisance
Très solide le jour de la rencontre de l'ennemi
Non, je donnerais ton père en rançon, tu n'as pas
éprouvé mon affection
Ni ma tendresse pour toi, ni ma nostalgie
Mon embrasement sur toi lorsque
nous sommes en hiver
Et ton enlacement sous mon cou
et mon embrassement
Si un coeur très amoureux s'angoissait
La noirceur de mon coeur finirait par se fissurer
J'implorerai contre Al Farouk (Omar) l'aide d'un Seigneur
Vers Lequel les pélerins se ruent au mont Arafat
J'implore ALLAH, de toutes mes forces
Dans la vallée de la Mecque à Daqâq
Al Farouk n'a pas renvoyé Kilâb
Retrouver les deux personnes âgées,
et voici qu'elles s'écrient.
«Omar (Qu'Allah l'agrée )écrivit une lettre demandant de renvoyer Kilâb à Médine. Lorsqu'il rentra et vint le voir, Omar lui dit:
«Que faisais-tu comme bienfaits à ton père? »Il dit: «Je l'honorais et m'occupais de toutes ses affaires. Quand je voulais lui traire du lait, je me rendais auprès de la meilleure laitière parmi les chamelles de son troupeau, je la ramenais ensuite au bercail, puis, je la laissais se reposer, ensuite je lavais ses pis jusqu'à ce qu'ils se refroidissent et enfin, je la trayais pour lui faire boire.»
Omar, (Qu'ALLAH l'agrée )envoya chercher Oumeiya, il vint et entra auprès de Omar d'un pas chancelant ; sa vision était devenue beaucoup plus faible et son corps pliait sous le poids de l'âge. Il lui dit : « Comment vas-tu Abû Kilâb? »
Il répondit :"Comme tu le vois, Prince des Croyants."
Il lui dit:"Abû Kilâb, quelles sont les choses que tu aimes le plus aujourd'hui?" Il dit: "Je n'aime rien aujourd'hui, aucun bien ne me rend joyeux et aucun mal ne m'attriste".
Omar (Qu'ALLAH l'agrée), lui dit:" Vraiment?"
Il dit: "Si, Kilâb, j'aurais aimé qu"il soit avec moi, afin que je le hume et le serre contre mois une fois avant de mourir".
Omar, (RaddiALLAH anhou), pleura et dit :"Tu auras ce que tu veux, s'il plaît à ALLAH."
Ensuite, il ordonna à Kilâb de traire une chamelle pour son père comme il le faisait auparavant et de lui envoyer son lait. Il s'éxecuta. Omar, Qu'ALLAH l'agrée, lui tendit la calebasse et dit :"Bois, Abû Kilâb." Il la prit, et lorsqu'il la rapprocha de sa bouche, il s'écria :"Je jure par ALLAH, Prince des Croyants, je sens l'odeur des mains de Kilâb".
Omar (Qu'ALLAH l'agrée) pleura et lui dit:
"Voici Kilâb auprès de toi, nous te l'avons en effet ramené".
Il sauta sur son fils et le serra contre lui. Omar, RaddiALLAH anhou et les personnes présentes avec lui se mirent à pleurer et dire à Kilâb: "Reste en permanence auprès de tes parents, et fais de la bienfaisance envers eux ton djihad tant qu'ils sont en vie.
Ensuite, fais ce que tu veux de ta personne après leur mort"
Omar, Qu'ALLAH l'agrée donna l'ordre de lui donner des provisions avant qu'il ne parte avec son père.
Les cavaliers chantèrent la poésie de son père et lorsqu'il fut au courant de de cela, il dit :
«Par ALLAH, je n'ai pas laissé Abû Kilâb
A un âge avancé triste et bléssé
Et une mère qui a toujours une tendresse
Et qui après sa somme appelle Kilâb
Pour aller à la recherche de la richesse ou du titre
Cependant, j'ai espéré par cela la récompense d'ALLAH."
Kilâb était parmi les meilleurs musulmans, et il resta auprès de ses parents jusqu'à leur mort.»
