| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://momowally.vip-blog.com


Taîba Niassène
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

Taîba Niassène

VIP-Blog de momowally
bayy-99@hotmail.com

  • 1463 articles publiés
  • 313 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 25/06/2007 20:12
    Modifié : 18/01/2014 10:26

    Garçon (38 ans)
    Origine : Abidjan
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Août  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    282930010203
    04050607080910
    11121314151617
    18192021222324
    252627282930
    [ Photos ] [ Soufisme-citations ] [ DIWAN ] [ Questions à la Tijaniyya ] [ Informatique ] [ Rappels&Sagesses ] [ Fiqh-Jurisprudence ] [ Al-Hissane ] [ hadiths ]

     

    Un hadith émouvant !

    08/04/2008 15:46

    Un hadith émouvant !


    Ce hadith est authentifié par le savant de notre siècle Sheikh Albani(raa)
    En voici le sens :
    D'après Abdullah Ben Mas'ud (raa), le Prophète (saw)a dit :

    «Allah rassemblera pour un jour désigné, les premières et les dernières générations. Elles se mettront debout, quarante ans durant, les yeux hagards(dirigé vers le ciel), attendant que le jugement soit rendu.

    Allah descendra(nézel) (1) dans des nuages du Trône (Arch)(2)au repose pied (Koursy) (d'une façon qui n'est connu que par Allah) on entendra un appel :

    «Ô hommes, acceptez-vous, de la part de votre Seigneur, qui vous a crées, dotés de biens et vous a ordonné de l'adorer et de ne rien lui associer, que chacun de vous suive ce qu'il adorait, dans la vie antérieure; n'est-ce pas de la justice de votre Dieu ?»

    Ils diront : « Oui ! »

     Chaque communauté se dirigera vers son idole. Ils leur sera présenté toute les idoles qu'ils adoraient. Il y en aura qui se dirigent vers le soleil, (d'autres) vers la lune, d'autres vers les pierres. Pour ce qui adoraient Jésus, le démon qui était affecté à Jésus lui sera présenté. Ceux qui adoraient 'Uzayr, le démon de 'Uzayr leur sera présenté. Mouhammed et sa nation attendront.

    Allah (swt)se présentera et leur dira : «Pourquoi n'êtes-vous pas partis comme les autres gens ?»

     Ils diront : « Nous avons un Dieu que nous n'avons pas vu.»

     Il (swt)dira Es-ce que vous le reconnaitrez si vous le voyez?»

     Ils diront : « Il y a entre nous et lui un signe, on pourra l'y reconnaître

    Il (swt)dira : «Lequel ? » 

    Ils diront :« Qu'il découvre sa jambe (1) ! »

    A ce moment il découvre la Jambe. Et voilà que même les polythéistes se prosternent (passage Sahih, Tabarany , Albani). A l'exception des gens ayant des dos semblables aux cornes des vaches. Ils voudront se prosterner, mais ne le pourront pas, alors qu'on les invitait à la prosternation pendant qu'ils étaient sains.

    Allah(swt) dira ensuite aux croyants : «Levez vos têtes ! », Il leur donnera leurs lumières en fonction de leurs oeuvres. Il y en aura qui receveront leur lumière comme une montagne géante, entre leurs mains, certains en receveront moins, (quand à) certains ils n'en receveront(auront) que l'équivalent d'un palmier-dattier, et certains d'entre eux moins encore jusqu'à que le denrier d'entre eux n'en recevera qu'un tout petit bout sur l'orteil, qui tantôt s'allume tantôt s'éteint. Et leur Seigneur sera devant eux les guidant pour traverser le pont jeté (3) sur l'abîme de l'enfer, laissant une trace semblable à celle du tranchant de l'épée (dans un autre hadith authentique on trouve sa déscription comme suit : "Le chemin étroit sera jeté sur l'enfer. Il sera aussi étroit que la lame d'une épée, il sera glissant et périlleux, il y a au-dessus des barres de fer tout enflamées, avec lesquelles les gens seront happés. Celui qui sera accroché tombera au feu...") Il leur dira de traverser.
    Leur passage sera relatif à leur lumière. Ainsi, certains passeront aussi vite qu'un clin d'oeil, d'autres comme l'éclair, d'autres comme le nuage, d'autres comme des comètes, d'autres comme le vent, d'autres comme les chameaux, d'autres comme la course de l'homme. Viendra enfin celui qui recevera la lumière sur le bout de son orteil, rampant sur son visage, ses pieds et ses mains. Ses flancs seront touchés par le feu. Mais il continuera à se traîner jusqu'à ce qu'il soit sauf. Là, il se mettra debout au bord de l'enfer et dira :«Qu'Allah soit Loué pour m'avoir accordé ce qu'il n'a accordé à personne, en me délivrant de l'enfer, après l'avoir vu de mes propre yeux
    On l'emmènera vers une source à la porte du Paradis pour se laver. Il acquiera l'odeur des ses élus du paradis ainsi que leur mine. A travers une fente dans la porte du Paradis, il observera ce qu'il y aura au Paradis, il dira : «Seigneur, faites-moi entrer au Paradis ! » Allah lui répondra (dira) :«Tu me demandes à présent le paradis alors que Je viens de te sauver de l'enfer ?».

