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Taîba Niassène
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Taîba Niassène

VIP-Blog de momowally
bayy-99@hotmail.com

  • 143 articles publiés dans cette catégorie
  • 313 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 25/06/2007 20:12
    Modifié : 18/01/2014 10:26

    Garçon (38 ans)
    Origine : Abidjan
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    La femme a-t-elle le droit de sortir en étant parée de ses

    08/05/2008 20:06

    La femme a-t-elle le droit de sortir en étant parée de ses


    Assamu'alaykum chers frère et soeurs ,voici une question  recurrente :
    A la base, la femme se fait belle chez elle et pour son mari. Or, si
    elle met en évidence sa beauté et ses charmes dans les marchés, sur les chemins, au milieu des gens, alors cela est interdit à la femme
    musulmane.

    Allâh(swt) a dit:
    Traduction relative et approchée : « Et ne vous exhibez pas à la
    manière des femmes d’avant l’Islam (de la Djahiliya). Accomplissez la Salât et acquittez-vous de la Zakât et obéissez à Allah et à Son Messager
    ».
    (Sourate 33, verset 33)

    Et Allâh(swt) a dit également dans cette sourate :
    Traduction relative et approchée : « Restez dans vos foyers et ne vous exhibez pas à la manière des femmes d’avant l’Islam ».

    ( Sourate 33, verset 33)

    La femme ne doit donc sortir que pour un besoin, pour se rendre au
    marché ou ailleurs si elle n’a personne qui peut le faire pour elle (son
    mari, son frère, son père ou l’un de ses proches).
    Or, lorsqu’elle s’embellisse et sorte ainsi sans aucun besoin, ceci n'est pas permis. Certes, le Prophète (qu’Allâh prie sur lui et le salue) a
    autorisé les femmes à se rendre à la mosquée si elles ne sont pas
    parfumées  et celles qui le sont doivent revenir chez elles car le fait de se parfumer est une sorte de « zina » (adultère), qu’Allâh nous en préserve !

    D'ailleurs, 'Aïcha (qu’Allah l’agrée) a dit : « Si le Prophète
    (qu’Allah prie sur lui et le salue) savait ce que les femmes font
    (aujourd’hui), il leur aurait interdit de sortir à la mosquée comme cela a été interdit aux femmes de Bani-Israël
    ».
    Ainsi, 'Aïcha (qu’Allah l’agrée) nous signale un changement de
    comportement entre les femmes qui vécurent à l’époque du Prophète (qu’Allah prie sur lui et le salue) et les femmes qui vinrent après sa mort. Cela a eu lieu pendant les meilleurs siècles alors que dire aujourd’hui de ces
    nombreuses femmes qui sortent pour aller à la mosquée en exhibant leurs atours et leurs charmes, semant ainsi tentations et désordre, sans parler de celles qui se rendent de la sorte dans les marchés!
    Le Prophète (qu’Allah prie sur lui et le salue) a dit :
    «Je n’ai pas laissé derrière moi un mal plus nuisible pour les hommes
    que les femmes !
    ».
    (Rapporté par al-Boukhari et Mouslim)

    Certes, la femme, de face ou de dos, est tentatrice tel un démon. Elle doit par conséquent se préserver elle-même et préserver les musulmans de son mal et du mal de sa "fitna".
    Traduction relative et approchée :
    « Restez dans vos foyers et ne vous exhibez pas à la manière des femmes d’avant l’Islam ».
    (Sourate33, verset 33)

    Cheikh Rabi' ibn Hadi al Madkhali (Qu'Allâh le préserve !)  



    Commentaire de Shaïda (08/05/2008 20:13) :

    salam alaykoum, La femme peut certes être un objet de tentation mais celle-ci est aussi une contemplation de Dieu(swt). Lorsqu'on contemple Allah(swt) à travers elle, on la voit sous la forme la plus parfaite. Le prophète(saw) cconseille d'aimer ses femmes à cause de la parfaite contemplation en elles. "Allah(swt) a crée les femmes pour compagnies mais aussi pour Les contempler" disait le sage Ibn el arabi


    Commentaire de Hind (08/05/2008 20:15) :

    As salamu'alaykoum Certes, la femme, de face ou de dos, est tentatrice tel un démon. barakALLAHufik, j'ai eu un cours sur ça et on nous a expliqué que les femmes croyantes et pudiques ne sont pas concernées... comme a dit l'auteur faut s'en préserver.




     

     

    Qu'en est-il de l'imâmat (conduite de la prière) de la femme pour des femmes ?