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Les vertus de la patience et de l'obéisance envers Allâh(swt)
12/04/2008 18:59
«Quiconque abandonne quelque chose pour Allah(swt), Il le lui remplacera par quelque chose de meilleur .» (Shaikh 'Ali Hassan Al-Halabi )
L'enseignant de nos enseignants, (Il fait référence à l’imam Al-Albani, qui était un étudiant de Shaikh Muhammad Raghib At-Tabbakh) le grand savant et l'historien, Shaikh Muhammad Raghib At-Tabbakh, (rahimahullah), a mentionné l'histoire suivante dans son livre :"I'lam Nubala bi-Tarikh Halab Ash-Shuhaba" (7/231) :
« Shaikh Ibrahim Al-Hilali Al-Halabi (un savant pieux et noble) était étudiant à l'Université d’Al-Azhar enfaculté de sciences. En cherchant la science, il est devenu très pauvre et comptait sur la charité. Une fois, plusieurs jours passèrent sans qu’il ne trouve rien à manger, il était donc extrêmement affamé.
Donc ,il sortit de sa chambre pour demander quelques restes de nourriture. Il trouva une porte entre-ouverte par laquelle émanait une odeur agréable. Il ouvrit la porte puis se trouva dans une cuisine, oû il n'y avait personne. Là, il y trouva quelques mets appétissants, saisit une cuillère, la plongea (dans le récipient), mais lorsqu’il l'amena à sa bouche, il s'est retenu de manger, se rappelant que l'on ne lui avait pas donné la permission d'en manger. Donc, il laissa la nourriture et retourna dans sa chambre , mourrant de faim.
Moins d'une heure après, un enseignant, accompagné d'un autre homme entrèrent dans sa chambre. Et l'enseignant lui dit : « ce noble homme est venu me voir car il cherche un étudiant en science, pieux et sincère en vue de lui donner sa fille en mariage et pour lui,je t’ai choisi ! Alors ,lève-toi et allons chez lui,à la maison pour achever le contrat de mariage entre toi et sa fille.Ainsi, et tu deviendras un membre de sa maison! » Mais Shaykh Ibrahim fit des efforts pour se lever, obéissant à son enseignant . Et ils l'emmenèrent dans la même maison oû il était entré quelques heures avant en quête de nourriture !
Quand il s'assit, le père de la fille célébra le mariage et apporta la nourriture . C'était la même nourriture,celle qu'il voulait manger sans autorisation . En mangeant et il s’est dit : « je me suis retenu d’en manger car je n'avais aucune permission, mais maintenant Allah m'a donné cette nourriture avec permission ! »
Plus tard, cette femme pieuse retourna avec lui à Halab (son village), à la fin de ses études. Et elle lui donna des enfants musulmans,nobles,bénis et pieux. » Donc, ceci est le fruit de la patience et une récompense pour celui qui craint Allah (taqwa), comme Allâh(swt) dit : « Et quiconque craint Allah, Il lui donnera une issue favorable et lui accordera Ses dons par [des moyens] sur lesquels il ne comptait pas.» [Sourate At-Talaq : 2-3] Mais quant à ceux qui sont hâtifs ( ceux qui ne distinguent pas entre la vérité et le mensonge, recherchant les vanités temporaires de cette vie ) ils n'éprouveront jamais rien d’autre que chagrin et peine dans leurs cœurs, car ils n'atteindront jamais la vie d’ici-bas et ne complèteront non plus jamais la religion. Ceci parce qu'ils oublient ( ou négligent peut-être ) la parole d'Allah : « Allah ne suffit-il pas à Son serviteur ? » [Sourate Az-Zumar : 36] Quant à ceux qui sont patients et fermes et qui craignent (taqwa), ils gagneront dans cette vie et trouveront gloire et honneur auprès de leur Seigneur le Jour du Jugement. Et Allah(swt) dit : « Et fais la bonne annonce aux endurants.» [Sourate Al-Baqara : 155] Et Il dit : « les endurants auront leur pleine récompense sans compter.» [Sourate Az-Zumar : 10] Source : magazine Al-Asalah (n°31, page. 60-61)
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Les deux malades
12/04/2008 18:00
Assalamu'alaykoum wa rahmatoullâhi ta'ala wa baraketouhou,chers(es) frères et soeurs !
Il était une fois deux hommes,
tous deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons.
Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre homme passait ses journées coucher sur le dos.
Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leurs maisons, leurs métiers, leurs participations dans le service militaire et les endroits où ils avaient été en vacances.
Et chaque après-midi, quand l'homme dont le lit était près de la fenêtre, pouvait s'asseoir, il passait son temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.