    Il dira : «Seigneur mets entre moi et elle (l'enfer) un voile jusqu'à ce queje n'entende plus son bouillonement !»

    Il sera alors introduit (par la Clémence d'Allah) au Paradis et il verra (devant lui) ou on bâtira une demeure si somptueuse qu'il se sentira comme dans un rêve et il dira : «Seigneur, donne-moi cette demeure !». Allah lui dira : « Ne demanderas-tu donc pas une autre si je te donne celle-çi ?». Il dira : « Non, je le jure par Ta puissance je n'en demanderai pas d'autre, et puis y'a t-il une demeurre meilleur que celle-çi ?». Alors il lui donnera (accordera) et il s'y installera. (Puis) il verra devant sa demeure une autre demeure, qui paraît comme un rêve par rapport à celle qu'il occupe. Il dira (alors) : « Seigneur donnez-moi cette maison.» Et Allah (teberak-outerela) lui dira :« Peut-être demandera tu une autre si je te donne celle-çi ?». Il dira :« Non par ta Toute Puissance (je ne demanderai pas), d'ailleurs qu'elle maison pourrait être meilleuir que celle-çi ?»Il lui accordera et il s'y installera. Ensuite il gardera le silence. Alors Allah (l'exalté !) lui dira : «Pourquoi ne me demandes -tu rien ?». Il dira : «Seigneur je vous-ai demandé tellement de choses que j'en suis embarassé.» Allah lui dira : «Seras-tu satisafait si je te donne l'équivalent des biens du bas-monde depuis que le l'ai créé jusqu'à ce que Je l'ai anéantis, et dix fois plus ?». Il dira : «Vous vous moquez de moi alors que vous êtes le Seigneur de la Toute Puissance ?». (Son Seigneur lui accordera alors se qu'il lui a dit -dans une version-). Allah exalté dira :"Non, j'en suis capable". L'homme demandera : « Permetez-moi de rejoindre les élus du Paradis.» Allah le lui permettra. Il s'en ira, pressant le pas dans le Paradis.

    Avant d'atteindre les gens, un palais de perle se dressera devant lui. Il se jette aussitôt prosterné par terre, on lui dira :«Lève-toi, qu'as-tu donc ?» il dira : «J'ai vu mon Seigneur», on lui dira :«ce n'était qu'une de t'es demeures.» Il trouvera ensuite un homme pour lequel il s'apprêtera à se prosterner lorsque celui lui dira : «Je ne suis qu'un de Vos trésoriers et servants, 1000 (mille) autres qui me ressemblent son sous mes ordres, tous à Votre service.»

    Le gardien le devancera pour lui ouvrir la porte du palais. C'est un palais creusé dans une perle, dont les plafonds, les portes, les serrures et les clefs sont tous faits de perles. Face à l'entrée se trouve une pierre précieuse de couleur verte aux creux de laquelle se trouve une autre rouge comportant soixante-dix portes qui mènent chacune à une chambre de couleur en pierre précieuse verte dont chacune mène à son tour à une autre chambre de couleurs diffèrentes d'entre elles les unes des autres. Chacune de ses chambres contient des lits, des épouses et des servantes. La moindre de celle-çi est une HOURI vêtue de soixante-dix habits. La moelle sera visible à travers la chair, les os et même les habits de cette houri.

    Son coeur sera un miroir pour elle et réciproquement.
    A chaque fois qu'il s'en éloigne un moment, elle deviendra soixante-dix fois plus belle à ses yeux et il lui dira :«Je jure par Allah que je vous trouve soixante-dis fois plus belle qu'avant.» Elle lui répondra pareil.
    On lui dira : «Regardez ! » Il regarde et voilà qu'on lui dira :« Voici votre propriété. Elle s'étend sur une distance de cent ans de marche que tu pourra quand même embrasser du regard. »

    (alors) Ibn Ma'soud rapporte ensuite : Omar dit :
    « N'entends-tu pas ce que nous rapporte Ibn Oum 'Abd, ÔKa'b au sujet des élus du Paradis qui occupent le rang le plus bas ? Qu'en est-il alors de ceux aux rangs élevés ? » Il lui répondit :
    «Ô Commandeur des croyants (il y est au Paradis) ce que nul oeil n'a vu, et ce que nulle oreille n'a jamais ouïe », puis il cita le reste du hadith.

    Rapporté par Ibn Abi Dounya, Tabarany et el Hakim.
    wa qal Sheikh el Alam Albani : Sahih (authentique).
    Référence :«Tarr'ib wa tar'ib», volume 3, chapître "le livre de la réssurection et des affres de ce jour", sous chapitre relatif : "au rassemblement au jour du jugement dernier". Pages 418, 419, 420, 421, 422.