    08/05/2008 17:35

    Qu'en est-il de l'imâmat (conduite de la prière) de la femme pour des femmes ?



    SALAM ALAIKUM ,MES FRERES ET SOEURS


    Pourriez vous m'aider sur ce rappel ?

     j'ai du mal à comprendre ce que j'ai surligné en rouge
    BARAKALLAHOUFIKUM

    Question : Qu'en est-il de l'imâmat (conduite de la prière) de la femme pour des femmes ?

    Est-il conseillé, déconseillé à la femme de prier en commun avec ses semblables ?

    Réponse : La question de l'accomplissement de la salât en djamât (groupe) pour les femmes entre elles fait l'objet de certaines divergences entre les oulémas. Il y a principalement trois opinions qui ont été émises à ce sujet:
    -Selon l'avis des châféites et celui qui fait autorité chez les hambalites, s'il y a plusieurs femmes qui sont réunies pour prier, il leur est recommandé d'accomplir la salât en groupe plutôt que de prier de façon isolée. Cet avis repose essentiellement sur les arguments suivants:

    « Le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) a affirmé : « La prière en groupe a vingt sept fois plus de valeur que celle accomplie isolément.» (Mouslim, Mousnad Ahmad, Nasaï)

    Les termes de ce Hadith ont une portée générale, et concernent donc aussi bien les hommes que les femmes.

    Oumm Waraqah bint abdillâh ibnil hârith rapporte que le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) avait l'habitude de lui rendre visite chez elle (les vendredi, comme mentionné dans certaines versions du Hadith); (à sa demande), le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) lui désigna un mouadh-dhin qui lançait pour elle l'appel à la prière, et il (sallallâhou alayhi wa sallam) lui ordonna de diriger la salât pour les gens de sa maison. Abdour Rahmân (rahimahoullâh) -celui qui rapporte le Hadith de Oummou Waraqah (radhia Allâhou anha)- dit qu'il a vu que son mouadh-dhin était un vieil homme. (Abou Dâoûd, Mousnad Ahmad)
    Râïtah al hanafiyah (rahimahallâh) rapporte que Aïcha (radhia Allâhou anha) a officié en tant qu'imâm pour des femmes lors de prière obligatoire et elle s'est mise debout au milieu d'elles. (Mousnad Ahmad, Mousanaf Abdour Razzâq, Bayhaqui, Dâr Qoutniy; une Tradition similaire est rapportée de Atâ (rahimahoullâh) dans le Mousannaf de Ibn Abi Chaybah)
    L'Imâm Ach Châféï (rahimahoullâh) rapporte que Oummou Salmah (radhia Allâhou anha) a dirigé la salât pour des femmes et elle s'est mise debout au milieu d'elles. (Mousnad ouch Châfeï, Moussannaf Ibn Abi Chaybah et Abdir Razzâq)
    Selon l'avis des hanafites, dans le cas où il y aurait plusieurs femmes qui seraient réunies, il leur est préférable de prier seules : L'accomplissement de la salât en groupe pour elles est makroûh.
    Cette opinion repose essentiellement sur les éléments suivants:
    Aïcha (radhia Allâhou anha) rapporte que le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) a dit: « Point de bien dans l'accomplissement de la prière en groupe des femmes, sauf à la mosquée ou pour le rite mortuaire d'une personne tuée.» (Mousnad Ahmad et Tabrâni) 1
    Cheikh Adh dhafar al Outhmâni (rahimahoullâh), après avoir cité ce Hadith, écrit que, étant donné que la prière en groupe à la mosquée pour les femmes se fait sous la direction d'un homme, ce qui est condamné ici, c'est bien la prière en groupe que les femmes accomplissent entre elles, ailleurs.

