|
[ Photos ] [ Soufisme-citations ] [ DIWAN ] [ Questions à la Tijaniyya ] [ Informatique ] [ Rappels&Sagesses ] [ Fiqh-Jurisprudence ] [ Al-Hissane ] [ hadiths ]
|
|
|
|
Un hadith émouvant !
08/04/2008 15:46

Ce hadith est authentifié par le savant de notre siècle Sheikh Albani(raa) En voici le sens : D'après Abdullah Ben Mas'ud (raa), le Prophète (saw)a dit :
«Allah rassemblera pour un jour désigné, les premières et les dernières générations. Elles se mettront debout, quarante ans durant, les yeux hagards(dirigé vers le ciel), attendant que le jugement soit rendu.
Allah descendra(nézel) (1) dans des nuages du Trône (Arch)(2)au repose pied (Koursy) (d'une façon qui n'est connu que par Allah) on entendra un appel :
«Ô hommes, acceptez-vous, de la part de votre Seigneur, qui vous a crées, dotés de biens et vous a ordonné de l'adorer et de ne rien lui associer, que chacun de vous suive ce qu'il adorait, dans la vie antérieure; n'est-ce pas de la justice de votre Dieu ?»
Ils diront : « Oui ! »
Chaque communauté se dirigera vers son idole. Ils leur sera présenté toute les idoles qu'ils adoraient. Il y en aura qui se dirigent vers le soleil, (d'autres) vers la lune, d'autres vers les pierres. Pour ce qui adoraient Jésus, le démon qui était affecté à Jésus lui sera présenté. Ceux qui adoraient 'Uzayr, le démon de 'Uzayr leur sera présenté. Mouhammed et sa nation attendront.
Allah (swt)se présentera et leur dira : «Pourquoi n'êtes-vous pas partis comme les autres gens ?»
Ils diront : « Nous avons un Dieu que nous n'avons pas vu.»
Il (swt)dira :« Es-ce que vous le reconnaitrez si vous le voyez?»
Ils diront : « Il y a entre nous et lui un signe, on pourra l'y reconnaître.»
Il (swt)dira : «Lequel ? »
Ils diront :« Qu'il découvre sa jambe (1) ! »
A ce moment il découvre la Jambe. Et voilà que même les polythéistes se prosternent (passage Sahih, Tabarany , Albani). A l'exception des gens ayant des dos semblables aux cornes des vaches. Ils voudront se prosterner, mais ne le pourront pas, alors qu'on les invitait à la prosternation pendant qu'ils étaient sains.
Allah(swt) dira ensuite aux croyants : «Levez vos têtes ! », Il leur donnera leurs lumières en fonction de leurs oeuvres. Il y en aura qui receveront leur lumière comme une montagne géante, entre leurs mains, certains en receveront moins, (quand à) certains ils n'en receveront(auront) que l'équivalent d'un palmier-dattier, et certains d'entre eux moins encore jusqu'à que le denrier d'entre eux n'en recevera qu'un tout petit bout sur l'orteil, qui tantôt s'allume tantôt s'éteint. Et leur Seigneur sera devant eux les guidant pour traverser le pont jeté (3) sur l'abîme de l'enfer, laissant une trace semblable à celle du tranchant de l'épée (dans un autre hadith authentique on trouve sa déscription comme suit : "Le chemin étroit sera jeté sur l'enfer. Il sera aussi étroit que la lame d'une épée, il sera glissant et périlleux, il y a au-dessus des barres de fer tout enflamées, avec lesquelles les gens seront happés. Celui qui sera accroché tombera au feu...") Il leur dira de traverser. Leur passage sera relatif à leur lumière. Ainsi, certains passeront aussi vite qu'un clin d'oeil, d'autres comme l'éclair, d'autres comme le nuage, d'autres comme des comètes, d'autres comme le vent, d'autres comme les chameaux, d'autres comme la course de l'homme. Viendra enfin celui qui recevera la lumière sur le bout de son orteil, rampant sur son visage, ses pieds et ses mains. Ses flancs seront touchés par le feu. Mais il continuera à se traîner jusqu'à ce qu'il soit sauf. Là, il se mettra debout au bord de l'enfer et dira :«Qu'Allah soit Loué pour m'avoir accordé ce qu'il n'a accordé à personne, en me délivrant de l'enfer, après l'avoir vu de mes propre yeux.» On l'emmènera vers une source à la porte du Paradis pour se laver. Il acquiera l'odeur des ses élus du paradis ainsi que leur mine. A travers une fente dans la porte du Paradis, il observera ce qu'il y aura au Paradis, il dira : «Seigneur, faites-moi entrer au Paradis ! » Allah lui répondra (dira) :«Tu me demandes à présent le paradis alors que Je viens de te sauver de l'enfer ?».
