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CHAINE GENEALOGIQUE DE SEIDINA AHMED TIDJANI(raa) :
13/09/2007 18:59
 Sidi Mohammed el Habib Tidjani (que Dieu l'agrée), fils de Sidi Mahmoud Tidjani (que Dieu l'agrée), et sa famille (que Dieu les agrée tous) à Dakar au Sénégal
CHAINE GENEALOGIQUE DE SEIDINA AHMED TIDJANI(raa) :
Le Pôle Caché Seïdina Ahmed Tidjani (radiayallâhu ta'ala ane-hu)
Fils de Mohammed (raa) Fils de Mokhtar (raa) Fils de Ahmed (raa) Fils de Mohammed (raa) Fils de Salim (raa) Fils de Abi-l-'Aïd (raa) Fils de Salim (raa) Fils de Ahmed 'Alwani (raa) Fils de Ahmed (raa) Fils de 'Ali (raa) Fils de 'Abdallah (raa) Fils de 'Abbas (raa) Fils de 'Abdeljabbar (raa) Fils de Idriss (raa) Fils de Idriss (raa) Fils de Ishaq (raa) Fils de 'Ali Zeïn el 'Abidine (raa) Fils de Ahmed (raa) Fils de Mohammed Nefs Zakkiya (raa) Fils de 'Abdallah (raa) Fils de Hassan Mouthana (raa) Fils de Hassan Sabat (raa)
Fils de 'Ali (raa) et de Saïda Fatima (raa), maîtresse des habitantes du Paradis et fille de la meilleure créature d'Allâh : Seïdina Mohammed (saw).
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LE SCEAU DES SAINTS
13/09/2007 18:52
LE SCEAU DES SAINTS EL KHATMIYA :
Parmi ce qui a été demandé à Seïdina cheikh Ahmed Tidjani t par certains juristes (fouqaha) : " On a eu de la part de Seïdina Mohiedine Ibn 'Arabi (raa) dans le livre " Foutouhat el Mekkiya " qu'il a prétendu pouvoir accéder au Sceau de la sainteté, il a dit (raa) : " Souvent je faisais l'effort intérieur dans le monde invisible afin de savoir son nom et le nom de son pays, cependant Allâh ne m'a absolument pas informé sur lui. " Dans un autre récit il raconte qu'il l'a rencontré dans la ville de FES, et c'est sans équivoque que Seïdina 'Ali Khawwas (raa) a considéré que Cheikh Mohiedine (raa) a atteint le degré du parachèvement de la sainteté puisqu'il l'avait prétendu pour lui-même. Seïdina Ahmed Tidjani (raa) a affirmé posséder la station de parachèvement de la sainteté après avoir eu le témoignage du prophète r lui-même et cela en état de veille. Le cheikh Mokhtar Kounti (raa) a dit dans son livre :"Tara-if wa tala-id" que son siècle est similaire au siècle du prophète t puisqu'il contient le parachèvement de la sainteté. Notre cheikh t a dit : " Comment peut-on concilier entre ces paroles ? " Puis il a répondu : " Il n'y a pas de contradiction entre ces affirmations car Sidi Mohiedine ibn 'Arabi (raa) après cette prétention d'acquisition du statut de sceau de la sainteté, a affirmé que ce n'était pas lui et qu'il a demandé qu'on lui permette de le voir, cependant le voile demeura. Quand au fait qu'il l'avait vu à la ville de FES cela est bien clair puisque alors on lui leva le voile afin qu'il le voie, quant a l'affirmation de Sidi 'Ali el Khawwas t, elle ne se vérifie pas. Donc il n'y a pas de doute sur les dires de Sidi Ahmed Tidjani t car