    A cet argument, on pourrait objecter que, comme indiqué dans la Tradition rapportée par Râïtah (rahimahallâh) citée plus haut, il est établi que Aïcha (radhia Allâhou anha) a dirigé elle-même la prière pour des femmes chez elle: Et, selon les principes en vigueur dans le fiqh hanafite même, lorsque celui ou celle qui rapporte un Hadith agit à l'encontre de l'énoncé de ce dernier, la Tradition ne pas servir d'argument.
    Cheikh Al Outhmâni (rahimahoullâh) répond à cette objection en indiquant que le principe cité ne s'applique chez les hanafites que lorsqu'il n'est pas possible de concilier l'énoncé du Hadith avec la pratique de celui ou celle qui le rapporte. Et dans le cas présent, une conciliation est possible… En effet, on peut tout à fait comprendre que:
    - le Hadith que Aïcha (radhia Allâhou anha) rapporte indique une pratique qui est déconseillée (en l'occurrence la prière en groupe pour les femmes entre elles);
    - la Tradition relatant que Aïcha (radhia Allâhou anha) (mais aussi Oummou Salma (radhia Allâhou anha) a dirigé la prière pour des femmes comme une pratique occasionnelle motivée soit par la volonté de montrer que celle-ci est, en soi permise, soit par le besoin d'enseigner à des femmes comment faire la prière.
    Il est en effet évident que le caractère déconseillé d'un acte n'implique pas qu'il soit illicite, bien au contraire.
    Il est rapporté de Ali (radhia Allâhou anhou) qu'il a dit: "La femme n'officie pas comme imâm (lâ taoummoul mar'ah)" ("Al Moudawwanah" de l'Imâm Mâlik (rahimahoullâh), authentifié par Cheikh al outhmâni (rahimahoullâh)) 2
    Cette Fatwâ de Ali (radhia Allâhou anhou) a une portée générale: Elle indique donc que la femme ne doit pas diriger la prière que ce soit pour des hommes ou pour d'autres femmes.
    D'après les mâlékites, les femmes ne doivent pas prier entre elles, en groupe.
    Les savants des différentes écoles s'accordent cependant pour considérer que si une femme dirige la prière pour d'autres femmes (ou pour des filles), elle ne devra pas se mettre devant la (première) rangée (comme le font les hommes), mais au milieu de celle-ci: C'est de cette façon qu'avaient agi Aïcha (radhia Allâhou anha) et Oummou Salma (radhia Allâhou anha).
    Qu'Allâh Azzawajal nous donne la connaissance et nous guide sur le chemin de l'Istiqamat !

    wa salam

     

    (Réf: "Awn oul Ma'boûd" – Commentaires du Hadith N°500, I'lâm oul Mouwaqui'în", "I'lâous Sounan" – Volume 4 / Pages 214 à 217 "Al Moufassal" – Volume 1 / Page 253)





     

     

    Bonne reputation

    06/05/2008 20:20

    Bonne reputation


    Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.


    Selon Abou Hourayra (DAS), le Messager de Dieu (saw) a dit: « Celui qui a lésé son frère dans sa bonne réputation (son honneur) ou autre chose, qu'il s'en acquitte auprès de lui aujourd'hui (dans ce bas-monde) avant qu'il ne se retrouve dans l'autre monde où le dinar et le dirham n'ont plus cours. S'il a alors quelques bonnes oeuvres, on en prend l'équivalent de son injustice (pour le donner à la personne lésée) et s'il n'a aucune bonne oeuvre, on lui fait supporter en compensation une partie des péchés
    de sa victime.
    » (Rapporté par Al Boukhari)

    Selon Abdullah Ibn Amr Ibn Al 'As (DAS), le Messager de Dieu (saw) a dit:
    « Le Musulman est celui dont les Musulmans sont à l'abri du mal de sa langue et de sa main. Le fugitif de la Mecque (Al Mouhajer) est celui qui a fui les interdits de Dieu

    Commentaire:
    On vint une fois dire au Prophète (BSDL) que telle vieille dame observait strictement toutes ses obligations religieuses (prière, jeûne etc...) mais faisait du tort à ses voisins. Il dit sans hésiter: "Elle ira en Enfer ! " .
    Al Mouhajer est celui qui a fui la Mecque pour Médine préférant s'attacher à sa foi plutôt qu'à sa patrie, et ce à cause des persécutions que les idolâtres de la Mecque faisaient subir aux Croyants.

    Mais après la conquête de la Mecque cette fuite ne se justifiait plus.
    Pour avoir la récompense des Mouhajirun il suffit de fuir tout ce que Dieu a interdit.