L'homme dans l'autre lit commençait à vivre,pendant quelques moments.Ainsi,son monde élargissait et s'égayat grâce à toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.
De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux, modèles réduits. De grands arbres décoraient le paysage avec des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner.
Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.
Les jours et les semaines passèrent.
Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.
Dès qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre. L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul.
Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'œil dehors. Enfin il aurait la JOIE de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit.
Or tout ce qu'il vit, fut ... un MUR !!!!!!!!!!
L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité?
L'infirmière répondit à l'homme, que son compagnon de chambre, était ... AVEUGLE !!!!!
et ne pouvait même pas voir le mur.
«Peut-être, a-t-il seulement voulu vous encourager ! » commenta-t-elle.
…Malgré de nos propres épreuves. il y a un bonheur extraordinaire à rendre les autres heureux ! La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé !
Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter.
«Adorez Dieu et ne Lui associez rien. Faites donc du Bien aux deux géniteurs,auxproches, les orphelins, les miséreux, le voisin très proche, le voisin d'à côté, le compagnon permanent, l'étranger de passage et ce que vous possédez par la voie légale ! »
Qu'Allâh Azzawajal nous donne la connaissance spirituelle
et l'istiqamat,pour l'Amour du Saint et béni Prophète(saw) !
Wa salam
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Les cinqs premiers Conseils d'Ibn Arabi
10/04/2008 18:44
Voici un extraits du Livre des conseils (kitâb-al-wasayâ) du "Cheikh al akbar" Ibn Arabi (raa) Le Livre des Conseils (kitâb al-wasayâ) est le dernier chapitre, le 560e, et le plus long de l’immense oeuvre, intitulé:« Al-Futûhât al-Makkiyya », (Les Conquêtes ou Ouvertures Mekkoises )qu’Ibn ’Arabî a composée à Damas. En effet, il comprend plus de 120 pages grand format et plus de 300 conseils. Le Maître récapitule en eux les aspects essentiels de son oeuvre . Il y traite de la vie spirituelle sous toutes les modalités les plus élevées, et pouvant s’appliquer à toutes les circonstances de la vie du Fidèle. Dans ses exposés, il utilise toujours les sources principales qui font autorité en Islam : la Parole divine descendue sur le Prophète, le Qur’ân ou Récitation englobante, et la Sunna ou Tradition prophétique. La plupart des hadith qu’il cite tout au long de ce chapitre sont extraits de son recueil de Traditions prophétiques intitulé:« Mishkât al-Anwâr», (La Niche des Lumières) 1 CONSEIL 1
Conseil d’ordre général - l’union fait la force 2
Allâh(swt)a dit au sujet du conseil d’ordre général : «’Allâh vous a prescrit, en matière de Religion (dîn) ce qu’Il a conseillé à Noé. Ce que Nous t’avons inspiré, ce que Nous avons conseillé à Abraham, à Moïse et à Jésus est : Maintenez-vous dans le Religion et ne vous séparez pas à son sujet» (Coran, 42/13).
Dieu-le-Vrai (al-Haqq) a ordonné de se conformer à la Religion révélée - qui est la Loi divine (shar’) régissant le moment présent à chaque époque (zamân) et en chaque communauté traditionnelle (milla) - et de se rassembler et non de diverger à son sujet. Car la Main d’Allâh est avec la Communauté rassemblée (jamâ`a). [Selon le proverbe] ’le loup mange la vieille brebis qui dans sa fuite a pris du retard sur le gros du troupeau et s’en est trouvée isolée’.
L’enseignement (hikma) qui se dégage de ce proverbe est qu’Allâh n’est reconnu comme Dieu se révélant (ilâh) que par Sa possession des Noms excellents, et non en tant qu’Il en serait démuni. C’est donc nécessairement en relation avec l’Unicité de Son Essence (tawhîd `ayni-Hi), la multiplicité de Ses Noms et par leur synthèse qu’Il est (reconnu) comme le Dieu se révélant (al-Ilâh) 3. La Main d’Allâh, qui représente la force, est donc avec la Communauté unifiée.