    Quelques nota bene :
    (3)
    As-Sirât : est le nom du pont situé au-dessus de la Géhenne; Après leur séparation du lieu de stationnement, les gens arriveront vers l'endroit des ténébres, situé sous le pont Sirat, tel qu'il est mentionné dans le hadith rapporté par Aïcha. C'est ce qui est signifié dans le dire de Aïcha (qu'Allah l'agrée) : «Le messager d'Allah fut questionné, à savoir où se trouveront les gens, le jour où la terre sera changée, ainis que les cieux ?» Il répondit : «Ils seront dans les ténébres sous le pont ! »
    (Hakida Tahawiyya, P126).





     

     

    anasheeds libres

    05/04/2008 20:03

    anasheeds libres



    Voila un site pas mal , un genre de radio programmable qui diffuse des anasheeds librement ,
    Des artistes comme :
    Sami Yusuf
    Ahmed Bukatir
    Burda
    Iman
    Mesut Kurtis
    Muhammed al Husayn
    Native Deen
    Raihan
    Zain Bhikha
    Et autre....





     

     

    Prénoms Féminins

    05/04/2008 20:01

    Prénoms Féminins


    Prénoms Féminins

    A

    Abida = se consacre à l'adoration de Dieu

    Abla = en bonne santé

    Achika = l'Amoureuse

    Achwak = désir, passion

    Adiba = lettrée, cultivée

    Adila = bien faite, au corps équilibré

    Adra = la pureté (Audrey)

    Afaf = pureté

    Afia = sauvegarde divine

    Afifa = chaste, prude, fait preuve de retenue

    Ahlem = rêveuse

    Aïcha = pleine de vitalité

    Aïda = récompense, pardonne

    Akila = sensée, sage

    Alia = élevée, noble, supérieure

    Amana = fidélité

    Amaria = a la foi (Anne-Marie)

    Amber = ambre

    Amel = espoir

    Amina = digne de confiance, (Aminata)

    Amira = princesse

    Amra = vie

    Anane = nuage, horizon

    Angham - Anram = mélodies

    Anika = gracieuse

    Anissa = cordiale, courtoise

    Aouatif - Awatif = sentiments affectueux

    Asma = a de beaux traits

    Asrar = secrets

    Assia = celle qui protège

    Atefa - Atifa = sensible

    Atika = noble

    Azhar = blancheur éblouissante. fleurs

    Aziza = aimée, chérie

    Azza = grandeur, notoriété



    B



    Bachira = porteuse de bonnes nouvelles

    Bachra = élégante

    Badia = délicate

    Badira = aussi lumineuse que la pleine lune

    Badra = lumineuse

    Bahia = superbe

    Bahidja - Bahdja = pleine d'allégresse

    Bakhta = bonne fortune

    Bariza = éminente, qui se distingue

    Basma = sourire

    Batoul = détachée du monde

    Baya = distinguée

    Bouchra = bonne nouvelle

    Bouthaïna - Bettina = femme à peau douce



    C



    Chadia = enjouée, gracieuse

    Chafia = guérit, apaise

    Chafika = tendre

    Chahéra = distinguée

    Chahida = témoin de la vérité

    Chahinez = (persan) la préférée

    Chahra = celèbre

    Chahrazad = finesse et sensibilité

    Chaïma = marquée d'un grain de beauté

    Chakera - Chakira = reconnaissante

    Chakiba = généreuse

    Chérifa = noble, honnête

    Chirine = douce charmante

    Chourouk = lever du soleil



    D



    Dalal = dorlotée

    Dalia = fière (Dahlia)

    Dalila = aimée, dorlotée

    Deloula = choyée

    Dawiya = radieuse

    Dehbia = précieuse, très chère

    Djamila = belle

    Djawida = généreuse, gentille

    Dora = perle fine et rare

    Douha = matinée

    Douja = qui protège

    Dounia = la vie sur terre

    Drifa = aimable



    E



    Emna = loyale, croyante

    Esma = sublime



    F



    Fadila, Fadéla = digne, vertueuse

    Fadia = qui sacrifie sa vie pour sauver quelqu'un

    Fahima = intelligente, vive

    Fahmia, Fahmiya = douée de compréhension

    Fairouz = la Turquoise

    Faiza = triomphante

    Farah = joie, gaieté

    Farida = unique

    Faroudja = dissipe les soucis

    Faten = charmante, ravissante

    Fathia = a un caractère ouvert

    Fatiha = qui ouvre toutes les portes (1ere sourate du Coran)