il est approuvé par le témoignage du prophète r et la réunion qu'a eu Ibn 'Arabi (raa) avec lui dans la ville de FES qui est justement la ville de Seïdina Ahmed Tidjani (raa) Les récits de Sidi Mokhtar el Kounti (raa) au sujet de son siècle qui contiendrait la venue du sceau de la sainteté cela désigne bien l'époque de notre cheikh Ahmed Tidjani t mais il y a une réponse encore plus pertinente, Sidi Abdelkarim el Djili (raa) a dit dans son livre l'homme parfait : " J'ai vu le prophète (saw) à l'image de Sidi Isma'il Djabarty (raa) et je n'avais pas de doute qu'il s'agissait du prophète r tout comme je n'avais pas de doute que c'était bien Sidi Isma'il Djabarty (raa) " A ce sujet le disciple de l'imam Chibli t a dit : " Je témoigne que tu es bien le messager d'Allah." L'Imam Chibli (raa) lui répondit : " Je témoigne que je suis le messager d'Allah. " Si tu as su cela, sache que Seïdina Ahmed Tidjani t a la possibilité d'apparaître dans des images bien précise à travers l'héritage des prophètes. Si un parmi les saints prétend avoir la station du parachèvement de la sainteté ou l'a prétendu pour lui sache que c'est le résultat de l'apparition de l'esprit du sceau de la sainteté, qui est Sidi Cheikh Ahmed Tidjani (raa), dans le miroir de son être, c'est ce qui explique ce qui était répandu au sujet des grands saints comme Mohiedine ibn 'Arabi (raa), Sidi 'Ali Khawwas (raa), Sidi Mohamed ibn 'Othman el Mirghini (raa).
De même en ce qui concerne quelques grands saints qui ont prétendu acquérir la station "d' el Mahdiya " qui est l'imam Mahdi el Mountadhar (raa), à l'instar de Sidi Ahmed ibn Idriss (raa) qui disait à son époque qu'il était l'Imam Mahdi cela jusqu'à ce qu'il eu une rencontre avec cheikh El Majdoub t qui lui dit : " Comment as-tu su cela ? " Il lui répondit : " C'est mon dévoilement (Kachf) qui m'a permis de l'affirmer. " Alors le Cheikh lui répondit : " Libère ton dévoilement car la situation semble éloignée. " Lorsqu'il a libéré son dévoilement il a vu en effet que la situation différait de ce qu'il affirmait, ce qui s'est passé en vérité c'est l'apparition de l'esprit du Mahdi (rouhaniyet) dans le miroir de son essence (dhet) car l'Imam el Mahdi (raa) a eu l'héritage du prophète (saw).
QUE DESIGNE LA STATION DU PARACHEVEMENT DE LA SAINTETE ?
A ce sujet, l'imam spécialiste en hadith, le cheikh Mohamed Ibn 'Ali t a rédigé des écrits, de même El Hakim Tirmidhi (raa), le détenteur du livre " Les fondements rares du hadith" ainsi que Sidi Mohiedine Ibn 'Arabi (raa). Le sceau de la sainteté ne veut pas dire le dernier des saints mais le degré de parachèvement de la sainteté.
Les gens de DIEU ne veulent pas dire du degré de parachèvement de la sainteté qu'il n'y a plus de saint après lui, mais ils veulent dire une station particulière de la sainteté qui se situe en dessous du degré des compagnons du prophète (saw).