Hakîm (le sage prophète Jacob) donna à ses (douze) enfants, qui formaient une communauté unie, le conseil suivant au moment de sa mort : ’Apportez-moi des bâtons’. Il les assembla et dit à ses enfants : ’Brisez-les !’ Or les bâtons se trouvaient ensemble (réunis) et à cause de cette disposition ils ne purent y arriver. Jacob alors sépara les bâtons et dit à ses enfants : ’Prenez-les un par un et brisez-les’, et ils y parvinrent. Il ajouta : ’C’est ainsi qu’après moi vous ne serez point dominés tant que vous resterez unis. Mais si vous vous séparez, vos ennemis auront pouvoir sur vous et vous anéantiront’.
De la même manière, ceux qui respectent la Religion en y restant unis et ne divergent pas en elle ne seront pas subjugués par leurs adversaires.
C’est pourquoi l’être humain, en s’unissant en conformité avec la Religion d’Allâh, n’est dominé par aucun démon, homme ou djinn, qui cherche à le circonvenir par des suggestions, et cela grâce à l’heureuse assistance de la Foi et de l’ange qui le protège avec ses auxiliaires.
CONSEIL 2
La pratique du bien
Si tu désobéis à Allâh en un lieu, ne le quitte pas sans y avoir fait acte d’obéissance et d’adoration. De même qu’il témoignera contre toi quand on le lui demandera, il témoignera aussi en ta faveur. C’est alors que tu pourras t’en éloigner.
Tu te comporteras de la même manière avec ton habit si tu viens à désobéir à Allâh quand tu le portes.
Tu agiras de même quand tu te tailleras la moustache, quand tu te raseras les poils du pubis, quand tu te couperas les ongles ou quand tu rafraîchiras ta chevelure. Tu ne te nettoieras pas et tu ne sépareras rien de ton corps sans être en état de pureté rituelle (tahâra) et sans invoquer Allâh -Sublime, puissant et majestueux soit-Il- car Il te demandera comment tu t’en es défait.
La plus minime oeuvre d’adoration sur laquelle tu as quelque pouvoir en toutes ces questions consiste à invoquer Allâh pour qu’Il revienne à toi à partir de ce qu’Il t’a ordonné afin que tu t’y conformes impérativement en réponse à Sa Parole : ’Demandez-Moi, Je vous exaucerai’ (Coran, 40/60).
Il t’ordonne donc de Lui demander. Il ajoute : ’En vérité, ceux qui dédaignent l’adoration qui M’est due...’ (Coran, 40/21). Par adoration il faut entendre ici ’demande’ ou ’supplique spontanée’ (du’â) ce verset se comprenant alors de cette façon : ceux qui dédaignent l’humilité et la pauvreté’. La demande spontanée est appelée ’adoration’ puisque celle-ci implique humilité, componction et pauvreté. Le même verset se termine ainsi : ’entreront humiliés dans le Feu de la Géhenne (Coran,40/21). Allâh rétribue en les faisant entrer, honorés, dans le Jardin ceux qui ont accompli ce qu’on leur commande.
Un certain matin, au lever du jour, il m’arriva de rentrer aux bains pour procéder à une toilette générale. C’est alors que je rencontrai Najd ad-Dîn Abû-l-Ma`alî b. al-Lahîb, mon compagnon. Il demanda le barbier pour les soins de la tête. Je l’interpellais alors : ’O Abû-l-Ma’alî !’ Il me dit, avant même que j’ai terminé ma phrase : ’Je suis en état de pureté légale’. J’avais compris que tu voulais me demander cela !’ Je m’étonnai de sa présence d’esprit et de la rapidité de sa compréhension, de sa bienveillante disposition à pénétrer les situations et de la connaissance qu’il en avait eue dans mon cas. Je lui répondis : ’Qu’Allâh te bénisse ! Par Allâh, je ne t’ai interpellé que parce que tu étais en état de pureté rituelle et que tu invoquais Allâh au moment de te faire couper les cheveux !’ Il pria Allâh pour moi et se fit raser.
En ce domaine, les hommes sont bien insouciants. Ils disent même : ’Si tu désobéis à Allâh en un lieu, retire-t-en !’ Car ils craignent pour toi que cet endroit témoigne de ta désobéissance. Leur propos te convient alors que tu ne fais qu’ajouter péché sur péché. Pourtant, ils n’ont attiré ton attention que par miséricorde pour toi, bien qu’une science importante leur échappe !
Obéis donc à Allâh par cette injonction, car tu pourras alors partir de ce lieu en réunissant ce qu’ils t’ont recommandé et le conseil que je viens de te donner.