    Fatima = "Accoutumée" fille du Prophète

    Fattouma = jeune chamelle sevrée

    Fella = fleur de jasmin

    Feryel = (or.perse) justice

    Fitna = charme, séduction

    Fouzia = glorieuse



    G



    Ghada = belle et vertueuse

    Ghalia = précieuse

    Ghania = libérée, riche

    Gh'zala = antilope

    Ghizlène = gazelle




    H



    Habiba = amie, bien-aimée

    Hacina = chaste

    Hadda = chaleureuse

    Hadia = offrande

    Hadja = Pèlerin

    Hadjar = mère d'Ismael, ancetre des arabes

    Hadjira = noble

    Hafida = protège

    Hafsa = lionne

    Hakima = équitable

    Hala = auréole

    Halima = douce

    Hamida = agréable

    Hanane = douce

    Hania = tranquille

    Hanifa = croyante

    Hanna = affectueuse

    Hasna = belle

    Hassiba = respectable

    Hayet = vie

    Hawa - Haoua = Eve

    Hébara = Colombe

    Hiba = Don, Cadeau

    Hind = caline

    Hosnia = vertueuse

    Houda = bonne direction- la voie

    Houria = pure



    I



    Ibtsissem = Sourire

    Ichrak = Radieuse, rayonnante

    Ihcen - Ihsen = vertu, bonté

    Ikram = générosité

    Ilham = inspiration

    Imane = la foi, croyance

    Inam = Don de Dieu

    Ines = amabilité

    Intisar = triomphe

    Izdihar = prospérité



    J



    Jalila : majestueuse

    Jemila/Jamila/Djamila/Djemila = agréable au regard

    Jasmine = Jasmin

    Jawed : générosité

    Jawida : tendre

    Johar : perle fine

    Joumana : joyau



    K



    Kadera - Kadra - Khadra = Puissante, capable, opulente

    Kamela = Parfaite, bien proportionnée

    Kamelia = Perfection, réussite, luxe

    Karima = Bonté, générosité

    Kassama = Elégance, beauté

    Kawkeb = Astre

    Kawtar = abondance - fleuve du Paradis

    Kelthoum = A l'origine prénom maculin. A partir de Oum Kelthoum s'emploie au féminin avec ou sans Oum - a des joues colorées

    Kenza = Trésor, richesse.

    Khadija = Premiere épouse du Prophète Mohamad (sws)




    L



    Labiba = Sage

    Lama - Lamia = Jeunes fille aux lèvres brunes, ce qui est un attribut de beauté

    Latefa = Elégante, fine, jolie

    Laziza = meme sens que Aziza - Bien aimée

    Laïla - Leïla = la nuit

    Lila = Comme LEÏLA, compagne de la soirée, de la veillée et de la nuit.

    Lobna - Loubna = Arbrisseau qui donne une résine appelée miel de Loubna qui sert d'encens et de parfum. Héroïne de romans courtois du 7 siècle

    Loutfia = Délicate, douce, plaisante, gracieuse

    Ludmila = De Oudma, brune au teint hâlé



    M



    Mahdia = sur le droit chemin

    Majida = Glorieuse

    Malika = la reine

    Manal = Ce qu'on désire et qui répond à une attente, don

    Maryam = Marie, La vierge Marie, la pieuse

    Marina = Agile, souple, rapide, prompte

    Maya - Miya = Grâce, tendresse, noblesse

    Maïmouna = Dernière épouse du Prophète Muhammad (sws)

    Mebrouka = chanceuse, joie, bénédiction

    Menna - Minna = Favorisée par le seigneur, atteinte par la grâce

    Messaouda = chanceuse

    Monia = Souhait, voeu, désir

    Mordjana = corail



    N



    Nabeha = Intelligence, perspicacité (Nabiha : attentive)

    Nacera = Protectrice, soutien, Victorieuse, Défenseur

    Nadia = Tendre

    Naema - Naïma = délicate

    Najet = Triomphe, victoire, secours

    Nassima = Brise légère

    Nawal = Grâce, faveur

    Neïla = Grâce, bonheur, récompense

    Nora - Nouryia = La Lumière



    O



    Omeïma = L'amour maternel

    Oulfa = Affinité, concorde, intimité

    Oum El Kheyr = la vertueuse



    R



    Rabha = victorieuse

    Rachida = Réfléchie, sensée, bon guide

    Radhia = Bienheureuse, satisfaite

    Raghida = Bonheur, félicitée, prospéritée

    Rahima = Généreuse, clémente

    Rajwa = Espérance

    Rasmia = Décideur, celle qui guide, trace le chemin

    Rebha = Triomphante, victorieuse

    Rehana = Paisible, sereine

    Rouayada = Sensible, douce




    S



    Saada = Bonheur, joie, liesse

    Sabah = Lumière, clarté, beauté

    Sabera = Patiente, endurante, persévérante

    Sadika = Loyale, honnête

    Safa = L'un des deux promontoires rocheux près de la fontaine de Zamzam (Safa et Marwa).

    Safia = Loyale

    Safoua = Cristal de roche.