    BSDL: bénédiction et salut d'Allah sur lui
    DAS: que Dieu lui accorde Sa satisfaction

    Riyad as-Salihin (Les Jardins des vertueux)
    de l'Imam Mohieddine Annawawi 631 - 676
    Traduction et Commentaire du Dr Salaheddine Keshrid (Tunisie)
    Éditeur: Dar Al-Gharb Al-Islami
    Hadith 1: Chapitre 25, Page 97, Numéro 209
    Hadith 2: Chapitre 25, Page 97, Numéro 210




     

     

    Ton jour

    06/05/2008 20:01

    Ton  jour


    «Assalamu'alaykum,chers frères et soeurs musulmans,voici un verset soumis à notre reflexion,qu'en pensez-vous ?
    « Prends ce que Je t'ai donné et sois parmi les reconnaissant ! »
    (Saint Coran - Sourate 7, verset 144)

    Tu vivras ce jour sans tristesse, ni agacement, ni colère, ni rancune, ni envie.
    Il t'est indispensable d'écrire sur le tableau de ton coeur, ainsi que sur ton bureau, la seule et unique expression : "Ton jour, ton jour". Si tu as mangé du pain chaud et délicieux, celui de la veille qui est dur et mauvais, ou celui du lendemain qui est inexistant et attendu te ferait-il du mal?
    Si aujourd'hui tu as bu une eau fraîcheet agréable  pourquoi t'attrister pour celle de la veille qui était salée et âpre ou celle de demain qui sera chaude et désagréable?
    Si tu étais franc envers toi-même, avec une volonté de fer, stricte, impétueuse, tu soumettrais ton "moi" à cette théorie : Je ne vivrais que ce jour. A ce moment-là, tu en utiliseras chaque instant à la construction de ton être, au développement de tes facultés, à la purification de ton travail, tu diras : Pour ce jour uniquement, je ne m'exprimerai qu'en bien, je ne dirais ni gros mots, ni insultes, ni médisance, ni calomnie. Aujourd'hui exclusivement, je rangerai ma maison et ma bibliothèque, pas de confusion, ni désordre, mais discipline et ordre.

    Ce jour en exclusivité, je vivrai, je m'occuperai de la propreté de mon corps, j'améliorerai mon aspect, je soignerai ma tenue, je mettrai de l'équilibre dans ma démarche, mes paroles et tous mes mouvements.

    Ce jour-ci, je me dévouerai totalement à Allâh(swt), en pratiquant mes prières comme il se doit, en faisant œuvres surérogatoires, en lisant le Saint Coran et d'autres livres bénéfiques. Je planterai dans mon cœur le bien et j'en extirperai l'arbre du mal et ses racines épineuses telles que l'arrogance, l'amour de soi, l'ostentation, l'envie, la rancune, la rancœur, la conjecture, le doute et les arrière-pensées.

    Aujourd'hui, je serai utile aux autres , je serai reconnaissant, je rendrai visite aux malades, j'assisterai à l'enterrement d'un mort, je conseillerai un homme confus, je donnerai à manger à un affamé, je soulagerai un angoissé, je supporterai un homme tyrannisé, j'intercéderai en faveur d'un opprimé, je consolerai un sinistré, je serai généreux envers un homme pieux, je serai indulgent pour un enfant, j'aurai du respect pour un vieux.

    Aujourd'hui seulement je vivrai :

    «Ô passé révolu et fini, disparais comme ton soleil je ne te pleurerai pas et je te bannirai de ma mémoire car tu nous as quittés, abandonnés et que tu es parti pour ne plus jamais revenir

    «Ô futur, toi tu appartiens à l'inconnu, je ne me laisserai pas aller aux rêves, je ne me vendrai pas aux illusions et je ne hâterai pas la naissance d'un perdu, car demain c'est le néant, puisqu'il n'est pas encore né et qu'il n'a pas été cité

    Ton jour, ton jour, ô être humain, la meilleure parole existante dans le dictionnaire du bonheur pour celui qui voudrait une vie dans ses plus belles images et parures

    Dr Aidh Al Qarni

    "Ne sois pas triste", chapitre Ton jour, ton jour
    ""Prends ce que Je t'ai donné et sois parmi les reconnaissant"
    (Saint Coran - Sourate 7, verset 144 )



    Tu vivras ce jour sans tristesse, ni agacement, ni colère, ni rancune, ni envie.

    Il t'est indispensable d'écrire sur le tableau de ton coeur, ainsi que sur ton bureau, la seule et unique expression : "Ton jour, ton jour". Si tu as mangé du pain chaud et délicieux, celui de la veille qui est dur et mauvais, ou celui du lendemain qui est inexistant et attendu te feraient-ils du mal?

    Si aujourd'hui tu as bu une eau fraiche, suave, pourquoi t'attrister pour celle de la veille qui était salée et âpre ou celle de demain qui sera chaude et désagréable?