Toutes les fois que tu te souviens d’une faute que tu as commise, repens-toi des conséquences qu’elle entraîne pour toi et demande pardon à Allâh.
Souviens-toi de Lui à cette occasion selon la nature de cette désobéissance. Le Messager d’Allâh - sur lui la Grâce et la Paix d’Allâh - disait : ’Fais suivre le mauvais comportement d’un bon comportement qui l’effacera’, car Allâh a dit ’Certes, les bons comportements dissipent les mauvais’ (Coran, 11/114). C’est alors que ce précepte divin sera pour toi le critère par lequel tu apprécieras la juste valeur des mauvais et des bons comportements.
CONSEIL 3
La bonne estimation au sujet d’Allâh
Aie la bonne opinion (zhann) et non la mauvaise au sujet de ton Seigneur en toute circonstance (hâl), car tu ne sais pas si tu n’es pas en train de rendre ton dernier souffle qui va provoquer ta mort. Rencontre donc Allâh avec la bonne opinion à Son égard et non avec la mauvaise, puisque tu ne peux savoir si Dieu te saisira dans le souffle que tu expires.
Chasse de toi le propos de celui qui parle d’avoir la mauvaise opinion (zhann) pendant la vie (présente) et la meilleure opinion à l’égard d’Allâh à l’heure de la mort. Chez les savants par Allâh, cette attitude est considérée comme ignorance, eux qui demeurent avec Allâh dans tous leurs souffles et en retirent un profit spirituel. La science par Allâh t’impose d’accomplir ce qui Lui revient de droit : d’exiger de toi la Foi, conformément à ce verset : ’Nous vous avons fait exister dans ce que vous ne savez pas" (Coran,56/61). Il se pourrait qu’Allâh te fît arriver au moment du souffle qui, pensais-tu, provoquerait en toi le processus de la mort et te ferait retourner à Lui, tout en ayant la mauvaise opinion à l’égard de ton Seigneur et que tu Le rencontres alors dans cette disposition. On rapporte du Prophète -sur lui la Grâce et la Paix d’Allâh- cette nouvelle reçue de son Seigneur 4 : ’Je suisauprès de la pensée que Mon serviteur se fait de Moi. Qu’il pense donc le meilleur de Moi !’
Dans cette nouvelle, Allâh n’a pas privilégié un temps plutôt qu’un autre. Que ta pensée à l’égard d’Allâh soit empreinte de la connaissance certaine qu’Il efface, pardonne et est indulgent. Allâht’incite à garder cette pensée à Son égard dans le verset suivant : « O Mes serviteurs qui avez été excessifs envers vous-mêmes, ne désespérez pas de la Miséricorde d’Allâh » (Coran,39/53). Il t’interdit donc le désespoir et tu dois t’abstenir de ce qu’Il défend. Il t’informe ensuite - et Son information est véridique - qu’Il ne tolère pas de dérogation (naskh) qui constituerait un désaveu bien impossible de Sa part. N’a-t-Il pas dit : « Certes, Allâh pardonne tous les péchés » (Coran, 43/54), sans spécifier tel ou tel péché. Il a même insisté en ce sens en précisant bien : tous les péchés. Il ajoute : « En vérité, Lui est bien le Très-Pardonneur et le Très-Miséricordieux » (Coran,43/54). Le pronom « Lui » se rapporte à Allâh en tant qu’Il possède ces [deux] attributs attendu que « Sa Miséricorde précède Son Courroux » (selon un hadîth).
C’est pourquoi, dans le verset précité, Allâh dit(swt) :«qui avez été excessifs ! » sans préciser tel ou tel excès. Il a employé le pronom :« Mes » dans Son propos : « O Mes serviteurs » qu’Il a étendu à tout être excessif, mettant ainsi en rapport les serviteurs avec Lui, car ils sont bien Ses serviteurs, comme Il l’a mentionné à propos du serviteur intègre Jésus (sur lui la Paix ) «’En vérité, si Tu les châties, ils sont Tes serviteurs’» (Coran,5/118). En conséquence, Il les meten relation avec Lui (exalté soit-Il). Or la noblesse (sharaf) qui suffit est celle que confère la relation avec Allâh.