Si nous classifions les gens d'une ville nous trouverions obligatoirement un degré ultime, celui-ci est appelé le pôle de la ville ou cheikh de la ville, il est indispensable communément d'avoir une sommité dans tout domaine. Si nous prenons chaque cheikh de chaque région vers la fin nous pouvons trouver le pôle de l'époque, de même concernant les époques après l'époque des compagnons du prophète r sans pour autant arriver à leur degré, celui qui prétend cela est dans l'erreur et on ne peut attribuer cette affirmation au connaissant ('Arif billêh). On a posé la question à notre cheikh Sidi Ahmed Tidjani (raa) au sujet du degré d'un compagnon du prophète r qui n'a pas eu l'ouverture spirituelle (Fath) et celui du Pôle qui n'est pas un compagnon. Il a répondu que le compagnon du prophète r est meilleur que le pôle car le prophète r a dit qu'ALLAH a choisit ses compagnons parmi les gens des mondes hormis les prophètes et les envoyés. Le prophète (saw) a dit : " Si un parmi vous dépensait la mesure du mont Ouhoud en or il n'arriverait pas à l'équivalent de leur poignée ou la moitié (des compagnons). " Il n'est pas vrai que dans sa voie Seïdina Ahmed Tidjani (raa) se soit proclamé meilleur que les compagnons du prophète (saw) ou que ceux-ci soient irrigués par lui, ces prétentions n'ont jamais été évoquées par Sidi Ahmed Tidjani (raa). Sidi 'Omar ibn Sa'id el Foutiyou (raa), dans son ouvrage "Rimah" a bien parlé de cette question, Sidi Ahmed Tidjani (raa) a dit : " La différence entre les œuvres des compagnons et les nôtres est comme la différence qu'il y a entre l'allure des oiseaux et celui de la fourmi. " Il a spécifié aussi que tous les travaux accomplis par la communauté après eux font parti de leurs œuvres. Sidi cheikh Ahmed Tidjani (raa)a dit : " Si vous écoutez de ma part quelque chose pesez-la avec la balance de la chari'a (loi) si cela concorde oeuvrez, si cela est en contradiction délaissez-le. "
Sidi Mohamed el Mokhtar (raa) a dit que les meilleurs des croyants sont les compagnons du prophète (saw), la signification du sceau de la sainteté dans la terminologie des gens de DIEU ,c'est qu'il est arrivé au degré de parachèvement de la sainteté dans son pays, à son époque voir plusieurs époques et cela ne veut pas dire qu'il n'y a plus d'élu ou de saints après lui.
Anas t rapporte que le prophète (saw) a dit : " Ma communauté est comme la pluie on ne sait pas où réside son bien, à son début ou à sa fin. " (Tirmidhi)
Le prophète (saw) a dit : "Il demeurera des gens dans ma communauté attachés à la vérité jusqu'à ce que la volonté de DIEU s'accomplisse, apparent dans leur vérité. " (Boukhari, Mouslim)
Quant au sceau de la sainteté dans le sens qu'il n'y a plus de saints après lui, cela concerne les derniers des croyants vers la fin des temps, le prophète (saw) a dit : " La fin des temps arrivera quand il n'y aura plus sur cette terre des gens qui disent ALLAH, ALLAH. "
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Al Burda :explication
13/09/2007 18:30
Mon âme a reconnu la tienne aussitôt que mon esprit a parlé au tien. C'est que les âmes ont des esprits comme les corps. Les croyants se reconnaissent mutuellement et ils s'aiment les uns les autres en Dieu, le Puissant, le Majestueux, même s'ils ne se rencontrent pas et ne se connaissent pas, et que les endroits où ils se trouvent sont éloignés. (Uways al Qarnî)
"Al Burda" (le manteau)
A l’occasion de la célébration annuelle du Mawlid (anniversaire de la naissance du prophète de l’islam (saws)), le gouvernement d’Abou Dhabi a invité des artistes du monde musulman à venir se produire au Théâtre National. L'événement fut retransmis en direct lundi soir à la télévision. Après la lecture d'un extrait du Coran, le sheikh Habib Ali al Jefri est intervenu louant les mérites de cultiver l'amour et la connaissance de Muhammad (saws), le prophète envoyé comme miséricorde pour l'humanité. Le chanteur Imad Rami a entousiamé le public par une série d'anasheeds (chants religieux). Le chant « Al Burda » (le manteau) le plus célèbre poème jamais écrit à la glorification du prophète (saws) fut interprêté par un groupe de chanteurs yéménites.
Son auteur, Sharafu-d-din al Bûsiri, vécut au 7e siècle de l’hégire (13e siècle J.C) et fréquenta les cours de divers professeurs traditionnistes et soufis.
Hémiplégique, il formula des invocations pour sa guérison lors de composition du poème.