    Safwa = Pure. Mais aussi l'ami fidèle

    Saïda = hereuse

    Sajida = prosternée devant Dieu

    Sakina = Paix intérieure, sérénité

    Saleha - Saliha = Vertueuse, honnête, pieuse

    Salima = Pure, droite, parfaite

    Salma = Saine

    Salwa = Consolation, plaisir

    Samaha = Générosité, indulgence

    Samiha = Bienveillante, généreuse

    Samira = bonne compagne

    Sana = Elévation, splendeur

    Saniya = Brillante, belle

    Sarah - Sara - Saraï - Sâra - Serra = Epouse d'Abraham et mère d'Ishaq (Isaac). En Hébreux : celle qui commande aux princesse.

    Sawsane = Fleur changeante : l'iris mauve, jaune ou blanc

    Chahrazad - Cheherazade = Précieuse

    Sheïlla - Chehla = Qui a des yeux bleus marine

    Siham = Flèche

    Smahan = Vient de ASMA, La beauté

    Sofia = L'amie

    Sonia = Chaste, vertueuse

    Soraya = Constellation d'étoiles. Personne rayonnante

    Souad = Félicité, bonheur

    Souhaïr = qui veille




    T



    Tahfa - Tehfa - Tohfa = Don, présent, cadeau

    Tawbia = Bénédiction, récompense

    Taïla = La beauté, la grâce, l'élégance

    Tesnim = Non d'une source au paradis appelée aussi Selsbil

    Thamïna = Très chère



    W



    Wafa = Fidélité

    Wahiba = Généreuse

    Wahida = unique

    Warda = La rose, fleur

    Wassima = Beau visage

    Wided = Compagne, amie, affection



    Y



    Yacera - Yessira = Prospère, heureuse

    Yachem - Yachema = La pierre de Jade

    Yamina = Heureuse, prospère, Fortunée

    Yasmine - Yasmina - Jasmine = Fleur de jasmin. Mais aussi rondelette, bien portante.

    Yassera = Agréable, facile à vivre

    Youmna = Bénie, consacrée

    Yousra = douce, concilliante

    Yousria = Paisible nature — facilité de vivre



    Z



    Zahia = radieuse

    Zahida = Qui se voue à Dieu

    Zahila = Calme, sereine

    Zahra = Qui a le teint éclatant. lumineuse

    Zakia = Chaste, pure

    Zeina = La beauté, belle

    Zeneb - Zeïneb - Zineb = Arbrisseau au parfum agréable. Epouse de Zeïd, sa beauté et son charme troublèrent Sidi Mohamed le Prophète.

    Zohra = La beauté, l'éclat, blancheur

    Zoleikha - Zouleikha = Belle et bien portante. Symbole de la beauté féminine et de la séduction.

    Zoubida - Zabida - Zoubaïda = élégante, Reine d'Arabie au 8ème siècle





     

     

    La Parole d'Allâh(swt)

    05/04/2008 19:13

    La Parole d'Allâh(swt)


    Un hadith dit :
    «Rairoukoum man tahalamal qourhana wa alamahou»

    Traduction:
    «Le meilleur d'entre vous est celui qui apprend le Qourâne et l'enseigne !» 
    Explication:
    Dans ce hadith le Saint Prophète Rassouloullah (SAW) nous montre la supériorité de celui qui apprend le Qour'âne et l'enseigne aux autres. D'après le sens d'un Hadith, il est dit que la parole d'ALLAH est superieure à la paroles des êtres humains exactement comme ALLAH LUI-MEME est supérieur à toutes ses créatures. Ainsi, il est évident que celui qui apprend le Qour'âne et l'enseigne aux autres soit supérieur aux autres.
    Dans un autre hadith Rasouloullah (SAW) a encore dit :

    « Yakoulou lisahibil qourani iza dahalal djanah : Ikra Washad Fayakrahou Wayashadou Bikoulli Ayatin Darajah. Hatta yakrahou chayhin mahah » 

    Traduction:
    "Le jour du «Quiyamaate», au moment de pénétrer dans le «Djannate», il sera dit à l'homme du Qour'âne: « lis et gravis les échelons du Paradis!» Il lira alors et montera d'un grade à chaque verset jusqu'à faire la lecture du dernier verset qu'il connait par coeur"


    L'homme du Qour'âne signifie le « Hafiz ». Moualla Ali Qari (RA) a expliqué que cet honneur est réservé au «Hafiz» et ne s'applique pas à celui qui lit le Qour'âne sans le connaitre par coeur:
    Il y a 2 raisons à cela:
    1- Le terme 'Saahibé Qourâne' est employé généralement pour désigner le Hafiz
    2- Dans le :«Masnadé-Ahmad», il est rapporté le même genre de tradition avec la phrase suivante: «jusqu'à ce qu'il récite ce qu'il possède avec lui du Qourâne » 

    Les commentateurs et les savants disent que pour chaque verset lu, le lecteur seré élevé d'un grade au Paradis. D'ailleurs, la Mère des croyants, Hazrat Aïcha (Raa) déclare qu'il a autant de grades au Paradis que de versets du Qourâ'ne.