CONSEIL 4
L’obligation de l’invocation d’Allâh(swt)
Vous êtes tenus au dhikr d’Allâh, secrètement et ouvertement, en vous-mêmes et en assemblée. Allâh a dit : «’Faîtes donc Mon Dhikr, Je fais votre dhikr»(Coran,2/152). Il en résulte qu’Il a fait de l’exaucement du (ou = de la réponse favorable au) Dhikr accompli par le serviteur, le Dhikr même qu’Allâh accomplit.
Le serviteur n’éprouve pas de plus grand dommage que le péché. Le Prophète - sur lui la Grâce et la Paix d’Allâh- disait, quand un préjudice l’atteignait : ’La Louange est à Allâh en toute circonstance’, et dans le contentement de la joie : ’La Louange est à Allâh, le Dispensateur du bienfait et de la faveur’.
Quand tu gardes, quel que soit ton état, la conscience permanente du Dhikr d’Allâh en ton coeur, celui-ci se trouve assurément illuminé par la lumière du dhikr, de sorte que celle-ci t’accorde le dévoilement (kashf), car par elle, les choses se dévoilent.
Lorsque le dévoilement se produit, le respect (hayâ’) l’accompagne. Le signe qui t’indique cette concomitance est (par exemple) le respect que tu as à l’égard de ton voisin ou de celui chez qui tu reconnais un droit ou une qualité. Or il est sûr que la Foi t’apporte la vénération de Dieu le Réel (al-Haqq) en ton for intérieur.
Ces considérations sont réservées seulement à ceux qui sont avec les porteurs de la Foi et notre conseil s’adresse à tout être qui se soumet (à la volonté divine), fidèle à Allâh et à ce qui provient de chez Lui.
Dans une nouvelle sûre, Allâh précise : ’«...et Moi, Je suis avec lui - c’est-à-dire avec le serviteur - au moment où il fait Mon Dhikr (où il Me mentionne). S’il fait Mon Dhikr en son âme, Je fais son dhikr en Mon Ame. S’il fait Mon Dhikr en assemblée, Je fais son dhikr dans une assemblée meilleure que la sienne’ »5.
Allâh(swt) a dit : «Ceux et celles qui font le Dhikr d’Allâh abondamment» ( Coran, 33/35). Or le Dhikr le plus éminent est le Dhikr d’Allâh en toute circonstance.
CONSEIL 5
La proximité d’Allâh(swt)
«Applique-toi à parvenir à l’entière proximité par l’effort intense autant que possible en tout temps et en toute circonstance, selon la signification attachée à ce temps et à cette circonstance par lesquels Dieu le Réel s’adresse à toi.
Si tu portes la Foi, tu ne pourras jamais être délivré d’une désobéissance sauf par une oeuvre d’obéissance qui s’y substitue, car en ta qualité de porteur de la Foi, tu sais qu’il s’agit d’une désobéissance.
Or si tu joins à cette alliance la demande de pardon et le repentir (tu ajoutes) une obéissance à une (autre) obéissance et une proximité à une autre proximité, de sorte que l’obéissance qui suit l’acte mauvais et la foi s’en trouvent fortifiées en produisant une proximité d’Allâh plus intense et plus considérable.
Le fondement sur lequel la proximité toute entière et certaines modalités de la foi sont établies est constitué par ton statut vis à vis d’Allâh, selon le principe qu’Il a Lui- même posé, dans la nouvelle prophétique authentique suivante 6 : « Si le serviteur s’approche de Moi d’un empan, Je M’approche de lui d’une coudée. S’il s’approche de Moi d’une coudée, Je M’approche de lui d’une brasse. S’il vient à Moi en marchant, Je viens à lui en M’empressant.»’
La raison de cette supériorité propre à Allâh(swt), de la faiblesse propre au serviteur et de la surenchère, réside dans le fait que le serviteur doit se trouver raffermi dans son intention de se rapprocher d’Allâh par le comportement [adéquat] et dans le fait qu’il reçoit l’ordre de considérer ses actes selon les critères d’évaluation de la Loi révélée, et cela nécessairement sans retard. S’il montre de l’empressement et s’en qualifie, sa diligence consiste seulement à réaliser les critères d’évaluation de son comportement devant [cette proximité] et non son comportement [en soi]. La réalisation de ces critères d’évaluation par l’acte assure l’accomplissement des oeuvres d’adoration, bien que la proximité divine n’ait nul besoin de balance. La Balance que Dieu le Réel détient dans Sa Main est celle par laquelle tu pèses ce comportement qui te permet de rechercher la proximité d’Allâh. Celui qui possède cette disposition est nécessairement par rapport à toi dans une proximité plus déterminante et plus grande que ta proximité par rapport à Lui.