Lorsqu’il l’eut achevé, il vit une nuit en rêve le prophète (saws) passer sa main sur le côté paralysé de son corps et jeter un manteau sur lui. A son réveil il se retrouva complètement guéri. Le poème reçut alors le nom de « manteau ». Le véritable manteau du prophète (saws) existe toujours. Il est visible au musée du Sérail à Istanbul.
"Al Burda" comprend 10 chapitres et totalise 160 vers.
Dans la récitation collective ou dans sa version chantée, on intercale à la fin de chaque chapitre ce refrain :« Seigneur, accorde Ta bénédiction et Ton salut, toujours et à jamais à Ton bien-aimé Muhammad, la meilleure d’entre toutes les créatures ». Aucune traduction ne saurait rendre l’harmonie des vers en langue arabe ni les sous-entendus. Cependant pour le lecteur francophone, la traduction choisie est celle du Cheikh Hamza Boubakeur. Voici quelques extraits :
…/…
35 - Notre Prophète est l’ordonnateur du bien et l’adversaire du mal. Nul n’est plus véridique que lui dans ses négations et ses affirmations.
36 - C’est l’ami de Dieu dont on espère l’intercession le jour de la résurrection, contre tous les périls imprévus
37- Il a appelé les hommes à Dieu. Ceux qui se sont attachés à lui, le sont par un lien qui ne se rompt pas.
38 – Il a surpassé les Prophètes par ses qualités physiques et ses qualités morales ; ils ne sauraient l’égaler ni en sciences, ni en générosité.
39 – Tous ont cherché à puiser à l’océan de la science de l’envoyé de Dieu ou à boire de la pluie incessante de sa bonté.
40 – Ils se tiennent debout devant Lui, suivant leur rang, tels les points diacritiques du livre de la science ou les voyelles du livre de la sagesse.
41 – C’est lui qui ayant été rendu parfait moralement et physiquement, fut choisi ensuite comme ami par le Créateur du genre humain.
42 – «Personne ne saurait l’égaler quant à ses vertus. En lui l’essence de la beauté ne souffre aucun partage. »
…/…
106 – O toi qui constitue le prodige le plus grand pour l’homme qui réfléchit et la grâce la plus insigne pour celui qui sait en profiter.
107 – Tu as voyagé, la nuit, d’un sanctuaire à un autre sanctuaire, telle la pleine lune voyageant dans l’obscurité des ténèbres.
108 – Tu as passé la nuit à t’élever jusqu’à ce que tu fusses à la distance de deux arcs du trône de Dieu, accédant ainsi à un niveau jamais atteint et jamais espéré.
109 – Tous les prophètes et tous les envoyés de Dieu t’ont mis à leur tête, tels des serviteurs, cédant le pas à leur maître.
110 – Tu étais le porte-drapeau de leur cortège, à travers les sept cieux.
…/…
155 – O mon âme, ne désespère pas de la miséricorde divine à cause de tes lourdes fautes. Le Pardon de Dieu s’étend aux péchés capitaux comme aux péchés véniels.
156 – Il se peut que la miséricorde de Dieu soit lors de sa répartition, proportionnée à la gravité de la désobéissance.
157 – Seigneur, fais que mon espoir en Toi, ne soit pas trompé et que mon calcul ne soit pas une illusion
158 - Sois indulgent envers ton serviteur en cette demeure et en la demeure future, car son endurance s’écroule dès que les terreurs l’assaillent.
159 – Répands Ta bénédiction continuellement et abondamment sur le Prophète
160 – tant que la brise de l’Est fera incliner les rameaux du saule musqué et tant que le chamelier charmera son troupeau par son chant.
A l'issu du spectacle (gratuit), les organisateurs ont remis aux spectateurs une enveloppe contenant une cassette du chant "Al Burda" et une deuxième cassette d'un discours du Cheikh Habib Ali Al Jefri (publiée par le département des affaires islamiques du ministère de la justice), ainsi qu'un livret expliquant les raisons pour lesquelles l'anniversaire de la naissance du prophète (saws) doit être l'occasion de revivifier son souvenir et pourquoi il est commémoré aux Emirats Arabes Unis (jour férié).