Il dira : «Seigneur mets entre moi et elle (l'enfer) un voile jusqu'à ce queje n'entende plus son bouillonement !»
Il sera alors introduit (par la Clémence d'Allah) au Paradis et il verra (devant lui) ou on bâtira une demeure si somptueuse qu'il se sentira comme dans un rêve et il dira : «Seigneur, donne-moi cette demeure !». Allah lui dira : « Ne demanderas-tu donc pas une autre si je te donne celle-çi ?». Il dira : « Non, je le jure par Ta puissance je n'en demanderai pas d'autre, et puis y'a t-il une demeurre meilleur que celle-çi ?». Alors il lui donnera (accordera) et il s'y installera. (Puis) il verra devant sa demeure une autre demeure, qui paraît comme un rêve par rapport à celle qu'il occupe. Il dira (alors) : « Seigneur donnez-moi cette maison.» Et Allah (teberak-outerela) lui dira :« Peut-être demandera tu une autre si je te donne celle-çi ?». Il dira :« Non par ta Toute Puissance (je ne demanderai pas), d'ailleurs qu'elle maison pourrait être meilleuir que celle-çi ?»Il lui accordera et il s'y installera. Ensuite il gardera le silence. Alors Allah (l'exalté !) lui dira : «Pourquoi ne me demandes -tu rien ?». Il dira : «Seigneur je vous-ai demandé tellement de choses que j'en suis embarassé.» Allah lui dira : «Seras-tu satisafait si je te donne l'équivalent des biens du bas-monde depuis que le l'ai créé jusqu'à ce que Je l'ai anéantis, et dix fois plus ?». Il dira : «Vous vous moquez de moi alors que vous êtes le Seigneur de la Toute Puissance ?». (Son Seigneur lui accordera alors se qu'il lui a dit -dans une version-). Allah exalté dira :"Non, j'en suis capable". L'homme demandera : « Permetez-moi de rejoindre les élus du Paradis.» Allah le lui permettra. Il s'en ira, pressant le pas dans le Paradis.
Avant d'atteindre les gens, un palais de perle se dressera devant lui. Il se jette aussitôt prosterné par terre, on lui dira :«Lève-toi, qu'as-tu donc ?» il dira : «J'ai vu mon Seigneur», on lui dira :«ce n'était qu'une de t'es demeures.» Il trouvera ensuite un homme pour lequel il s'apprêtera à se prosterner lorsque celui lui dira : «Je ne suis qu'un de Vos trésoriers et servants, 1000 (mille) autres qui me ressemblent son sous mes ordres, tous à Votre service.»
Le gardien le devancera pour lui ouvrir la porte du palais. C'est un palais creusé dans une perle, dont les plafonds, les portes, les serrures et les clefs sont tous faits de perles. Face à l'entrée se trouve une pierre précieuse de couleur verte aux creux de laquelle se trouve une autre rouge comportant soixante-dix portes qui mènent chacune à une chambre de couleur en pierre précieuse verte dont chacune mène à son tour à une autre chambre de couleurs diffèrentes d'entre elles les unes des autres. Chacune de ses chambres contient des lits, des épouses et des servantes. La moindre de celle-çi est une HOURI vêtue de soixante-dix habits. La moelle sera visible à travers la chair, les os et même les habits de cette houri.
Son coeur sera un miroir pour elle et réciproquement. A chaque fois qu'il s'en éloigne un moment, elle deviendra soixante-dix fois plus belle à ses yeux et il lui dira :«Je jure par Allah que je vous trouve soixante-dis fois plus belle qu'avant.» Elle lui répondra pareil. On lui dira : «Regardez ! » Il regarde et voilà qu'on lui dira :« Voici votre propriété. Elle s'étend sur une distance de cent ans de marche que tu pourra quand même embrasser du regard. »
(alors) Ibn Ma'soud rapporte ensuite : Omar dit : « N'entends-tu pas ce que nous rapporte Ibn Oum 'Abd, ÔKa'b au sujet des élus du Paradis qui occupent le rang le plus bas ? Qu'en est-il alors de ceux aux rangs élevés ? » Il lui répondit : «Ô Commandeur des croyants (il y est au Paradis) ce que nul oeil n'a vu, et ce que nulle oreille n'a jamais ouïe », puis il cita le reste du hadith.
Rapporté par Ibn Abi Dounya, Tabarany et el Hakim. wa qal Sheikh el Alam Albani : Sahih (authentique). Référence :«Tarr'ib wa tar'ib», volume 3, chapître "le livre de la réssurection et des affres de ce jour", sous chapitre relatif : "au rassemblement au jour du jugement dernier". Pages 418, 419, 420, 421, 422.