    Si tu étais franc envers toi-même, avec une volonté de fer, stricte, impétueuse, tu soumettrais ton "moi" à cette théorie : Je ne vivrais que ce jour. A ce moment-là, tu en utiliseras chaque instant à la construction de ton être, au développement de tes facultés, à la purification de ton travail, tu diras : Pour ce jour uniquement, je ne m'exprimerai qu'en bien, je ne dirais ni gros mots, ni insultes, ni médisance, ni calomnie. Aujourd'hui exclusivement, je rangerai ma maison et ma bibliothèque, pas de confusion, ni désordre, mais discipline et ordre.

    Ce jour en exclusivité, je vivrai, je m'occuperai de la propreté de mon corps, j'améliorerai mon aspect, je soignerai ma tenue, je mettrai de l'équilibre dans ma démarche, mes paroles et tous mes mouvements.

    Ce jour-ci, je me dévouerai totalement à Allah, en pratiquant mes prières comme il se doit, en faisant œuvres surérogatoires, en lisant le Saint Coran et d'autres livres bénéfiques. Je planterai dans mon cœur le bien et j'en extirperai l'arbre du mal et ses racines épineuses telles que l'arrogance, l'amour de soi, l'ostentation, l'envie, la rancune, la rancœur, la conjecture, le doute et les arrière-pensées.

    Aujourd'hui, je serai utile aux autres ; je serai reconnaissant, je rendrai visite aux malades, j'assisterai à l'enterrement d'un mort, je conseillerai un homme confus, je donnerai à manger à un affamé, je soulagerai un angoissé, je supporterai un homme tyrannisé, j'intercéderai en faveur d'un opprimé, je consolerai un sinistré, je serai généreux envers un homme pieux, je serai indulgent pour un enfant, j'aurai du respect pour un vieux.

    Aujourd'hui seulement je vivrai :


    Ô passé révolu et fini, disparais comme ton soleil je ne te pleurerai pas et je te bannirai de ma mémoire car tu nous as quittés, abandonnés et que tu es parti pour ne plus jamais revenir.


    Ô futur, toi tu appartiens à l'inconnu, je ne me laisserai pas aller aux rêves, je ne me vendrai pas aux illusions et je ne hâterai pas la naissance d'un perdu, car demain c'est le néant, puisqu'il n'est pas encore né et qu'il n'a pas été cité.


    Ton jour, ton jour, ô être humain, la meilleure parole existante dans le dictionnaire du bonheur pour celui qui voudrait une vie dans ses plus belles images et parures



    Dr Aidh Al Qarni

    "Ne sois pas triste", chapitre Ton jour, ton jour




     

     

    Non à la violence faite aux femmes

    30/04/2008 21:12

    Non à la violence faite aux femmes


    Assalamu'alaykum,chers fidèles Talibés Baye !

    Je voudrais aborder un sujet brûlant de l'heure qui est
    « la violence faite aux femmes dans le monde entier ! »

    « Etes-vous d'accords d'avec ?

    Pourquoi ?  »

    l'Islam conseille-t-il la violence contre les femmes ?

    Illustrées vos réponses avec des versets tirés du Saint Qur'ane.

    Pour l'heure,lisez le Communiqué légal de son Eminence, l’Autorité religieuse, l’Ayatollah Muhammad Hussein Fadlallah, à l’occasion de la Journée Mondiale Contre la Violence faite aux femmes.

    Fadlallah a appelé dans un communiqué légal à faire face à toutes les formes de violence faites aux femmes.

    Fadlallah : « La femme a le droit de se défendre contre la violence exercée par l’homme ! »
     Voici le texte de ce communiqué :

    « Malgré tous les progrès réalisés dans le domaine de la perception humaine de la femme et tous les honneurs avec lesquels elle est traitée en comparaison avec sa situation telle qu’elle se présentait dans la plupart des sociétés orientales et occidentales, et malgré la montée de la femme à l’échelle sociale et politique grâce à laquelle elle occupe maintenant les plus hauts postes dans les gouvernements et ailleurs, et elle participe aux mouvements de lutte côte à côte avec l’homme qui se voit parfois devancer par elle, malgré tout cela, la femme subit toujours la violence qu’on exerce contre elle. Il s’agit d’une violence qui prend diverses formes, qui ne se réduisent pas à un domaine à l’exclusion des autres domaines, et qui, ne prenant pas un caractère oriental, englobe la totalité du monde, même si la forme et l’envergure de cette violence diffèrent d’un endroit à l’autre.
    La femme, qu’elle soit sœur, fille ou épouse, est toujours soumise à la tutelle de l’homme, qu’il soit frère, père, ou époux. Cette violence revêt des formes multiples.