Allâh se décrit Lui-même comme s’approchant de toi quand tu t’approches de Lui en t’accordant un surcroît de proximité de Lui, symbole (de mesure) par symbole (de mesure dans le hadîth précité). La raison en est que tu es créé selon la forme (d’Allâh). Or une Lieutenance primordiale (awwal khilâfa) te concerne, celle de ta lieutenance conforme à ton essence, car tu es Son lieutenant dans la terre de ton corps, et le troupeau que tu gardes se compose de tes membres actifs et de tes facultés externes et internes. Sa Proximité-même de toi est donc ta proximité de Lui et un accroissement qui se présente comme Il l’a précisé à propos de la coudée, de la brasse et de l’empressement.
Dans la surenchère divine, l’empan entraîne en conséquence la coudée, la coudée la brasse et à la marche correspond l’empressement. Dans la première partie (awwal) de chaque séquence, il s’agit de ta proximité de Lui, alors que dans l’autre partie (la dernière = âkhir ) correspondante, il s’agit de Sa Proximité de toi. «Ainsi Lui est le Premier (Awwal) et le Dernier (Âkhir) »(cf. Coran, 57-3). Il s’agit alors de la proximité corrélative (al-qurb al-munâsaba). Mais la Proximité divine qui concerne l’ensemble des créatures est différente de cette dernière. Allâh(swt) n’a t-Il pas dit : « Nous sommes plus près de lui que sa veine jugulaire » (Coran, 50/16).
Je ne veux pas parler ici de cette dernière proximité mais bien de celle qui est la conséquence de la proximité que le serviteur a avec Allâh. Or le serviteur n’a de proximité avec Allâh que par la foi en ce qui provient d’Allâh-même en plus de la foi en Allâh et en celui qui transmet (la Révélation) de Sa part. 1 - Traduit par Muhammad Vâlsan aux Editions de l’Oeuvre, Paris, 1983. 2 - Les titres en tête de chaque conseil sont de nous pour mieux situer le thème général de chacun d’eux. 3 - Les deux noms Allâh et Ilâh sont coraniques, mais le nom al-Ilâh, le Dieu se révélant n’a été utilisé qu’après la Descente du Qur’ân. Le nom Allâh est aussi bien le nom de l’Essence divine inconditionnée et infinie que le nom de la Fonction divine à laquelle le nom al-Ilâh s’applique dans toute la Manifestation ou Existence universelle. Par contre, le nom ilâh représente toujours un aspect de la Divinité ou la divinité au ’degré’ de l’Unicité divine (wahdâniyya) ; dans le Qur’ân, il concerne Allâh en tant qu’Il se révèle et désigne parfois des créatures et reçoit le pluriel pour qualifier des divinités quelles qu’elles soient. 4 - In Tirmidhî, rapporté par Abû Hurayra. 5 - Pour ce hadîth qudsî, voir note suivante. 6 - In Bukhârî, Muslim, Ibn Mâja, Tirmidhî et Ibn Hanbal, rapporté par Abû Hurayra. bibliographie de meme thèmes: - L’Interprête des désirs, Ibn ’Arabî, Albin Michel, 1996. - Le traité de l’amour (chap. 178 des Futûhât ), Ibn ’Arabî, Albin Michel, 1986, 1992. - Traité sur le nom ALLÂH, Ibn ’Atâ ’Allâh, éd. Les Deux Océans, Paris, 1982 et 1990. - L’Arbre du Monde, Ibn ’Arabî, éd. Les Deux Océans, 1982 at 1991. - Traité sur les noms divins, Fakr al-Dîn ar-Râzî, éd. Dervy-Livres, deux tomes, 1986 et 1988 (épuisé). - Les secrets du Jeûne et du Pélerinage, Al-Ghazâlî, éd. Tawhid, Lyon, 1993. - Le Livre des Définitions (Kitâb at-Ta’rîfât), trad. intégrale et index nombreux avec introd. de Pierre Lory, Presses universitaires d’Iran, Téhéran, 1994.
Ibn Arabi
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