Quelques nota bene : (3) As-Sirât : est le nom du pont situé au-dessus de la Géhenne; Après leur séparation du lieu de stationnement, les gens arriveront vers l'endroit des ténébres, situé sous le pont Sirat, tel qu'il est mentionné dans le hadith rapporté par Aïcha. C'est ce qui est signifié dans le dire de Aïcha (qu'Allah l'agrée) : «Le messager d'Allah fut questionné, à savoir où se trouveront les gens, le jour où la terre sera changée, ainis que les cieux ?» Il répondit : «Ils seront dans les ténébres sous le pont ! » (Hakida Tahawiyya, P126).
|
|
|
|
|
|
|
|
|
anasheeds libres
05/04/2008 20:03
Voila un site pas mal , un genre de radio programmable qui diffuse des anasheeds librement , Des artistes comme : Sami Yusuf Ahmed Bukatir Burda Iman Mesut Kurtis Muhammed al Husayn Native Deen Raihan Zain Bhikha Et autre....
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Prénoms Féminins
05/04/2008 20:01
Prénoms Féminins
A
Abida = se consacre à l'adoration de Dieu
Abla = en bonne santé
Achika = l'Amoureuse
Achwak = désir, passion
Adiba = lettrée, cultivée
Adila = bien faite, au corps équilibré
Adra = la pureté (Audrey)
Afaf = pureté
Afia = sauvegarde divine
Afifa = chaste, prude, fait preuve de retenue
Ahlem = rêveuse
Aïcha = pleine de vitalité
Aïda = récompense, pardonne
Akila = sensée, sage
Alia = élevée, noble, supérieure
Amana = fidélité
Amaria = a la foi (Anne-Marie)
Amber = ambre
Amel = espoir
Amina = digne de confiance, (Aminata)
Amira = princesse
Amra = vie
Anane = nuage, horizon
Angham - Anram = mélodies
Anika = gracieuse
Anissa = cordiale, courtoise
Aouatif - Awatif = sentiments affectueux
Asma = a de beaux traits
Asrar = secrets
Assia = celle qui protège
Atefa - Atifa = sensible
Atika = noble
Azhar = blancheur éblouissante. fleurs
Aziza = aimée, chérie
Azza = grandeur, notoriété
B
Bachira = porteuse de bonnes nouvelles
Bachra = élégante
Badia = délicate
Badira = aussi lumineuse que la pleine lune
Badra = lumineuse
Bahia = superbe
Bahidja - Bahdja = pleine d'allégresse
Bakhta = bonne fortune
Bariza = éminente, qui se distingue
Basma = sourire
Batoul = détachée du monde
Baya = distinguée
Bouchra = bonne nouvelle
Bouthaïna - Bettina = femme à peau douce
C
Chadia = enjouée, gracieuse
Chafia = guérit, apaise
Chafika = tendre
Chahéra = distinguée
Chahida = témoin de la vérité
Chahinez = (persan) la préférée
Chahra = celèbre
Chahrazad = finesse et sensibilité
Chaïma = marquée d'un grain de beauté
Chakera - Chakira = reconnaissante
Chakiba = généreuse
Chérifa = noble, honnête
Chirine = douce charmante
Chourouk = lever du soleil
D
Dalal = dorlotée
Dalia = fière (Dahlia)
Dalila = aimée, dorlotée
Deloula = choyée
Dawiya = radieuse
Dehbia = précieuse, très chère
Djamila = belle
Djawida = généreuse, gentille
Dora = perle fine et rare
Douha = matinée
Douja = qui protège
Dounia = la vie sur terre
Drifa = aimable
E
Emna = loyale, croyante
Esma = sublime
F
Fadila, Fadéla = digne, vertueuse
Fadia = qui sacrifie sa vie pour sauver quelqu'un
Fahima = intelligente, vive
Fahmia, Fahmiya = douée de compréhension
Fairouz = la Turquoise
Faiza = triomphante
Farah = joie, gaieté
Farida = unique
Faroudja = dissipe les soucis
Faten = charmante, ravissante
Fathia = a un caractère ouvert
Fatiha = qui ouvre toutes les portes (1ere sourate du Coran)
Fatima = "Accoutumée" fille du Prophète
Fattouma = jeune chamelle sevrée
Fella = fleur de jasmin
Feryel = (or.perse) justice
Fitna = charme, séduction
Fouzia = glorieuse
G
Ghada = belle et vertueuse
Ghalia = précieuse
Ghania = libérée, riche
Gh'zala = antilope
Ghizlène = gazelle
H
Habiba = amie, bien-aimée
Hacina = chaste
Hadda = chaleureuse
Hadia = offrande
Hadja = Pèlerin