    Il y a la violence physique avec laquelle la femme est frappée, ce qui représente un comportement inhumain parmi les plus ignobles, car il témoigne de l’absence, chez l’homme, de la logique lui permettant d’échanger avec l’autre sous les signes de l’engagement et de la persuasion.

    Frapper la femme ne prouve pas que l’homme est fort, mais plutôt qu’il est faible, car « C’est le faible qui a besoin d’avoir recours à la violence ». La violence physique atteint ses plus hauts et durs niveaux lorsque la femme se trouve la victime du viol qui peut finir par sa mort.
    Il y a la violence sociale inclue dans le cadre de ce qu’on appelle « les crimes d’honneur ». La société tribale ou familiale s’y contente de simples soupçons pour condamner la femme à l’exil ou à la mise à mort, alors que la société ne dispose du droit de faire usage de la peine de mort qu’en passant par la justice et ses mécanismes tels qu’ils sont fixés par la loi droite. Il y a aussi la violence sociale qui, par le biais de la mentalité familiale ou tribale, contraint la femme à se marier d’un homme qu’elle ne désire pas.
    Il y a aussi la violence psychique avec laquelle l’homme menace la femme de la divorcer, ou lorsqu’il l’abandonne suspendue au mariage sans la traiter en tant qu’épouse, ou même lorsqu’il utilise le divorce comme moyen de pression et de chantage la privant ainsi du sentiment de stabilité dans son mariage, ce qui a un impact très destructeur de sa personnalité et de son équilibre.
    Il y a la violence relative aux conditions de vie avec laquelle le mari ou le père renoncent à leurs responsabilités matérielles à l’égard de l’épouse et de la famille. Le mari frustre ainsi la femme de ses droits de vivre dans la dignité. Il peut la soumettre à des pressions afin de lui concéder sa dot qui est, au vue de l’islam, un don symbolisant l’amour humain et la compassion loin de tout esprit commercial.
    Il y a aussi la violence dans le domaine de l’éducation, avec laquelle la femme se voit frustrée de son droit à la scolarisation et à la promotion dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la spécialisation scientifique nécessaires pour l’amélioration de son niveau intellectuelle et culturel et pour lui ouvrir des espace de progrès pour elle et pour les autres dans tous les domaines de la vie. Une telle situation la livre à la spirale de l’ignorance avant de se voir porter la responsabilité de ses erreurs résultant de son manque d’expérience consécutif à la violence qu’on exerce à son égard.
    Il y a aussi la violence pratique dans la distribution inéquitables des salaires entre l’homme et la femme en dépit de l’égalité dans le droit au travail qui implique l’égalité de ses conséquences, sachant que la société toute entière peut utiliser ce genre de violence en adoptant des lois de travail qui ne prennent pas en considération les charges de la maternité et de l’éducation des enfants, sans parler de l’exploitation des fonctionnaires femmes par des patrons et des directeurs qui les soumettent à leurs pressions dans plus d’un domaine.
    Face à tout cela, nous mettons l’accent sur les questions suivantes :
    Premièrement : La douceur est une méthode centrale en Islam. Elle y est prioritaire par rapport à la violence qui ne doit être utilisée que dans des situations exceptionnelles qu’impliquent les exigences de l’éducation ou de la lutte visant à contrer l’agression. Le Prophète, Muhammad (P), a dit à ce propos : « Jamais la douceur n’a été posée sur une chose sans l’avoir rendue plus belle ; jamais la violence n’a été posée sur une chose sans l’avoir rendue plus laide ». Cette méthode englobe toutes les relations humaines sans distinction entre homme ou femme ou entre grand et petit.
    Deuxièmement : La prédominance de l’homme par rapport à la femme ne signifie pas qu’il lui est supérieur ou qu’il est souverain par rapport à elle. Elle signifie que l’homme est responsable de gérer les affaires de la famille sans despotisme mais dans un esprit de partenariat où l’homme et la femme se partagent toutes les affaires communes entre eux en tant que deux époux.
    Troisièmement : Le fait, pour la femme, de remplir les tâches domestiques à partir de son sentiment humain, de son affectivité et de son esprit de sacrifice, tâches que l’Islam ne lui impose pas même pour ce qui est des soins à apporter aux enfants, dans la mesure où il respecte son travail dans ce domaine au point qu’il le considère comme un travail salarié, doit inciter l’homme à apprécier les sacrifices de la femme en lui apportant ses soins à lui et à sa famille. Cela ne doit donc pas inciter l’homme à l’arbitraire et à la violence dans la gestion de sa relation avec la femme.