    Le Qour'âne est la parole sacrée D'allah, nous nous devons en tant que musulman de préserver ce cadeau pour lequel Rasouloullah (SAW) a lutté pendant 23 années...Aujourd'hui de plus en plus de gens oublie l'importance de ce Kalamoullah qui pourtant devrait être le centre de notre occupation... Apportons donc un peu de lumière dans nos vies en faisant l'effort de le lire et de l'apprendre (pour les Hifz)...


    Commentaire de khadija (05/04/2008 19:18) :

    oui, mais avant de le réciter en arabe il faut avant tout le comprendre en entier pour pouvoir l'enseigner dans notre langue maternelle afin de connaître les significations profondes et de se repérer par rapport à chaque sourates. ensuite, nous pourrons réciter le qor'an et le lire en arabe en sachant de quoi parle-t-on , quelle est cette sourate que je suis en train de réciter au nom d'allah le très haut, le très grand ?


    Commentaire de Yâ-Sin, (05/04/2008 19:20) :

    Salam alaykoum, Magnifique est ton blog,Momowally, sur l'Islam MachAllah ! C'est bien que de plus en plus de monde s'intéresse à l'Islam. J'ai un blog http://ya-sin.blogspot.com Fais-moi un coucou !


    Commentaire de islam girl, (05/04/2008 19:25) :

    > > >>>Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très > > >>>Miséricordieux. Une soeur Palestinienne dit avoir vu > > >>>dans son sommeil le messager d'Allah, le Saint et béni prophète > > >>>Mohamed (que la paix et la benediction d'Allah soient > > >>>sur lui), et lui a recommandé de passer la salutation > > >>>(le salaam) aux gens. Celui qui lit ce message, doit à > > >>>son tour le transmettre aux autres et doit attendre 4 > > >>>jours avant de vivre un événement positif qui fera de > > >>>lui un être très heureux. Par contre celui qui ne le > > >>>transmet pas après l'avoir lu, > > >>>traversera une période difficile et sera très triste. > > >>>Ce message est une dette jusqu'au jour de la > > >>>retribution. " > > >>>Laa Illaha ila anta soubhanak ini > > >>>kountou min aldaalmin". Envoie ce message à 25 > > >>>personnes et tu dois t'attendre à de bonnes nouvelles > > >>>Incha Allah karim ! > > >>> wa salam


    Commentaire de Zitouna59, (05/04/2008 19:27) :

    salam alykoum...je sui de passage sur ton blog quié pa mal kallah vous protege des malheurs et vous guide ds le droit chemin, inchallah ! jvous souhaite une tres bonne continuation et venez faire un tour ds mon blog ya kune foto mai ki prouve tout ^^ laisser vos 5 coms svp si c pa trop demander tout sera rendu salam alikoum




     

     

    la pratique des Médinois dans la méthodologie de l'imam Malik

    02/04/2008 23:10

    la pratique des Médinois dans la méthodologie de l'imam Malik




    Assalamu' alaykoum wa rahmatoullahi ta'ala  wa barakatouhou,chers (es) et frères et soeurs voici :
    la pratique des Médinois dans la méthodologie de l'imam Malik

    Mâlik (raa) considérait la pratique des Médinois comme une source de son
    fiqh, et c'est pour cela qu'il aimait à ajouter après avoir cité récit ou
    hadith : « Ce que nous considérons comme objet de consensus chez nous »,
    ou bien il citait un élément étayant sur lequel il s'appuyait avec
    force, s'il ne trouvait pas de récit traditionnel. Il affirme cela
    clairement dans son épître à al-Layth Ibn Sa`d, dont il a déjà été question :

    J'ai appris que tu émettais des fatwas sur des sujets divers, en
    contradiction avec ce à quoi sont habitués les gens chez nous et dans la
    ville où nous résidons.

    Or, étant donné la crédibilité et la considération dont tu jouis auprès
    des habitants de ton pays, pour tout ce qui leur vient de toi et qui
    satisfait leurs besoins, tu as le devoir de craindre pour toi-même, et
    de suivre ce dont nous espérons le salut, car Dieu dit dans Son livre :
    « Et les précurseurs parmi les émigrés et les partisans... » (Coran S9,
    V100). Et Il dit encore : « Et annonce la bonne nouvelle à mes
    serviteurs, ceux qui entendent la Parole et suivent ce qu'elle contient de
    meilleur...
    » (Coran S39, V17-18). Et les gens n'ont qu'à suivre les
    habitants de Médine : C'est vers elle que le Prophète a émigré, là que le
    Coran a été révélé,... » [1]

    Puis Mâlik explicite les raisons qui l'ont poussé à adopter ce point de
    vue :

    « Et la raison essentielle à cela, c'est le fait que le Coran avec ses
    prescriptions y a été révélé et que ses habitants sont les pre-miers à
    avoir dû appliquer les obligations religieuses, à ordonner le bien et
    interdire le mal et à faire triompher la religion, puis est apparu après
    le Prophète () ses plus fidèles partisans, Aboû Bakr, 'Omar et
    `Othmân
    , appliquant sa Sounna après l'avoir étu-dié en profondeur. Les
    Suivants firent de même, et Médine hérita ainsi de leur temps la science de la
    Sounna et le fiqh de l'Islam. »