Hadjar = mère d'Ismael, ancetre des arabes
Hadjira = noble
Hafida = protège
Hafsa = lionne
Hakima = équitable
Hala = auréole
Halima = douce
Hamida = agréable
Hanane = douce
Hania = tranquille
Hanifa = croyante
Hanna = affectueuse
Hasna = belle
Hassiba = respectable
Hayet = vie
Hawa - Haoua = Eve
Hébara = Colombe
Hiba = Don, Cadeau
Hind = caline
Hosnia = vertueuse
Houda = bonne direction- la voie
Houria = pure
I
Ibtsissem = Sourire
Ichrak = Radieuse, rayonnante
Ihcen - Ihsen = vertu, bonté
Ikram = générosité
Ilham = inspiration
Imane = la foi, croyance
Inam = Don de Dieu
Ines = amabilité
Intisar = triomphe
Izdihar = prospérité
J
Jalila : majestueuse
Jemila/Jamila/Djamila/Djemila = agréable au regard
Jasmine = Jasmin
Jawed : générosité
Jawida : tendre
Johar : perle fine
Joumana : joyau
K
Kadera - Kadra - Khadra = Puissante, capable, opulente
Kamela = Parfaite, bien proportionnée
Kamelia = Perfection, réussite, luxe
Karima = Bonté, générosité
Kassama = Elégance, beauté
Kawkeb = Astre
Kawtar = abondance - fleuve du Paradis
Kelthoum = A l'origine prénom maculin. A partir de Oum Kelthoum s'emploie au féminin avec ou sans Oum - a des joues colorées
Kenza = Trésor, richesse.
Khadija = Premiere épouse du Prophète Mohamad (sws)
L
Labiba = Sage
Lama - Lamia = Jeunes fille aux lèvres brunes, ce qui est un attribut de beauté
Latefa = Elégante, fine, jolie
Laziza = meme sens que Aziza - Bien aimée
Laïla - Leïla = la nuit
Lila = Comme LEÏLA, compagne de la soirée, de la veillée et de la nuit.
Lobna - Loubna = Arbrisseau qui donne une résine appelée miel de Loubna qui sert d'encens et de parfum. Héroïne de romans courtois du 7 siècle
Loutfia = Délicate, douce, plaisante, gracieuse
Ludmila = De Oudma, brune au teint hâlé
M
Mahdia = sur le droit chemin
Majida = Glorieuse
Malika = la reine
Manal = Ce qu'on désire et qui répond à une attente, don
Maryam = Marie, La vierge Marie, la pieuse
Marina = Agile, souple, rapide, prompte
Maya - Miya = Grâce, tendresse, noblesse
Maïmouna = Dernière épouse du Prophète Muhammad (sws)
Mebrouka = chanceuse, joie, bénédiction
Menna - Minna = Favorisée par le seigneur, atteinte par la grâce
Messaouda = chanceuse
Monia = Souhait, voeu, désir
Mordjana = corail
N
Nabeha = Intelligence, perspicacité (Nabiha : attentive)
Nacera = Protectrice, soutien, Victorieuse, Défenseur
Nadia = Tendre
Naema - Naïma = délicate
Najet = Triomphe, victoire, secours
Nassima = Brise légère
Nawal = Grâce, faveur
Neïla = Grâce, bonheur, récompense
Nora - Nouryia = La Lumière
O
Omeïma = L'amour maternel
Oulfa = Affinité, concorde, intimité
Oum El Kheyr = la vertueuse
R
Rabha = victorieuse
Rachida = Réfléchie, sensée, bon guide
Radhia = Bienheureuse, satisfaite
Raghida = Bonheur, félicitée, prospéritée
Rahima = Généreuse, clémente
Rajwa = Espérance
Rasmia = Décideur, celle qui guide, trace le chemin
Rebha = Triomphante, victorieuse
Rehana = Paisible, sereine
Rouayada = Sensible, douce
S
Saada = Bonheur, joie, liesse
Sabah = Lumière, clarté, beauté
Sabera = Patiente, endurante, persévérante
Sadika = Loyale, honnête
Safa = L'un des deux promontoires rocheux près de la fontaine de Zamzam (Safa et Marwa).
Safia = Loyale
Safoua = Cristal de roche.
Safwa = Pure. Mais aussi l'ami fidèle
Saïda = hereuse
Sajida = prosternée devant Dieu
Sakina = Paix intérieure, sérénité
Saleha - Saliha = Vertueuse, honnête, pieuse
Salima = Pure, droite, parfaite
Salma = Saine
Salwa = Consolation, plaisir
Samaha = Générosité, indulgence
Samiha = Bienveillante, généreuse
Samira = bonne compagne
Sana = Elévation, splendeur
Saniya = Brillante, belle
Sarah - Sara - Saraï - Sâra - Serra = Epouse d'Abraham et mère d'Ishaq (Isaac). En Hébreux : celle qui commande aux princesse.