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Saïda Oumoulkhairy niass fille de baye
13/09/2007 18:14

Saïda Oumoulkhairy niass fille de baye

Elle est la fille de l'Illustre et Honorable Cheikh Ibrahim Niasse (raa) de Kaolack (Sénégal) et épouse de Cheikh Aboubacar Hassoumi (raa) de Kiota (Niger).
Née le 29 juillet 1941 à Kaolack, femme de grande culture (elle a mémorisé le coran dès l'âge de 11 ans) dont la simplicité, l'ouverture d'esprit, la capacité d'adaptabilité et le dynamisme forcent l'admiration, Saïda Oumoulkhairy a décidé depuis plus de 4 décennies de mettre son savoir et son savoir-vivre à la disposition de sa communauté d'adoption. Il faut mettre à son actif :
l'éducation et la formation coranique d'environ 600 femmes ; la création de deux (2) complexes scolaires Franco Arabe (à Kiota et à Niamey) ; la création de l'Association Islamique, Jamiyat Nassirat-Dine qui a ouvert un centre de formation en couture à Niamey ; la création de trois (3) centres féminins d'alphabétisation fonctionnelle en collaboration avec UNICEF Niger ; la création d'une mutuelle d'épargne et de micro crédit pour les femmes dénommée " Bourkine Tarey " à Kiota ; la création d'un groupement féminin appelé " Margou Ka Zaama " à Kiota ; la visite à Kiota de la Représentante de l'UNICEF Niger, de la Ministre du Développement Social, de l'épouse de feu Président de la république Madame Baré Clémence Aicha et du Prince Albert de Monaco ; la visite de Mme Larba Tandja accompagnée d'une forte délégation dont les épouses du Premier Ministre et du Président de l'Assemblée Nationale, du Préfet-Président de la Communauté Urbaine de Niamey, Mme Barry Bibata, la présidente du Conseil Supérieur de la communication, Mme Mariama Keita. etc.
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La terre entière est une mosquée
13/09/2007 18:09
Bismillah rahman rahim
Mon âme a reconnu la tienne aussitôt que mon esprit a parlé au tien. C'est que les âmes ont des esprits comme les corps. Les croyants se reconnaissent mutuellement et ils s'aiment les uns les autres en Dieu, le Puissant, le Majestueux, même s'ils ne se rencontrent pas et ne se connaissent pas, et que les endroits où ils se trouvent sont éloignés. (Uways al Qarnî)
Qui n’a jamais observé avec admiration les mouvements concentriques des ondes provoqués par un caillou lancé à la surface de l’eau ? Parfois j’imagine la terre comme un vaste océan, dont la Ka’aba formerait le centre et les mosquées du monde les vagues concentriques, toutes dépendantes du cœur du foyer ondulant. Le prophète (sws) l’a dit :« la terre entière est un lieu de prière ». Le musulman, seul dans l’aride désert ou présent dans la multitude des pèlerins de Mekka, se prépare à la prière en entrant dans l’harmonie du mouvement, tout son être tourné vers la mosquée sacrée. Rattaché au cercle, il est prêt pour l’élévation verticale en une douce ascension vers le Transcendant, l’Eternel, la Lumière, l’Auguste Sublime.
« Allahou Akbar !», les mains doucement posées sur le cœur, recueilli, il récite les paroles du Très Haut, descendue pour l’humanité en un Coran sublime. « Allahou akbar! » le corps s’incline puis se relève. « Allahou akbar! » il se prosterne. Le front s’incline vers la terre pour glorifier Allah, le Vivant, le Maître du Visible et de l’Invisible, à Lui le Royaume et à Lui la louange. La prière se prolonge un instant en position assise, entre ciel et terre, pour la demande de bénédictions sur le prophète Muhammad (sws) et le prophète Ibrahim (as). Les dernières salutations « as-salam alaykoum, as-salam alaykoum » s’adressent aux anges témoins.
Ainsi le musulman est invité à une communion quotidienne avec la présence divine et participe harmonieusement au grand mouvement de l’univers.
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