    Voilà la référence argumentaire de Mâlik concernant la pratique des
    Médinois, qu'il faisait parfois passer avant le récit singulier pour la
    raison qu'il considérait cette opinion notoire et en vigueur à Médine
    comme une Sounna rapportée et connue. En fait, il semble que cette méthode
    ne soit pas une invention de Mâlik, et son maître Rabra ar-Ra'y disait
    à ce propos : « Mille personnes rapportant de mille autres vaut mieux
    qu'une rapportant d'une seule
    ». Et Mâlik dit : « J'ai vu Mohammad Ibn
    Abî Bakr 'Amr Ibn Hazm, qui était cadi, tandis que son frère 'Abd Allâh
    était un grand connaisseur de hadîth et un homme sincère, lorsque son
    jugement contredisait un hadîth, se faire rabrouer par 'Abd Allah, qui
    lui disait : « N'y a-t-il pas un hadîth sur cette question ? — Certes,
    lui répondit l'autre. — Alors, pourquoi ne te réfères-tu pas à lui pour
    ton jugement ? — Qu'en penseraient les gens ?
    », disait-il alors,
    c'est-à-dire que ce sur quoi les vertueux de Médine s'entendent est pl!
    us digne d'être appliqué. [2] On voit ainsi que ce n'est pas Mâlik qui
    fut le précurseur de cette méthode, mais d'autres avant lui, et qu'il
    n'a fait qu'atta-cher son nom à elle, car il consigna certaines fatwas
    en contra-diction avec les récits qu'il rapportait.

    On voit donc que Mâlik admettait comme référence argumentaire le
    consensus des savants de Médine, et qu'il rejetait le récit singulier s'il
    contredisait ce consensus, considérant leur science comme plus fiable. Et
    les propos transmis de Mâlik font référence à deux types de pratiques
    médinoises : celles qui ne peuvent être connues que par transmission,
    comme l'appel à la prière ou les mesures de poids prophétiques, ainsi
    que celles connues par effort d'interprétation, comme certains verdicts
    concernant les transactions entre les gens. Et il semble que les
    Malikites ne se soient pas accordés par la suite sur une telle généralisation,
    et aient préféré distinguer ce qui est transmission de ce qui est
    interprétation et induction.

    Et ils affirment dans leurs livres que, pour Mâlik, seules les
    pratiques médinoises connues par transmission sont acceptables. Al-Qarâfî
    affirme à ce propos : Le consensus des Médinois n'est une réfé-rence
    argumentaire pour Mâlik, contrairement aux autres, que lorsqu'il parvenait par
    transmission, avec pour preuve la parole du Prophète () « Médine
    chasse ses impuretés comme le soufflet de forge chasse les impuretés du fer
    ». L'erreur étant une impureté, il convient de la rejeter, et leurs
    divergences étant transmises par les Anciens, et les fils rapportant des
    pères, le récit sort de la conjecture et de l'hypothèse pour rentrer
    dans le domai-ne de la certitude.

    Certains Compagnons ont par ailleurs affirmé que le consensus absolu
    (al-ijmâ al-moutlaqI) était une référence argumentaire, même s'agissant
    d'une pratique non transmise. Et ils citent comme preuve de ce caractère
    absolu du consensus le hadîth : « Ma communauté ne tombera pas
    d'accord sur une erreur », en affirmant que dans le cas où il avait
    contra-diction entre formulation (mantoûq) et sens (mafhoûm) c'était la première
    qui primait.

    Le cadi `Iyyâd précise par ailleurs les quatre types de transmission
    qui doivent faire l'objet du consensus des savants
    — Les paroles transmises du Prophète (), comme l'appel à la prière.
    — Sa pratique comme la description de la prière et du nombre de
    génuflexions.
    — La transmission de sa confirmation de ce qu'il avait vu d'eux, sans
    l'avoir rejeté.
    — La transmission de son abandon de certains faits qu'il avait vus
    d'eux, et de prescriptions qu'il ne leur imposa pas, malgré leur renommée
    chez eux, comme la zakât sur les légumes.


    Il faut dire aussi que, même si les Malikites sont devenus célèbres
    pour cette opinion, d'autres la partageaient également avec eux. C'est le
    cas d' ach-Châfi'î lui-même, qui respectait le consensus des Médinois
    qui ne pouvait qu'avoir sa raison d'être. Et s'ils divergeaient avec les
    Malikites, c'était sur un seul point la question de la réalité du
    consensus.