Sawsane = Fleur changeante : l'iris mauve, jaune ou blanc
Chahrazad - Cheherazade = Précieuse
Sheïlla - Chehla = Qui a des yeux bleus marine
Siham = Flèche
Smahan = Vient de ASMA, La beauté
Sofia = L'amie
Sonia = Chaste, vertueuse
Soraya = Constellation d'étoiles. Personne rayonnante
Souad = Félicité, bonheur
Souhaïr = qui veille
T
Tahfa - Tehfa - Tohfa = Don, présent, cadeau
Tawbia = Bénédiction, récompense
Taïla = La beauté, la grâce, l'élégance
Tesnim = Non d'une source au paradis appelée aussi Selsbil
Thamïna = Très chère
W
Wafa = Fidélité
Wahiba = Généreuse
Wahida = unique
Warda = La rose, fleur
Wassima = Beau visage
Wided = Compagne, amie, affection
Y
Yacera - Yessira = Prospère, heureuse
Yachem - Yachema = La pierre de Jade
Yamina = Heureuse, prospère, Fortunée
Yasmine - Yasmina - Jasmine = Fleur de jasmin. Mais aussi rondelette, bien portante.
Yassera = Agréable, facile à vivre
Youmna = Bénie, consacrée
Yousra = douce, concilliante
Yousria = Paisible nature — facilité de vivre
Z
Zahia = radieuse
Zahida = Qui se voue à Dieu
Zahila = Calme, sereine
Zahra = Qui a le teint éclatant. lumineuse
Zakia = Chaste, pure
Zeina = La beauté, belle
Zeneb - Zeïneb - Zineb = Arbrisseau au parfum agréable. Epouse de Zeïd, sa beauté et son charme troublèrent Sidi Mohamed le Prophète.
Zohra = La beauté, l'éclat, blancheur
Zoleikha - Zouleikha = Belle et bien portante. Symbole de la beauté féminine et de la séduction.
Zoubida - Zabida - Zoubaïda = élégante, Reine d'Arabie au 8ème siècle
|
|
|
|
|
|
|
|
|
La Parole d'Allâh(swt)
05/04/2008 19:13
Un hadith dit :
«Rairoukoum man tahalamal qourhana wa alamahou»
Traduction: «Le meilleur d'entre vous est celui qui apprend le Qourâne et l'enseigne !» Explication: Dans ce hadith le Saint Prophète Rassouloullah (SAW) nous montre la supériorité de celui qui apprend le Qour'âne et l'enseigne aux autres. D'après le sens d'un Hadith, il est dit que la parole d'ALLAH est superieure à la paroles des êtres humains exactement comme ALLAH LUI-MEME est supérieur à toutes ses créatures. Ainsi, il est évident que celui qui apprend le Qour'âne et l'enseigne aux autres soit supérieur aux autres. Dans un autre hadith Rasouloullah (SAW) a encore dit :
« Yakoulou lisahibil qourani iza dahalal djanah : Ikra Washad Fayakrahou Wayashadou Bikoulli Ayatin Darajah. Hatta yakrahou chayhin mahah »
Traduction: "Le jour du «Quiyamaate», au moment de pénétrer dans le «Djannate», il sera dit à l'homme du Qour'âne: « lis et gravis les échelons du Paradis!» Il lira alors et montera d'un grade à chaque verset jusqu'à faire la lecture du dernier verset qu'il connait par coeur"
L'homme du Qour'âne signifie le « Hafiz ». Moualla Ali Qari (RA) a expliqué que cet honneur est réservé au «Hafiz» et ne s'applique pas à celui qui lit le Qour'âne sans le connaitre par coeur: Il y a 2 raisons à cela: 1- Le terme 'Saahibé Qourâne' est employé généralement pour désigner le Hafiz 2- Dans le :«Masnadé-Ahmad», il est rapporté le même genre de tradition avec la phrase suivante: «jusqu'à ce qu'il récite ce qu'il possède avec lui du Qourâne »
Les commentateurs et les savants disent que pour chaque verset lu, le lecteur seré élevé d'un grade au Paradis. D'ailleurs, la Mère des croyants, Hazrat Aïcha (Raa) déclare qu'il a autant de grades au Paradis que de versets du Qourâ'ne.