    Quatrièmement : L’Islam a institué une règle immuable pour fonder la relation de l’homme et de la femme dans la vie conjugale et dans la famille en général. Cette règle est celle du « bon usage ». Le Noble Coran dit à ce propos : ((Comportez-vous envers elles selon le bon usage)) (Coran IV, 19). Il dit aussi au sujet du divorce : ((Ou s’est la reprise conformément au bon usage, ou un renvoi avec bonté)) (Coran II, 229). Cette règle constitue une règle légale qui peut donner lieu à des qualifications légales qui annulent le mariage dès qu’il entre en tension avec le bon usage.

    Cinquièmement : L’Islam considère la femme -dans le cadre du mariage- en tant qu’être juridique indépendant par rapport à l’homme du point de vue financier. L’époux n’a pas le droit de s’emparer de ses biens personnels ni d’intervenir dans son commerce ou dans ses intérêts qui ne le concernent pas en tant qu’époux, ou qui ne concernent pas la famille dont la gestion relève de ses responsabilités.
    Sixièmement : L’Islam n’autorise l’homme d’exercer aucune forme de violence contre la femme. Il n’a pas le droit d’attenter à ses droits légaux qu’il doit respecter conformément au contrat de mariage, ni de la chasser de la maison, ni de l’insulter, de l’injurier ou de lui adresser des paroles dures. Cela constitue un péché pour lequel l’homme sera châtié par Dieu et poursuivi par la loi islamique.

    Septièmement : Si l’homme exerce la violence physique contre la femme et que celle-ci se voit incapable de se défendre par un moyen autre que de lui rendre la pareille, cela lui est licite en tant que juste défense. Si l’homme exerce la violence juridique contre la femme en la frustrant de certains de ses droits conjugaux comme les dépenses ou la vie sexuelle, il est en son pouvoir de renoncer à ses obligations envers lui qui sont fixées par le contrat de mariage.

    Huitièmement : L’Islam affirme que nul n’a de l’autorité sur la femme du moment qu’elle est pubère, adulte et autonome pour ce qui est de la gestion de ses propres affaires. Nul n’a le droit de lui imposer un mari qu’elle ne désire pas. Tout contrat de mariage doit être consenti par la femme. Sinon il est illégal et sans effets.

    Neuvièmement : Comme nous tenons à protéger la famille, les lois qui régissent le travail de la femme doivent prendre en considération la compatibilité de son travail, quant il est voulu est choisi par elle, et de ses charges en rapport avec la famille, toute extorsion pouvant conduire à la dissolution de la famille, ce qui signifie que la société exerce une violence double à l’encontre de sa structure sociale et à son système de valeur.

    Dixièmement : L’Islam insiste sur la place que la femme prend à côté de l’homme pour ce qui est de l’appartenance humaine, de la raison et de la responsabilité et ses conséquences. Il a fondé la vie conjugale sur l’amour et la compassion, ce qui donne à la famille une dimension humaine où ses membres se trouvent en interaction loin des considérations juridiques figées et sèches du point de vue spirituel et affectif. Cela donne une richesse spirituelle, de l’équilibre psychique, et de la hauteur culturelle et intellectuelle à l’humanité toute entière : Ses hommes et ses femmes, ses individus et ses sociétés.

    Le Bureau d’Information de son Eminence, l’Autorité religieuse, l’Ayatollah Muhammad Hussein Fadlallah. Beyrouth,

    Qu'en pensez-vous ?

    wa salam



    Commentaire de Jamila(Beyrouth) (08/05/2008 17:06) :