    Quant à Ibn al-Qayyim dans A `lâm al-mouwaqqa"in, il distingue trois
    types de pratiques des Médinois dans le cas de la transmission : un
    premier, la loi transmise du Prophète, semblable à ce que mentionne le cadi
    Iyyâd, un second, la transmission de la pratique permanente, comme les
    legs pieux, le métayage et l'appel à la prière sur des lieux élevés.
    Enfin, un troisième, la transmission des lieux et des quantités. Et Ibn
    al-Qayyim a affirmé que cette pratique était une référence argumentaire
    qu'il convenait de suivre, ainsi qu'une Sounna acceptable. [3]

    Il ressort de tout cela que Mâlik acceptait sans critique le consensus
    des Médinois si sa source était la transmission, alors que si celle-ci
    était l'induction, les avis divergent. Certains Malikites rapportent
    trois types d'opinions :



    — La première, que l'induction n'est pas une référence argu-mentaire,
    sans que l'on donne la priorité à l'interprétation des Médinois par
    rapport à une autre. C'est ce qu'affirme al-Abhart


    — La seconde, c'est que tout en n'étant pas une référence
    argu-mentaire, leur interprétation est préférée à celle des autres. Certains
    Malikites et certains Chafiites l'ont adoptée.


    — Et la troisième, c'est que leur consensus par interprétation est une
    référence argumentaire. La lettre à al-Layth semble indiquer que c'est
    l'opinion de Mâlik lui-même, ainsi que de la plu-part des Maghrébins.
    Al-Qarâti le laisse aussi entendre.


    On voit donc que si les Malikites sont en accord dans le cas de la
    transmission, il n'en est pas de même en matière d'interprétation, même si
    dans leur majorité, ils l'admettent comme référence d'argumentation.
    Concernant la question de la pratique médinoise si un récit singulier
    vient la contredire, il faut distinguer les deux types de consensus : dans
    le cas d'une transmission, le consensus précède le récit singulier,
    car il s'agit alors d'une transmission notoire, et que le récit singulier
    ne peut la contredire, car il est conjectural et que le notoire est
    indiscutable. Cela est accepté par tous les Malikites. Cela n'est plus le
    cas si le consensus s'appuie sur une interprétation, en tout cas pour
    la plupart des Malikites.

    Ibn al-Qayyim a explicité la différence entre les deux types de
    consensus des Médinois lorsque le récit les contredit en ces termes : «On sait
    que la pratique à Médine après l'époque des califes bien dirigés et
    des Compagnons dépendait des muftis et des princes qui s'y trouvaient,
    ainsi que des contrôleurs des prix (mouhtasib, et le peuple ne s'y
    opposait pas. Ainsi, lorsque le mufti émettait un avis, le gouverneur le
    faisait appli-quer et le contrôleur des prix s'y conformait. C'est ce à
    quoi on ne s'intéressait pas lorsqu'il y avait contradiction avec les
    traditions, et non pas la pratique du Prophète, de ses successeurs et des
    Compagnons. Les deux ne se mélangent pas, et nous confirmons fermement
    l'un, tandis que nous abandonnons l'autre lorsqu'il contredit la Sounna.
    Rabi' a Ibn Abî 'Abd ar-Rahrnân pratiquait l'iftâ' , le contrôleur des
    prix Soulaymân Ibn Bilâl faisait appliquer sa fatwa et le peuple la
    mettait en pratique, comme cela apparaît dans les régions où seule l!
    a doctrine malikite prévaut... Sinon, celui qui n'en tenait pas compte
    était blâmé. »

    Il conclut en affirmant qu'un consensus ayant pour fondement la
    transmission n'est jamais contredit par une Sounna authentique, tandis
    qu'aucune pratique fondée sur l'interprétation ne peut passer avant une
    Sounna.[4]

    Il nous faut convenir du fait que Mâlik, lorsqu'il arguait du consensus
    médinois, ne se limitait pas aux questions connues uniquement par
    transmission, mais citait également les cas où intervenait l'opinion. Ses
    termes dans l'épître à al-Layth confirment cette généralisation comme
    nous l'avons vu dans la réponse d'al-Layth et à propos des questions sur
    lesquelles ils diver-geaient, comme celle de l'abandon et du divorce.
    Cependant, donnait-il la priorité au consensus des Médinois sur le récit
    traditionnel si celui-ci était de nature singulière (âhâd)

    On a vu qu'il étudiait les hadîth avec minutie et esprit critique,
    comparant avec les sources générales et les principes fixes que les sources
    concordaient à établir. Parfois, à la lumière de ce qui était pratiqué
    et transmis des Suivants, et avant eux, des Compagnons, il considérait
    certains récits comme faibles, même s'il se fondait pour cela dès le
    début sur une interprétation qu'il faisait sienne, car il détestait
    l'outrance (al-ighrâb,) lorsqu'il y voyait une déviation.


    notes:
    1. Al-madârik, p. 34.
    2. Al-madarik, p. 37.
    3. A`lâm al-mouwaqqa'in, partie 2, p. 304
    4. A`lâni al-mouwaqqa7n, p. 308.

    Par Muhammad Abou Zahra dans "al Imam Malik, Hayatuhu wa 'Asruhu"






     

    Début | Page précédente | 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 | Page suivante | Fin
    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact momowally ]

    © VIP Blog - Signaler un abus