Le Qour'âne est la parole sacrée D'allah, nous nous devons en tant que musulman de préserver ce cadeau pour lequel Rasouloullah (SAW) a lutté pendant 23 années...Aujourd'hui de plus en plus de gens oublie l'importance de ce Kalamoullah qui pourtant devrait être le centre de notre occupation... Apportons donc un peu de lumière dans nos vies en faisant l'effort de le lire et de l'apprendre (pour les Hifz)...
Commentaire de khadija (05/04/2008 19:18) :
oui, mais avant de le réciter en arabe il faut avant tout le comprendre en
entier pour pouvoir l'enseigner
dans notre langue maternelle afin de connaître les significations profondes
et de se repérer par rapport à chaque sourates.
ensuite, nous pourrons réciter le qor'an et le lire en arabe en
sachant de quoi parle-t-on , quelle est cette sourate que je suis en train
de réciter au nom d'allah le très haut, le très grand ?
|
Commentaire de Yâ-Sin, (05/04/2008 19:20) :
Salam alaykoum,
Magnifique est ton blog,Momowally, sur l'Islam MachAllah ! C'est
bien que de plus en plus de monde s'intéresse à l'Islam.
J'ai un blog http://ya-sin.blogspot.com
Fais-moi un coucou !
|
Commentaire de islam girl, (05/04/2008 19:25) :
> > >>>Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très
> > >>>Miséricordieux. Une soeur Palestinienne dit avoir vu
> > >>>dans son sommeil le messager d'Allah, le Saint et béni
prophète
> > >>>Mohamed (que la paix et la benediction d'Allah soient
> > >>>sur lui), et lui a recommandé de passer la salutation
> > >>>(le salaam) aux gens. Celui qui lit ce message, doit à
> > >>>son tour le transmettre aux autres et doit attendre 4
> > >>>jours avant de vivre un événement positif qui fera de
> > >>>lui un être très heureux. Par contre celui qui ne le
> > >>>transmet pas après l'avoir lu,
> > >>>traversera une période difficile et sera très triste.
> > >>>Ce message est une dette jusqu'au jour de la
> > >>>retribution. "
> > >>>Laa Illaha ila anta soubhanak ini
> > >>>kountou min aldaalmin". Envoie ce message à 25
> > >>>personnes et tu dois t'attendre à de bonnes nouvelles
> > >>>Incha Allah karim !
> > >>> wa salam
|
Commentaire de Zitouna59, (05/04/2008 19:27) :
salam alykoum...je sui de passage sur ton blog quié pa mal
kallah vous protege des malheurs et vous guide ds le droit chemin,
inchallah ! jvous souhaite une tres bonne continuation et venez faire un
tour ds mon blog ya kune foto mai ki prouve tout ^^ laisser vos 5 coms svp
si c pa trop demander tout sera rendu
salam alikoum
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
la pratique des Médinois dans la méthodologie de l'imam Malik
02/04/2008 23:10
Assalamu' alaykoum wa rahmatoullahi ta'ala wa barakatouhou,chers (es) et frères et soeurs voici : la pratique des Médinois dans la méthodologie de l'imam Malik
Mâlik (raa) considérait la pratique des Médinois comme une source de son fiqh, et c'est pour cela qu'il aimait à ajouter après avoir cité récit ou hadith : « Ce que nous considérons comme objet de consensus chez nous », ou bien il citait un élément étayant sur lequel il s'appuyait avec force, s'il ne trouvait pas de récit traditionnel. Il affirme cela clairement dans son épître à al-Layth Ibn Sa`d, dont il a déjà été question :
J'ai appris que tu émettais des fatwas sur des sujets divers, en contradiction avec ce à quoi sont habitués les gens chez nous et dans la ville où nous résidons.