    salamu Momowally Je veux apporter ma petite idée sur ce sujet en recntrant le rapport qui existe entre l'amour, l'homme ,la femme et la religion! L'homme et la femme peuvent trés bien vivre un véritable amour tous les deux sur le chemin d'Allâh(swt)! On peut vivre en couple avec beaucoup d'affection,d'Amour,de bonté,de Tolérance,de Partage et de bonne communication. l'islam fait partie de la vie. On vit trés bien avec, c'est une religion de lumiére avec tellement de richesse, elle apporte beaucoup au musulmans, Alors, arrêtons de mettre toute la misiére du monde sur l'islam ! ça commence à être vraiment fatiguant, quand ça va pas, on va dire que c'est la faute de l'islam, stop ! stop ! Ensuite vous voyez ce qui vous arrange, tout ce que tu voiS c'est :"frappez-les"! Tu ne vois que ça, prends le temps de comprendre les choses ! le coran dit: "le meilleur ne les frapperas pas!" Et frappez-les." Que veut dire ce texte ? Incite-t-il à frapper l'épouse ou le conseille-t-il, étant donné que c'est d'une forme impérative qu'il s'agit ici ...? Et bien, on ne l'a pas compris ainsi, et ce, à partir du contexte même dans lequel ce passage a été révélé, du style coranique et des Hadiths prophétiques qui traitent de la question. En effet, le grand Imam Tâbi'î (de la génération qui suit celle des Compagnons du prophète (sallallâhou alayhi wa sallam)) 'Atâa r.a., qui a une très grande renommée entre les savants et est un très grand interprète du Coran, affirme : "Qu'il ne la frappe pas, même s'il lui donne un ordre et elle ne lui obéit pas!" L'Imâm Ibn Al Arabi (raa), le grand juge Malékite, réplique en disant: "Cela provient de la compréhension bien profonde de 'Atâa !" Puis, il argumente cela, comme je vais le détailler un peu plus loin. L'Imam Echâfi'î (raa) dit clairement dans :"Kitâb Al Umm" (ses propos sont repris par Al Fakhr Ar-râzi (raa) dans son exégèse, le célèbre Tafsir Kabir") : "Le fait de frapper est, dans ce cas extrême, autorisé mais le fait de ne pas la toucher est la meilleure solution!" Et malgré mes nombreuses lectures, je ne suis tombé sur aucun savant ayant un poids chez les oulémas musulmans qui incite à frapper sa femme dans ce cas même extrême. Bien au contraire, j'ai même lu chez Al Âlûssi (raa), dans son :"Rûh Al Ma'âni", ainsi que chez Eç-çâbûni dans ses :"Ahkâmu al Qurân", l'accord entre les savants sur le fait que ne pas frapper sa femme, dans ce cas, est la meilleure solution et le meilleur exemple. En effet, le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) dit: "Le meilleur d'entre vous est le meilleur envers ses épouses". Dans un autre hadith, il dit clairement concernant le fait de frapper sa femme dans ce cas extrême: "Les meilleurs de vous ne frapperont pas". Et dans un autre Hadith, il est relaté que, lorsque des maris avait frappé leurs épouses dans ce même cas extrême et que celles-ci étaient allées se plaindre auprès des épouses du Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam), celui-ci avait donné une prêche dans laquelle, il évoqua que de nombreuses femmes étaient venues se plaindre de leurs maris... Il dit alors: "Ceux-là (ces maris) ne sont pas les meilleurs d'entre vous." (Hadith authentique rapporté par Esh-shâfi'î, Ibn Mâjah, Ibn Hibbân (si je me rappelle bien) et d'autres exemples plus éloquents existent encore ! MOmowally,qu'Allâh(swt) te rétribue au centiple pour ton blog plein d'Enseignements pour celui qui veut savoir . wassalam


    Commentaire de Nahima ( Caire) (08/05/2008 17:41) :

    "Faites de bonnes recommandations en faveur des femmes car la femme a été créée à partir d'une côte. Et la partie la plus tordue de la côte est sa partie supérieure. Si tu cherches à la redresser, tu la brises et, si tu la laisses comme elle est, elle ne cesse d'être tordue. Aussi faites de bonnes recommandations en faveur des femmes". (Al-Boukhâri, Mouslim)


    Commentaire de Léila(Paris) (13/05/2008 16:50) :

    Salamu'alayk,Momowally ! Ce sujet est d'actualité La violence conjugale tue encore plus en France! Et je peux vous assurer,chers visiteurs de ce blog, que le nombre de cas de violence conjugale en France, est bien supérieur par rapport aux pays musulmans. Je défie quiconque de prouver le contraire. Imaginez, chers(es) frères et soeurs, qu'un jour ou les musulmans seront en position de force, et qu'ils parlent de discriminations à l'encontre des femmes qui mettent un string..., et qu'ils font la même polémique à cause de cela ! La culture occidentale discrimine la femme, elle est contre l'égalité des femmes puisqu'elle considère la femme comme un objet de plaisir... La culture occidentale, encourage l'infidélité... Mais plus sérieusement, je pense que les musulmans n'ont aucune leçon à recevoir des occidentaux. Je conseille à tous ces soi-disants partenaires de droits de l'homme de fortement bien relire n'importe quel livre d'histoire avant de nous faire une morale hypocrite. wa salam




     

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