Or, étant donné la crédibilité et la considération dont tu jouis auprès des habitants de ton pays, pour tout ce qui leur vient de toi et qui satisfait leurs besoins, tu as le devoir de craindre pour toi-même, et de suivre ce dont nous espérons le salut, car Dieu dit dans Son livre : « Et les précurseurs parmi les émigrés et les partisans... » (Coran S9, V100). Et Il dit encore : « Et annonce la bonne nouvelle à mes serviteurs, ceux qui entendent la Parole et suivent ce qu'elle contient de meilleur... » (Coran S39, V17-18). Et les gens n'ont qu'à suivre les habitants de Médine : C'est vers elle que le Prophète a émigré, là que le Coran a été révélé,... » [1]
Puis Mâlik explicite les raisons qui l'ont poussé à adopter ce point de vue :
« Et la raison essentielle à cela, c'est le fait que le Coran avec ses prescriptions y a été révélé et que ses habitants sont les pre-miers à avoir dû appliquer les obligations religieuses, à ordonner le bien et interdire le mal et à faire triompher la religion, puis est apparu après le Prophète () ses plus fidèles partisans, Aboû Bakr, 'Omar et `Othmân, appliquant sa Sounna après l'avoir étu-dié en profondeur. Les Suivants firent de même, et Médine hérita ainsi de leur temps la science de la Sounna et le fiqh de l'Islam. »
Voilà la référence argumentaire de Mâlik concernant la pratique des Médinois, qu'il faisait parfois passer avant le récit singulier pour la raison qu'il considérait cette opinion notoire et en vigueur à Médine comme une Sounna rapportée et connue. En fait, il semble que cette méthode ne soit pas une invention de Mâlik, et son maître Rabra ar-Ra'y disait à ce propos : « Mille personnes rapportant de mille autres vaut mieux qu'une rapportant d'une seule ». Et Mâlik dit : « J'ai vu Mohammad Ibn Abî Bakr 'Amr Ibn Hazm, qui était cadi, tandis que son frère 'Abd Allâh était un grand connaisseur de hadîth et un homme sincère, lorsque son jugement contredisait un hadîth, se faire rabrouer par 'Abd Allah, qui lui disait : « N'y a-t-il pas un hadîth sur cette question ? — Certes, lui répondit l'autre. — Alors, pourquoi ne te réfères-tu pas à lui pour ton jugement ? — Qu'en penseraient les gens ? », disait-il alors, c'est-à-dire que ce sur quoi les vertueux de Médine s'entendent est pl! us digne d'être appliqué. [2] On voit ainsi que ce n'est pas Mâlik qui fut le précurseur de cette méthode, mais d'autres avant lui, et qu'il n'a fait qu'atta-cher son nom à elle, car il consigna certaines fatwas en contra-diction avec les récits qu'il rapportait.
On voit donc que Mâlik admettait comme référence argumentaire le consensus des savants de Médine, et qu'il rejetait le récit singulier s'il contredisait ce consensus, considérant leur science comme plus fiable. Et les propos transmis de Mâlik font référence à deux types de pratiques médinoises : celles qui ne peuvent être connues que par transmission, comme l'appel à la prière ou les mesures de poids prophétiques, ainsi que celles connues par effort d'interprétation, comme certains verdicts concernant les transactions entre les gens. Et il semble que les Malikites ne se soient pas accordés par la suite sur une telle généralisation, et aient préféré distinguer ce qui est transmission de ce qui est interprétation et induction.
Et ils affirment dans leurs livres que, pour Mâlik, seules les pratiques médinoises connues par transmission sont acceptables. Al-Qarâfî affirme à ce propos : Le consensus des Médinois n'est une réfé-rence argumentaire pour Mâlik, contrairement aux autres, que lorsqu'il parvenait par transmission, avec pour preuve la parole du Prophète () « Médine chasse ses impuretés comme le soufflet de forge chasse les impuretés du fer ». L'erreur étant une impureté, il convient de la rejeter, et leurs divergences étant transmises par les Anciens, et les fils rapportant des pères, le récit sort de la conjecture et de l'hypothèse pour rentrer dans le domai-ne de la certitude.
Certains Compagnons ont par ailleurs affirmé que le consensus absolu (al-ijmâ al-moutlaqI) était une référence argumentaire, même s'agissant d'une pratique non transmise. Et ils citent comme preuve de ce caractère absolu du consensus le hadîth : « Ma communauté ne tombera pas d'accord sur une erreur », en affirmant que dans le cas où il avait contra-diction entre formulation (mantoûq) et sens (mafhoûm) c'était la première qui primait.
Le cadi `Iyyâd précise par ailleurs les quatre types de transmission qui doivent faire l'objet du consensus des savants — Les paroles transmises du Prophète (), comme l'appel à la prière. — Sa pratique comme la description de la prière et du nombre de génuflexions. — La transmission de sa confirmation de ce qu'il avait vu d'eux, sans l'avoir rejeté. — La transmission de son abandon de certains faits qu'il avait vus d'eux, et de prescriptions qu'il ne leur imposa pas, malgré leur renommée chez eux, comme la zakât sur les légumes.
Il faut dire aussi que, même si les Malikites sont devenus célèbres pour cette opinion, d'autres la partageaient également avec eux. C'est le cas d' ach-Châfi'î lui-même, qui respectait le consensus des Médinois qui ne pouvait qu'avoir sa raison d'être. Et s'ils divergeaient avec les Malikites, c'était sur un seul point la question de la réalité du consensus.
Quant à Ibn al-Qayyim dans A `lâm al-mouwaqqa"in, il distingue trois types de pratiques des Médinois dans le cas de la transmission : un premier, la loi transmise du Prophète, semblable à ce que mentionne le cadi Iyyâd, un second, la transmission de la pratique permanente, comme les legs pieux, le métayage et l'appel à la prière sur des lieux élevés. Enfin, un troisième, la transmission des lieux et des quantités. Et Ibn al-Qayyim a affirmé que cette pratique était une référence argumentaire qu'il convenait de suivre, ainsi qu'une Sounna acceptable. [3]
Il ressort de tout cela que Mâlik acceptait sans critique le consensus des Médinois si sa source était la transmission, alors que si celle-ci était l'induction, les avis divergent. Certains Malikites rapportent trois types d'opinions :
— La première, que l'induction n'est pas une référence argu-mentaire, sans que l'on donne la priorité à l'interprétation des Médinois par rapport à une autre. C'est ce qu'affirme al-Abhart
— La seconde, c'est que tout en n'étant pas une référence argu-mentaire, leur interprétation est préférée à celle des autres. Certains Malikites et certains Chafiites l'ont adoptée.
— Et la troisième, c'est que leur consensus par interprétation est une référence argumentaire. La lettre à al-Layth semble indiquer que c'est l'opinion de Mâlik lui-même, ainsi que de la plu-part des Maghrébins. Al-Qarâti le laisse aussi entendre.
On voit donc que si les Malikites sont en accord dans le cas de la transmission, il n'en est pas de même en matière d'interprétation, même si dans leur majorité, ils l'admettent comme référence d'argumentation. Concernant la question de la pratique médinoise si un récit singulier vient la contredire, il faut distinguer les deux types de consensus : dans le cas d'une transmission, le consensus précède le récit singulier, car il s'agit alors d'une transmission notoire, et que le récit singulier ne peut la contredire, car il est conjectural et que le notoire est indiscutable. Cela est accepté par tous les Malikites. Cela n'est plus le cas si le consensus s'appuie sur une interprétation, en tout cas pour la plupart des Malikites.
Ibn al-Qayyim a explicité la différence entre les deux types de consensus des Médinois lorsque le récit les contredit en ces termes : «On sait que la pratique à Médine après l'époque des califes bien dirigés et des Compagnons dépendait des muftis et des princes qui s'y trouvaient, ainsi que des contrôleurs des prix (mouhtasib, et le peuple ne s'y opposait pas. Ainsi, lorsque le mufti émettait un avis, le gouverneur le faisait appli-quer et le contrôleur des prix s'y conformait. C'est ce à quoi on ne s'intéressait pas lorsqu'il y avait contradiction avec les traditions, et non pas la pratique du Prophète, de ses successeurs et des Compagnons. Les deux ne se mélangent pas, et nous confirmons fermement l'un, tandis que nous abandonnons l'autre lorsqu'il contredit la Sounna. Rabi' a Ibn Abî 'Abd ar-Rahrnân pratiquait l'iftâ' , le contrôleur des prix Soulaymân Ibn Bilâl faisait appliquer sa fatwa et le peuple la mettait en pratique, comme cela apparaît dans les régions où seule l! a doctrine malikite prévaut... Sinon, celui qui n'en tenait pas compte était blâmé. »
Il conclut en affirmant qu'un consensus ayant pour fondement la transmission n'est jamais contredit par une Sounna authentique, tandis qu'aucune pratique fondée sur l'interprétation ne peut passer avant une Sounna.[4]
Il nous faut convenir du fait que Mâlik, lorsqu'il arguait du consensus médinois, ne se limitait pas aux questions connues uniquement par transmission, mais citait également les cas où intervenait l'opinion. Ses termes dans l'épître à al-Layth confirment cette généralisation comme nous l'avons vu dans la réponse d'al-Layth et à propos des questions sur lesquelles ils diver-geaient, comme celle de l'abandon et du divorce. Cependant, donnait-il la priorité au consensus des Médinois sur le récit traditionnel si celui-ci était de nature singulière (âhâd)
On a vu qu'il étudiait les hadîth avec minutie et esprit critique, comparant avec les sources générales et les principes fixes que les sources concordaient à établir. Parfois, à la lumière de ce qui était pratiqué et transmis des Suivants, et avant eux, des Compagnons, il considérait certains récits comme faibles, même s'il se fondait pour cela dès le début sur une interprétation qu'il faisait sienne, car il détestait l'outrance (al-ighrâb,) lorsqu'il y voyait une déviation.
notes: 1. Al-madârik, p. 34. 2. Al-madarik, p. 37. 3. A`lâm al-mouwaqqa'in, partie 2, p. 304 4. A`lâni al-mouwaqqa7n, p. 308.
Par Muhammad Abou Zahra dans "al Imam Malik, Hayatuhu wa 'Asruhu"
|
|
|
|
|
|